Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
depuis mes premières années au collège et il avait fallu de cette année de troisième pour que je le découvre enfin dans ma classe.
LIRE EN ENTIER :
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/histoire-lycee-vraie-sujet_5560_1.htm
fake photo
Je ne savais pas pourquoi, mais quelque chose me retenait de converser avec lui. Il avait un air si mystérieux! Toutes les filles de la classe semblaient dingues de lui. Je n'avais jamais eu d'attirance quelconque pour les garçons et je pensais bien en rester là. Les semaines passèrent et je me rendais compte qu'il m'était de plus en plus difficile de ne pas l'observer en cours. Je l'admirais totalement. Parfois, j'étais tellement concentré sur son corps sublime que j'en oubliais le cours et le prof me le rappelait devant tout le monde. J'arrivais malgré tout à cacher mes regards automatiques vers lui. J'avais trop peur que le blond me prenne sur le fait lorsque mes yeux se perdaient sur ses muscles puissants moulés par ses tee-shirt. Je ne lui adressais aucun regard lorsqu'il se retournait vers moi et lorsqu'il me demandait quelque chose, je n'arrivais pas à soutenir mon regard très longtemps. Quand je lui répondais, mes mots sortaient si rapidement que je le regrettais bien souvent. J'étais désemparé. Enchantement étrange, peut-être maléfique, il semblait agir en moi une attraction terrible pour ce garçon. Le soir, dans mon lit, je repensais à la journée que je venais de passer et me demandais toujours si lui aussi me regardait comme je le faisais sur lui: furtivement et secrètement. Je ne me croyais pas gay. À l'adolescence, il y a plein, et trop, de questions qui trônent dans notre tête et il arrive que l'on ait des attirances sur des personnes du même sexe que nous. J'avais l'impression au fond de moi d'être resté un enfant. Je tentais de me rassurer en pensant que c'était passager. Mais il était tout le temps dans ma tête! Il trônait peut-être seulement pour un temps, me disais-je. Il faut aussi dire qu'entre potes, ça n'aurait pas passé que je sois gay. Donc je gardais tout ça pour moi, en secret, espérant peut-être qu'un jour, il remarque mon attirance et que quelque chose se crée...
Message édité par summerboy le 26-05-2015
Summerboy : J'écris pour que ceux qui se reconnaissent dans mon récit puissent avoir le sentiment d'être moins seuls avec leurs sentiments. La vie est un combat de tous les jours, mais il y a du beau dans tout ça. Ne nous laissons pas abattre par des paroles négatives. Je pense à vous, à tout ceux qui vivent des moments difficiles ou qui en ont vécu, qui se battent seuls et qui n'en restent pas indemnes. Reconnaissez que les choses changent et que vous n'êtes pas seuls. Vous soutenez une noble cause : le droit d'être vous même. L'amour passe avant tout, car c'est ce qui donne un sens à la vie.
Un lundi matin au mois de décembre, je révélai à tout le monde ma... nouvelle coupe de cheveux. Auparavant,
j'avais les cheveux qui cachaient mes yeux verts ( ). Je m'installai en cours d'art plastique et je balayai
la salle du regard à la recherche de Brian ( je préfère que son prénom reste secret) . J'étais toujours aussi affolé de voir son visage d'ange apparaître à la première heure dans la salle de
cours, comme sortant de mon rêve de la nuit passée. Il avait un visage fin, et des yeux si pénétrants, d'un bleu azur envoûtant.
Je me retournai ensuite vers mes amis (nous étions sur des tables de six) et je commençai une discussion
sur le prof d'art plastique que nous trouvions vraiment débile. Personne ne l'écoutait. On le trouvait vraiment misérable dans ses cours et du coup on passait notre temps à faire autre chose que
de l'art-plastique. À vrai dire, personne ne comprenait réellement le sujet qu'il nous demandait de traiter. Bref, mon regard s'égara de nouveau dans la salle et je tombai droit dans les yeux de
Brian. Il esquissa un sourire, mais je me retournai directement vers les autres qui continuaient de parler de notre prof.
Je ne savais pas comment agir, j'étais pétrifié, j'avais peur que quelqu'un ne s'en rende compte. Je me
sentais à la fois ridicule et heureux qu'il m'ait regardé. Bien sûr, sur le moment, j'essayais de ne pas me faire d'idée ;ça ne voulait pas dire qu'il était à fond sur moi. À vrai dire, j'avais
pour habitude de recevoir quelques sourires de garçons de mon collège (c'est étrange me diriez-vous). Je ne cherchais pas à comprendre... J'étais devenu vraiment rouge et j'avais une bouffée de
chaleur. Je ne voulais plus me retourner de peur qu'il me regarde encore... Attitude bizarre, mais j'étais comme ça...
A la fin du cours, après que je me sois remis de mes émotions, Brian vint vers moi et dirigea ses yeux vers
ma coupe de cheveux.
- J'avais jamais vu que t'avais de si beaux yeux! me dit-il en un sourire resplendissant
- Ah..euh...merci, lui dis-je, écarlate.
