Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Les aventures d'Alain le rouquin avec son prof d'allemand
http://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2010/Les_aventures_dAlain_le_rouquin__Texte_complet.12.html
par priapeExtrait
Coucou,
Moi, c'est Alain, vous souvenez, le jeune pédé rouquin qui n'arrête pas de baiser avec tous les garçons et les mecs qu'il trouve ? [...]
• Hans et Ulrich
Aujourd'hui, je vais vous raconter ma dernière visite à Hans, mon prof d'allemand [au lycée]. Je dis ma dernière, car Mlle Zimmer, la vielle chouette est guérie et à repris la classe ! Je l'ai bien épatée, car je suis premier de classe, j'ai fait des progrès inimaginables et maintenant, je parle allemand couramment. D'ailleurs, quand j'aurai fini mes études, j'irai vivre à Berlin. Hans m'a dit que c'était une très belle ville. Cet après-midi là, pour une fois, je n'avais pas mis de short court comme je les affectionne tant, ou mon jean taille basse avec le slip qui dépasse, mais mon uniforme de scout.
– Tu va aux scouts le mercredi, maintenant ?
– Non, maman, mais il y a une réunion au local avec les chefs pour le camp d'été.
– Et ta leçon d'allemand ?
– J'irai après.
Je me suis lavé soigneusement, j'ai mis un slip blanc avec ouverture, ma chemise kaki, la culotte courte en velours côtelé, qui a une braguette à boutons, mon ceinturon, mon foulard rouge et or, des chaussettes de laine qui vont jusqu'aux genoux et des bons souliers de cuir. Mon béret sur la tête et en route.
J'ai sonné, pile à l'heure du rendez-vous. Hans m'a ouvert, étonné de ma tenue :
– Guten Tag, mein liebe !
Avec Hans, nous parlons toujours allemand, mais je vous ferai grâce de la version originale sous-titrée !
– Oh ! tu es habillé en scout, aujourd'hui, c'est une excellente idée ! J'aime beaucoup, tu es encore plus désirable, entre !
Nous nous sommes embrassés, comme nous le faisons toujours quand nous sommes chez lui, mêlant nos langues, prélude à nos ébats. Surpris je vis qu'il n'était pas seul, un homme d'une trentaine d'année, grand, aux yeux bleus intenses, à la crinière d'un lion me regarda attentivement, assis dans un des fauteuils de cuir du salon.
– Alain, je te présente, mon ami, Rudolf, qui vient de Berlin. Je loge toujours chez lui quand je vais à Berlin, c'est une ville magnifique et je vais y retourner, puisque mon remplacement est terminé. Rudolf, voici Alain, dont je t'ai parlé bien souvent, c'est un élève très doué et sacré bon baiseur ! Il n'a pas fini de faire des ravages dans les braguettes !
Rudolf s'est levé et m'a embrassé aussi sur la bouche ! Il m'enserra les fesses de ces mains puissantes et sa langue me fouilla immédiatement la bouche. Je frissonnais de plaisir, sentant un élancement dans mes reins. Rudolf était très grand, fort. Il sentait le mâle, la force et la virilité. Je perçu ses muscles à fleur de peau et sa barbe de trois jours râpait agréablement ma joue. Il était vêtu d'un pantalon de toile aux nombreuses poches et rivets ! La forme, le style était assimilable immédiatement à la mode des gays et la braguette, tendue, volontairement exagérée, fermait au moyen de deux gros boutons métalliques et brillants ! Moi qui suis toujours très attiré par les braguettes, j'étais gâté.
– Tu as raison, Hans, ce garçon me semble tout-à-fait exceptionnel, et tu as quel âge mon garçon ?
– Dix sept ans, un peu plus !
– Et bien, tu es vraiment délicieux, charmant gamin !
– Bon, ce n'est pas tout, Alain est venu ici pour travailler, tu as fait tes devoirs ?
– Oui, Hans comme d'habitude !
