Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

 

    extrait de : "un garçon trop sensuel"

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Un_gar%C3%A7on_trop_sensuel_(1)  jamais vous ne trouverez mieux écrit et décrit et l'auteur est François T. en 2012

LE POINT / Je repense à quelques moments bien agréables que nous avons passés tous les trois à l'époque des découvertes, quand nous "jouions" sans arrières pensées Bien sûr Thomas m'a déjà branlé, sucé et même sodomisé mais c'était en d'autres temps, à l'époque des découvertes et de nos jeux impudiques, avant qu'il se mette à regarder les filles.

      [après la branlette]  je me campe, les jambes écartées, les mains derrière la nuque et la queue encore un peu grosse devant la glace du placard.

 

  non c'est bien sa queue ! 

 

 

   

 

 

   

 

Je me trouve beau, je me plais assez. Ce n'est pas du narcissisme, c'est de l'objectivité. Jolie petite gueule agréable, buste encore un peu étroit mais où mes jeunes muscles commencent à se dessiner, formes pleines sans la moindre once de gras, bassin étroit, jambes longues et nerveuses. J'aime bien mon ventre que je tends vers son reflet avec ses abdos discrets mais bien présents et la courbe douce qu'il fait en rejoignant mes hanches. Je ne suis pas pressé d'être plus musclé, je trouve harmonieux ce corps tout juste sorti de l'enfance et qui ne connaît pas encore les rudesses du corps adulte. De pilosité, pratiquement aucune, uniquement cantonnée à quelques poils sur le bas des mollets, d'autres clairsemés sous les aisselles et bien entendu un petit buisson sur le pubis qui malheureusement commence à s'étendre. Je préférais quand je n'avais qu'une touffe étroite et dense posée au dessus de ma verge. Je n'aimerais pas être poilu, je voudrais garder ce corps lisse à la peau douce et sensible, ce corps à donner à caresser sans retenue. J'enrage que mes copains n'en profitent pas plus, qu'ils ne veuillent pas en user et en abuser, moi qui suis prêt à m'abandonner complètement à tous leurs caprices. [Hé]las, ils préfèrent la chair plus molle des filles, leurs hanches larges et leurs seins lourds. Dans ma tête je revois le cul large qui s'évase jusqu'aux cuisses, boudiné dans un jean, d'une fille qui a fait flipper* flasher mes deux potes. Comment peuvent-ils le préférer à mon petit cul étroit, pommelé, velouté et haut perché avec son trésor caché, mon anus serré et chaud qui ne demande qu'à les accepter ? Je ne comprendrai jamais les hétéros ou les bis mal assumés ! Je termine mon inspection détaillée par ma verge maintenant presque entièrement dégonflée. Elle aussi je la trouve belle, je me fous qu'elle soit moins grosse que celles de mes potes, elle est d'une jolie taille, bien proportionnée, appétissante avec son prépuce charnu ; agréable à l'œil quand elle est débandée et fière, d'une rigidité de bois, sensible au point de me faire perdre le contrôle de mes jouissances quand elle est bandée. J'aime aussi mes couilles, haut perchées dans la fourche de mes cuisses, rarement pendantes, toujours serrées dans leur sac de peau sombre et peu ridée qui, à mon grand désespoir commence à s'orner de longs poils follets et disgracieux.

 

 

     

 the beautiful art of male pube shaving.

 

