Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
et si ça s'arrêtait là, au moment de consommer un désir intense ? on peut prévoir un dérèglement de la sexualité qui devient une recherche permanente et constamment déçue de l'accomplissement de l'acte...
"STOP ! Il se mit debout et rangea son pénis dans son jean. Il avait un air sévère. Je me redressai également et me rhabillai. Nous ne parlions pas. Nous nous exécutions. J’étais perdu. Il s’essuya le front avec le revers de sa manche et prit son sac à dos avant de sortir sans parler. Je me sentais tout bonnement con... Le terme est faible, mais efficace pour définir mon ressenti "
UN ARRE¨T AU MAUVAIS MOMENT
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/histoire-lycee-vraie-sujet_5560_4.htm
" Comme je tiens à le préciser, et je ne vais pas vous dire la fin (sinon ça serait dommage), j'ai été avec ce garçon... mais je ne vous dis pas si nous sommes restés ensemble, vous le découvrirez plus tard ." l'auteur : SUMMERBOY
il se redressa et m’allongea à nouveau sur la moquette.
Cette fellation l’avait fait monter en pression. Il affichait une sorte d’animosité dans le regard. Il déboutonna les derniers boutons de mon jean
d’une traite, et il le fit descendre avec mon boxer jusqu’à mes pieds. Mes fesses étaient nues contre le sol et mon pénis était bien dur contre mon ventre. Il attrapa mes pieds avec ses deux
mains et les fit basculer vers ma tête.
[extrait] Sans dire un mot, il prit mes mains et
m’obligea à tenir mes jambes dans cette position. Je pense qu’il avait vu mon angoisse transparaître sur mon visage, malgré tout, il dirigea sa bouche vers ma raie.
Étonnamment, il ne semblait pas hésitant. Il mit ses deux mains sur mes fesses et mit sa langue sur mon anus. Je fermai les yeux. J’étais
terriblement gêné. C’était chaud et mouillé, voilà tout. Mais que dire de plus ! Je ne savais pas si j’appréciai. Il se mit à me lécher lentement tandis que je restai immobile, complètement
tendu. Je sentais parfaitement sa langue s’amuser à essayer de rentrer dans mes fesses, à essayer de forcer cet endroit si intime et si délicat auquel je ne pensais jamais…
Comment pouvait-il ? Je me sentais tout à coup furieux. Je me sentais honteux. Mais comment aurais-je pu le rester plus longtemps : sa présence même
m’était merveilleuse, il avait l’air d’aimer ce qu’il faisait. Finalement, je décidai de me laisser aller à son bon vouloir. Ses mains puissantes serrèrent mes fesses avec plus d’ardeur et il les
écarta un peu plus pour y faire passer sa langue un peu plus profondément.étais désemparé. Mes petites fesses étaient maintenant sous ses yeux : entrouvertes, offertes à lui.
Mon compte était bon. J’étais littéralement angoissé. Je trouvais que la situation allait un peu trop loin. J’étais égaré : j’avais envie d’essayer,
de faire ça avec lui, mais pas ici, pas dans notre lycée.
Sans dire un mot, il prit mes mains et m’obligea à tenir mes jambes dans cette position. Je pense qu’il avait vu mon angoisse transparaître sur mon
visage, malgré tout, il dirigea sa bouche vers ma raie.
Étonnamment, il ne semblait pas hésitant. Il mit ses deux mains sur mes fesses et mit sa langue sur mon anus. Je fermai les yeux. J’étais
terriblement gêné. C’était chaud et mouillé, voilà tout. Mais que dire de plus ! Je ne savais pas si j’appréciai. Il se mit à me lécher lentement tandis que je restai immobile, complètement
tendu. Je sentais parfaitement sa langue s’amuser à essayer de rentrer dans mes fesses, à essayer de forcer cet endroit si intime et si délicat auquel je ne pensais jamais…
Comment pouvait-il ? Je me sentais tout à coup furieux. Je me sentais honteux. Mais comment aurais-je pu le rester plus longtemps : sa présence même
m’était merveilleuse, il avait l’air d’aimer ce qu’il faisait. Finalement, je décidai de me laisser aller à son bon vouloir. Ses mains puissantes serrèrent mes fesses avec plus d’ardeur et il les
écarta un peu plus pour y faire passer sa langue un peu plus profondément.