Il savait bien que je ne manquais jamais un devoir et tout était parfait, néanmoins il me le demandait toujours, cela faisait partie du rituel ! Je sortis donc mon cahier de mon sac à dos et l'ouvrit sur la table. Hans, à côté de moi regarda. La page était impeccable, l'écriture soignée à la plume, je n'avais pas fait une seule faute ou une seule correction. Je me tenais droit, presque au garde-à-vous, silencieux pendant qu'Hans lisait.
– Pas, mal, pas mal, je te félicite, mais où est le devoir de géographie allemande, hein ?
– Quel devoir ?
– Silence, coquin ! Ha ! Tu oses répondre, bien, alors il va t'en cuire.
Et d'un mouvement il me prit par la taille, s'assis sur une chaise et m'obligeant à me pencher, me coucha sur ses genoux ! Je me pris une claque retentissante sur mes fesses ! Et encore une autre et une troisième ! Vlan, la fessée continua.
– Alors, mon garçon, tu as compris j'espère, que la fessée récompense ton manquement !
– Oui, M'sieur, aie, non, je vous promets, je ferrai attention, aie, ça fait mal !
En réalité, Hans, ne me faisait pas du tout mal à travers ma culotte et bien au contraire, ses coups m'excitaient au plus haut point. Rudolf, s'était approché de moi et je l'empoignais par les jambes pour me raccrocher à un soutien secourable.
– Hé, il est inventif, ce petit !
– Je te l'avais dit !
Rudolf me tenait la tête, et en la relevant un peu, je pouvais toucher sa braguette. Je reniflais son odeur de mâle, je reniflais le désir, le musc. Pendant ce temps, Hans ne me tapait plus, mais me caressais les fesses, les cuisses et le dos. Je bandais déjà, il devait sentir la dureté de mon désir contre sa cuisse, comme je sentais son gros bâton contre mon ventre. Il avait, d'une main, déjà débouclé mon ceinturon et ma culotte de velours. Sa main allait se glisser sous le slip, sur mes fesses bouillantes. Je sentais aussi bander Rudolf et je léchais sa braguette comme un chien.
– Ouahou ! Tu es bon, mon garçon, c'est charmant !
– Relève-toi, Alain !
J'obéis, je vis le désir briller dans les yeux de ces deux hommes et moi j'étais super excité ! Qu'allaient-ils me faire ?
– Agenouille-toi et continue de t'occuper de la braguette de Rudolf !
C'est donc ce que je fis et, jouant au petit chien, non seulement je la reniflais largement, mais aussi la mouillais abonnement de salive, pendant que Rudolf me tenais la tête. Il devait être super-monté, car le volume tendait les boutons. Je les ouvris pour laisser apparaître un caleçon de soie rose ! Sa bite dressait le tissu comme un chapiteau et je malaxais les fesses dures ! Je pris la tige de fer qui m'était offerte, et comme Rudolf, avait ouvert son pantalon elle se libéra altière et désirable ! Je la suçais à travers le tissu, la mordillant à plusieurs reprises !
– Quel délicieux pervers !
Pendant ce temps, Hans, agenouillé derrière moi, qui m'avais déjà enlevé ma chemise, me pinçait les tétons, les faisant encore plus grandir ! Il m'avait aussi descendu ma culotte et mon slip et je n'étais plus vêtu que de mes chaussures et de mes chaussettes !
Hans me fis relever le cul, tout en restant agenouillé et je sentis brusquement un nouveau coup sur les fesses ! Cette fois c'était le ceinturon !
– Aie !
– Ne t'inquiète pas trésor, tu va aimer, il y eut un deuxième coup, faisant venir le sang dans mes fesses bouillantes ! Les coups m'allumaient sans vraiment me faire mal et puis, Hans me caressa avec je ne sais quoi de froid ! Ce fut une révélation ! Ce froid succédant au chaud, d'une texture lisse, comme un gel, me fit un effet dingue ! Et ma bite tendue éjecta immédiatement un peu de liquide ! Quelques fois comme ça et je jouirai ! D'autant plus qu'Hans me caressait les fesses avec insistance et ce gel peu ordinaire qui me faisait un effet surprenant.