Je souris à mon tour à Brian, avant de le quitter rapidement pour rejoindre mon groupe de copain qui s'en allait déjà au cours suivant. Je passai
ensuite toute la journée à me ressasser ce moment en essayant de décrypter un message quelconque de sa part.
les copains de ma classe
Je ne savais pas pourquoi, mais quelque chose me retenait de converser avec lui. Il avait un air si mystérieux! Toutes les filles de la classe semblaient dingues de lui. Je n'avais jamais eu d'attirance quelconque pour les garçons et je pensais bien en rester là. Les semaines passèrent et je me rendais compte qu'il m'était de plus en plus difficile de ne pas l'observer en cours. Je l'admirais totalement. Parfois, j'étais tellement concentré sur son corps sublime que j'en oubliais le cours et le prof me le rappelait devant tout le monde. J'arrivais malgré tout à cacher mes regards automatiques vers lui. J'avais trop peur que le blond me prenne sur le fait lorsque mes yeux se perdaient sur ses muscles puissants moulés par ses tee-shirt. Je ne lui adressais aucun regard lorsqu'il se retournait vers moi et lorsqu'il me demandait quelque chose, je n'arrivais pas à soutenir mon regard très longtemps. Quand je lui répondais, mes mots sortaient si rapidement que je le regrettais bien souvent. J'étais désemparé. Enchantement étrange, peut-être maléfique, il semblait agir en moi une attraction terrible pour ce garçon. Le soir, dans mon lit, je repensais à la journée que je venais de passer et me demandais toujours si lui aussi me regardait comme je le faisais sur lui: furtivement et secrètement. Je ne me croyais pas gay. À l'adolescence, il y a plein, et trop, de questions qui trônent dans notre tête et il arrive que l'on ait des attirances sur des personnes du même sexe que nous. J'avais l'impression au fond de moi d'être resté un enfant. Je tentais de me rassurer en pensant que c'était passager. Mais il était tout le temps dans ma tête! Il trônait peut-être seulement pour un temps, me disais-je. Il faut aussi dire qu'entre potes, ça n'aurait pas passé que je sois gay. Donc je gardais tout ça pour moi, en secret, espérant peut-être qu'un jour, il remarque mon attirance et que quelque chose se crée...
Message édité par summerboy le 26-05-2015
Summerboy : J'écris pour que ceux qui se reconnaissent dans mon récit puissent avoir le sentiment d'être moins seuls avec leurs sentiments. La vie est un combat de tous les jours, mais il y a du beau dans tout ça. Ne nous laissons pas abattre par des paroles négatives. Je pense à vous, à tout ceux qui vivent des moments difficiles ou qui en ont vécu, qui se battent seuls et qui n'en restent pas indemnes. Reconnaissez que les choses changent et que vous n'êtes pas seuls. Vous soutenez une noble cause : le droit d'être vous même. L'amour passe avant tout, car c'est ce qui donne un sens à la vie.
Un lundi matin au mois de décembre, je révélai à tout le monde ma... nouvelle coupe de cheveux. Auparavant,
j'avais les cheveux qui cachaient mes yeux verts ( ). Je m'installai en cours d'art plastique et je balayai
la salle du regard à la recherche de Brian ( je préfère que son prénom reste secret) . J'étais toujours aussi affolé de voir son visage d'ange apparaître à la première heure dans la salle de
cours, comme sortant de mon rêve de la nuit passée. Il avait un visage fin, et des yeux si pénétrants, d'un bleu azur envoûtant.
Je me retournai ensuite vers mes amis (nous étions sur des tables de six) et je commençai une discussion
sur le prof d'art plastique que nous trouvions vraiment débile. Personne ne l'écoutait. On le trouvait vraiment misérable dans ses cours et du coup on passait notre temps à faire autre chose que
de l'art-plastique. À vrai dire, personne ne comprenait réellement le sujet qu'il nous demandait de traiter. Bref, mon regard s'égara de nouveau dans la salle et je tombai droit dans les yeux de
Brian. Il esquissa un sourire, mais je me retournai directement vers les autres qui continuaient de parler de notre prof.
Je ne savais pas comment agir, j'étais pétrifié, j'avais peur que quelqu'un ne s'en rende compte. Je me
sentais à la fois ridicule et heureux qu'il m'ait regardé. Bien sûr, sur le moment, j'essayais de ne pas me faire d'idée ;ça ne voulait pas dire qu'il était à fond sur moi. À vrai dire, j'avais
pour habitude de recevoir quelques sourires de garçons de mon collège (c'est étrange me diriez-vous). Je ne cherchais pas à comprendre... J'étais devenu vraiment rouge et j'avais une bouffée de
chaleur. Je ne voulais plus me retourner de peur qu'il me regarde encore... Attitude bizarre, mais j'étais comme ça...
A la fin du cours, après que je me sois remis de mes émotions, Brian vint vers moi et dirigea ses yeux vers
ma coupe de cheveux.
- J'avais jamais vu que t'avais de si beaux yeux! me dit-il en un sourire resplendissant
- Ah..euh...merci, lui dis-je, écarlate.
Je souris à mon tour à Brian, avant de le quitter rapidement pour rejoindre mon groupe de copain qui s'en allait déjà au cours suivant. Je passai
ensuite toute la journée à me ressasser ce moment en essayant de décrypter un message quelconque de sa part.
copains de classe suite