Je gémis.
Il redressa la tête et me regarda dans les yeux. Il avait l’air fier de lui. Il redoubla d’effort avec sa langue. Je sentais ses cheveux sur mes
fesses. Il se plaisait à m’entendre gémir.
Je l’encourageai alors avec de petits bruits sourds.
Soudain, je sentis l’un de ses doigts entrer dans mon anus. Je gémis plus fort. Il le fit entrer entièrement. Il était frais et trop épais pour moi.
J’avais mal, mais j’essayai de contenir mes cris de douleurs. Des larmes vinrent à mes yeux clos. Il ne s’en soucia pas et il fit des vas-et-vient dans mes fesses.
Je gémis.
Il redressa la tête et me regarda dans les yeux. Il avait l’air fier de lui. Il redoubla d’effort avec sa langue. Je sentais ses cheveux sur mes
fesses. Il se plaisait à m’entendre gémir.
Je l’encourageai alors avec de petits bruits sourds.
Soudain, je sentis l’un de ses doigts entrer dans mon anus. Je gémis plus fort. Il le fit entrer entièrement. Il était frais et trop épais pour moi.
J’avais mal, mais j’essayai de contenir mes cris de douleurs. Des larmes vinrent à mes yeux clos. Il ne s’en soucia pas et il fit des vas-et-vient dans mes fesses.
Au bout d’un moment, il changea de doigt – ce devait être son majeur. Il me doigta avec ferveur pendant que je gémissais ma douleur.
Il mit fin à mon supplice et remonta à ma bouche. Il m’embrassa et me guida vers une autre position. Je me retrouvai ainsi à quatre pattes. Il
attrapa à nouveau mes fesses et les pressa entre elles. Il mordit ma fesse droite puis passa sa langue dans mon anus. Comme devenu adepte de cette nouvelle pratique, il se remit à me caresser
l’anus avec une fougue endiablée. Je sentais sa langue si chaude et humide contourner mon trou, surligner ses bords. Il semblait apprivoiser ses détails, ses formes. De mon côté, je commençais un
peu à me diriger vers une forme de plaisir, mais je n’y étais pas tout à fait.
Il quitta mes fesses et je jetai un coup d’œil vers lui. Son pénis était toujours en érection, tout écarlate et bien épais. Il le recouvrait de
salive. Il était si raide et bien droit. Je fus alors effrayé. Je me demandais comment j’allais faire, comment mon corps allait-il réagir ? Brian attrapa mes hanches et souleva mon
tee-shirt. Il m’embrassa tout le long de la colonne vertébrale. Il me maintenait d’une seule main quand je sentis son pénis contre mes fesses. Je sentais son gland, brûlant, mais doux, contre mon
anus.
Voilà, je ne serais plus vierge…
Il resta un moment comme ça, silencieux, les yeux fermés. Moi, à quatre pattes. Lui, prêt à entrer. Il recula un peu, puis il encercla mon ventre de
ses bras et il posa sa tête sur mon dos. Il était en sueur. Je respirais fort. Quelque chose l’avait fait s’arrêter, mais quoi ? Sans doute ma peur…
Il se mit debout et rangea son pénis dans son jean. Il avait un air sévère. Je me redressai également et me rhabillai. Nous ne parlions pas. Nous
nous exécutions. J’étais perdu. Il s’essuya le front avec le revers de sa manche et prit son sac à dos avant de sortir sans parler.
Je me sentais tout bonnement con. Le terme est faible, mais efficace pour définir mon ressenti
Je ne sais pas pourquoi, mais après ça j’ai pleuré. Tout m’avait paru si confus, si irréel : cette atmosphère d’hiver, l’absence
d’électricité et ce que nous venions de faire ! Croyez-le ou non, je ne m’étais jamais senti de ma vie si différent en l’espace d’une heure. C’était comme si, sur l’échiquier que nous avions
établi avec Brian, tous mes pions avaient été pris. J'étais vidé. Ce n’était pas dans mes habitudes de me laisser faire par qui que ce soit, de me laisser toucher comme ça. Mais c’était lui
!