Je libérai la grosse queue de Rudolf de son caleçon et je découvris avec stupeur que sa bite et ses couilles éteint enserrées dans un anneau de caoutchouc noir ! Par ailleurs, il était totalement rasé ! Sa bite déjà immense semblait alors disproportionnée ! Mince alors ! Les petits garçons n'attendent que d'avoir du poil autour de la bite et du cul, et il y a des mecs qui se rasent !
– Qu'est-ce que c'est ?
– Un cock-ring, on va t'en mettre un aussi, tu verras c'est très agréable, ton érection demeure encore plus ferme et plus longtemps, Ta bite devient plus dure, gonflée de sang ! L'anneau sert à garder le sang dans ta tige.
– Ça fait mal ?
– Bien sur que non !
Nous nous sommes donc déshabillés totalement et je découvris que si Hans avait un poitrail velu, Rudolf devait se raser entièrement, car sa poitrine était glabre. J'allais de surprise en surprise, car il avait aussi un piercing aux seins avec une petite boule d'argent au centre d'un anneau !
Si vous vous souvenez, c'est Hans, qui m'a enculé la première fois et j'aime ça ! Dans mon lit, souvent je m'enfile une carotte, ou ce que je trouve, et en passant devant un magasin érotique, j'ai vu un gode ! J'aurai bien aimé en acheter ! Et bien voilà maintenant je suis servi ! Je m'explique :
Hans m'a mis un de ces anneaux, faisant passer la bite et les couilles, c'est vrai que c'est assez dingue comme sensation. Il ne me sert pas trop, juste ce qu'il faut et j'ai l'impression d'avoir la bite encore plus grande ! Nous sommes couchés sur le tapis et j'ai commencé à sucer la grosse pinne de Rudolf, j'arrive à peine à la mettre dans la bouche, et Hans me suce aussi ! C'est alors que je sens un truc dur contre ma rondelle ! Hans me doigtait depuis un moment et voilà que ce truc remplace ses doigts ! Ce ne peux pas être lui, puisqu'il me suce et alors il me montre, c'est une bite en caoutchouc dur, vachement bien imitée, avec les nervures, le gland et tout ! Un peu de gel et il me l'enfile ! Ouhaou, et en plus ça vibre ! Alors là ça a été le pied géant. Rudolf à juté dans ma bouche, une sacrée quantité de sperme que j'ai avalé en le dégustant, Hans m'a bouffé le mien pendant qu'il me mettait le gode vibreur ! J'ai eu un orgasme comme jamais !
Et puis tout l'après-midi, on a continué l'orgie ! Ils m'on baisé les deux, mêlant leur sperme dans mon cul, je les ai baisé, ils m'ont sucé en même temps, j'ai avalé plusieurs fois du sperme, j'ai enfilé Hans, pendant que Rudolf m'enfilait, on a changé les rôles et grâce au cock-ring, on pouvait baiser longtemps sans jouir ! C'était vraiment dingue ! On s'est bouffé la bouche, les trois ensembles, ils m'ont bouffé le cul et j'ai appris aussi à le faire. Je dois dire que le cul rasé de Rudolf était super-bon ! A un moment donné on s'est mis de chaque côté avec Hans et on lui dégusté les tétons percés. D'après les cris qu'il a poussé de devait être vraiment prodigieux ! Vivement que je puisse aussi me le faire !
Et le gode à bien servi, Hans en avait d'autres, différents, si bien qu'on a pu s'amuser un max ! Il en avait même un grand, souple avec une bite de chaque côté ! Il se l'est enfoncé en même temps que Rudolf et pendant ce temps je les suçais les deux alternativement !
Je n'avais plus de jambes quand je suis rentré à la maison , épuisé de cet après-midi de délire, j'ai salué mes parents et je suis monté me coucher sans manger ! Je n'avais pas faim ! Et le lendemain je me suis réveillé frais et dispos, prêt à recommencer !
P... ! Le sexe avec des mecs, c'est vraiment trop bon ! Et après avoir pris la bite de Rudolf, j'attends de pied ferme n'importe quel membre !