Non, franchement pas beau du tout ces poils-là... C'est ce qui me décide : je rentre dans la salle de bain. Ma mère a tout un attirail soigneusement rangé dans un sac de toile qui n'a pas échappé à ma curiosité. Il y a des rasoirs jetables roses, un épilateur électrique, des crèmes dépilatoires et de la cire avec un pot pour la faire fondre. Je suis terriblement hésitant quand à la technique à employer sur mes bourses. J'ai peur de me couper avec le rasoir, de me brûler avec la cire. Je décide de tester l'épilateur d'abord sur les poils de mes mollets. Ce n'est pas agréable, loin de là, mais le résultat est si doux au toucher ensuite que tout en grimaçant je fais disparaître toutes traces de poils sur mes jambes. Je continue l'opération sur mes aisselles ce qui m'arrache (c'est le mot !) une larme à l’œil. Malgré la douleur je trouve le résultat si probant que je passe sans hésiter à la peau des couilles. Le scrotum bien tendu entre deux doigts j'y passe méticuleusement l'épilateur. Curieusement la douleur ressentie est d'un autre ordre. Il s'y mêle un je ne sais quoi d'excitation sexuelle. Mon imagination prend le pas sur la raison. Ce n'est plus ma main qui guide l'épilateur, c'est une autre main qui me fait subir une épreuve à laquelle je ne peux me soustraire. Aurais-je des tendances masochistes ? Je me branle pour affermir mon érection et fais monter un émoi qui transcende la douleur. Accroupi contre le mur, jambes largement écartées je débarrasse sans faiblir et dans une sorte d’exaltation mon périnée et ma raie des quelque poils épars. Le moindre duvet y passe même celui au plus proche de mon anus, au risque de me faire sursauter de surprise et pousser de brèves plaintes. Me voilà à cet endroit aussi glabre que le jour de ma naissance. Je prends le temps de me calmer, de laisser retomber l'exaltation qu'a fait monter l'épilation de la partie la plus sensible de mon anatomie avant de m'attaquer aux poils du pubis. Je devine sans peine que l'épilateur n'est pas approprié pour une telle toison. Mon idée première est de la tailler en une brosse courte comme je l'ai vu chez certains acteurs de film porno. Même si le résultat est réussi et plaisant à regarder, j'ai un vrai désir de voir ma peau nette, de ne garder aucune marque de pilosité, de retrouver ce corps nubile que je découvrais avec contentement dans ma glace, alors encore impubère mais déjà travaillé par les choses du sexe. J'emploie la crème dépilatoire et comme le résultat n'est pas parfait je traque sans pitié, au rasoir, la plus petite racine de poil. Mes espérances les plus exigeantes sont comblées : je suis, de la tête aux pieds, aussi lisse qu'une statue d’albâtre avec le sentiment enivrant d'être encore plus nu que nu. Je termine cette longue toilette par une douche au gel exfoliant, cela s'imposait, et un massage complet au lait de corps. Je me sens particulièrement fort et bien dans ma peau, heureux de pouvoir rester pour mon plus grand plaisir, nu une partie de la journée.

Vers midi, un coup de fil de Damien.

— On n'a pas entraînement de foot cet aprèm', avec Tom on voulait se faire une toile. Ça te dit ?

— Vous ne préférez pas passer à la maison faire un coup de console ?

Déjà dans ma petite caboche je me fais un scénario. Je suis tellement chaud depuis ce matin que je m'imagine les accueillir à poil pour leur faire la surprise que... je n'ai plus de poils ! Tant pis s'ils font la gueule mais aujourd'hui j'ai vraiment envie de m'exhiber devant eux et avec un peu de chance, cela leur donnera peut-être des idées...

— Ben, y a Zombies dans la nuit qui sort aujourd'hui, je ne voudrais pas le rater.

Putain, Damien et ses films d'horreur ! Inutile de vouloir le faire changer d'avis. Alors je dis Ok pour 15 heures à l'arrêt des bus.

 

Ask ur DADDY how HE wants u to be groomed for HIM. Some MEN like a hairy sub, some like a smooth boy, but all of THEM like to feel the power of THEIR decisions over ur being. It’s not about being hairy or smooth, it’s about showing HIM u listen and work to increase HIS pleasure and sense of power. see the MEN i worship: http://serviceorientedsub.tumblr.com/

ATTENTION DE NE PAS TE COUPER AVEC LE GILETTE sinon, adieu la belle aprèm de suce et de baise ...faudra attendre que ça guérisse ! ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    toute la vie on franchit des caps, les gays aussi, François aussi   

 

 

 

*je préfèrerais "flasher" "Eprouver un vif intérêt pour". Exemple : Il a flashé sur elle.  alors que le verbe « flipper » signifie « trembler de peur », comme un joueur  de flipper craint de perdre la boule et use des leviers mécaniques ...

 

 

Mer 13 jan 2016 Aucun commentaire