Je devais l’avoir déçu… Mais qu’avait-il en tête en réalité ? Que voulait-il de moi ? Peut-être me posais-je trop de questions… Il avait dû le
sentir, et c’est pour cela qu’il avait tout arrêté et qu’il avait quitté la pièce subitement.
Peut-être avais-je envie de plus avec lui, peut-être ne voulais-je pas d’une simple histoire de sexe entre nous. Mais comment concilier tout ça s’il
n'avait envie de rien de plus ?
Je restai ici à me morfondre jusqu’à la fin de la journée. Je n’avais pas envie de retourner avec mes amis et je n’avais pas envie de le recroiser
non plus.
Il a bien fallu que je redescende à 17 h pour voir si nous pouvions rentrer chez nous. Les autres élèves dans le long couloir du rez-de-chaussée se
déplaçaient vers la sortie. Je me sentais honteux parmi eux. Je me demandais si on nous avait entendus, s’ils le savaient… en somme, j’avais hâte de quitter ces lieux.
La neige s’était calmée et les bus scolaires stationnaient sur le parking comme à l’accoutumée. Je n'eus pas le temps de dire au revoir à qui
que ce soit. Je montai dans mon bus et attendis patiemment que le chauffeur veuille bien me libérer de cette journée chaotique.
Le lendemain, je ne croisai pas une seule fois Brian dans le lycée. Il n’était pas venu à l’un de nos cours en commun et je me demandais si
l’épisode de la veille l’avait perturbé autant que moi. Il est vrai que je m’étais forcé à venir ce jour-là, alors que je n’en avais pas du tout envie. J’avais vraiment peur de le revoir et je ne
savais pas comment je devais réagir à sa présence. En fait, je ne le vis pas de toute la semaine. D’une certaine manière, j’en fus soulagé ; ça me laissait le temps de me remettre de tout ça.
Malgré tout, cette absence réussit à m’attendrir et en fin de compte j’avais hâte de recroiser ses si beaux yeux.
Il fit son apparition la semaine suivante en Art plastique. Dès son entrée dans la salle, il ne me chercha pas du regard. Il fila directement à sa
place. Il passa toute l’heure à ricaner bruyamment avec ses amis. Je tentais de ne pas me tourner vers lui ; je n’avais pas envie de lui prêter attention, mais le désir était trop grand. Comme,
par automatisme, je jetais quelques coups d’œil discret à sa table. Il ne croisa jamais mon regard, mais je constatai qu’il n’était aussi triste que ce que j’avais imaginé. Il
donnait plutôt l'impression de s’extasier sur place tant ses rires étaient forts. En temps normal, je m’entendais bien avec ses amis, mais là, j’avais le sentiment qu’ils s’étaient tous ligués
contre moi pour me montrer que Brian n’en avait rien à faire de ma petite personne. Au fond, je savais que j’exagérais. Ce n’était pas possible qu’il en ait parlé. Surtout en sachant ce qu’il
risquait si tout le monde apprenait notre entretien au quatrième étage. Mais ça me faisait mal de penser qu’il était passé à autre chose.
Après tout, me diriez-vous, pourquoi ne pas le prendre à part et discuter avec lui ? Eh bien, il fallait reconnaître que j’étais plus à l’aise avec
le langage du corps qu’avec mes mots. Depuis le début, notre relation s’était construite sur une suite de coïncidences. Alors, j’avais peut-être peur de perdre cette excitation : celle de le
rencontrer par hasard ; j’attendais qu’il vienne à nouveau vers moi. Dans tous les cas, il m’impressionnait énormément.
Toute la semaine, il me fit subir son indifférence. Il passait à côté de moi en me frôlant – parfois en me bousculant – et riait très fort avec ses
amis. J’essayais de me retrouver au même endroit que lui, de manière à forcer le destin. Mais, jamais je ne le vis m’adresser un simple regard. Je me sentais honteux, et le soir je
pleurais dans ma chambre tellement cette situation me traumatisait. Mes copains avaient remarqué mon changement de comportement sans comprendre pourquoi. Pendant le week-end, je pris la décision
d’être dorénavant aussi indifférent qu’il l’avait été avec moi.
La semaine qui suivit, j’eus du mal à me tenir à ma nouvelle résolution, surtout lors de notre habituel cours en commun du lundi matin — mon
automatisme de regard était encore présent. Mais les jours suivants, je devins un peu plus agile : je ne le regardais plus, je plaisantais à nouveau avec mes potes et surtout, je ne cherchais
plus à le croiser dans les couloirs.
Jeudi à 15 h, alors que je sortais de mon cours de chimie, je tombai nez à nez avec lui. Il attendait tout seul devant ma salle. Tandis que
j’essayais de l’esquiver, je le vis me fixer dans les yeux avec une pointe de peine dans le regard. Ce fut notre unique échange de la semaine.
Les jours passèrent et je trouvais que c’était du gâchis. Il avait calmé son jeu, il était moins exubérant, mais je continuais à ne pas le
regarder. J’avais passé toutes mes nuits à penser à lui. J’avais cherché le courage au fond de moi pour faire à mon tour le premier pas. Peut-être était-ce cela qu’il attendait. Alors je décidai
de lui donner rendez-vous le vendredi suivant.
Un jeudi à 12 h, au troisième étage, alors qu’il avait cours d’anglais, j’attendis devant sa salle– il sortait toujours en dernier. J’avais une
pause d’une heure puis j’avais cours dans la même salle. Toute la 2ndD sortit rapidement. Je le vis ranger ses affaires dans son sac. Il discutait en même temps avec mon prof. J’en profitais pour
intervenir. Je demandai si je pouvais laisser mes affaires ici pour aller manger.
— C’est drôle, d’habitude vous êtes tout le temps en retard ! me fit remarquer M. Bois.
Je ne répondis pas et me contentai de lui sourire.
J'étais complètement désemparé. Je sortis de la salle avant Brian, et je descendis d’un étage, avant de me raviser. J’attendis dans les escaliers.
Il fallait que je le rencontre. Mon cœur battait très vite tandis que je l’entendais arriver du troisième étage. Quand il apparut en haut des marches, il tourna les yeux et continua sa descente.
Il m’adressa un sourire en passant à côté de moi, et je le lui rendis. Puis il continua de descendre les marches. J’étais resté figé, incapable de lui parler. En une fraction de seconde, je
trouvai le courage et je me mis à courir pour le rejoindre.
« Eh ! Brian ! »
Il se retourna, interloqué. Il avait un petit air perdu qui le rendait très craquant. Je lui tendis un message sur un bout de papier, dans lequel je
l’invitais à me rejoindre au 4e étage, le vendredi à la fin de ses cours.
Ce jour arriva. Je montais à 15 h au quatrième étage, l’espoir au cœur, et je l’attendis en haut des marches du grand escalier. J’étais à la fois
stressé et excité à l’idée de devoir lui dire ce que je pensais de tout ça. Je patientai une bonne heure, avant de me décider à quitter les lieux. Il ne s’était pas manifesté.
Je ne comprenais pas. Pourquoi ne pas m’avoir prévenu ?Apparemment, il avait définitivement tiré un trait sur moi.
Samedi, je reçus sur mon portable un SMS de sa part :
« Salut, une pote m’a passé ton numéro. Je suis désolé pour vendredi
je n’ai pas eu le temps de te prévenir, ma mère est venue me chercher. On peut remettre ça au vendredi d’après ? »
J’étais soulagé et sceptique. Je ne savais pas trop quoi penser. Malgré tout, je lui envoyai un « OK. »
La semaine qui vint me parut tout à fait étrange. J’étais angoissé, et Brian ne me regardait plus. J’avais l’impression qu’il s’était joué de moi
avec son message et qu’il ne comptait pas venir. Malgré tout, je remontai au quatrième étage le vendredi à 15 h pour l'attendre.
Contre toute attente, il arriva quelques minutes après. Il affichait un grand sourire.