Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
le Kénia n'a pas, lui, commencé à imaginer que les homos pourraient avoir les MOINDRES droits....
leur faudra-t-il 1000 ans ?
"President Obama chided his host on gay rights and said no African state should discriminate over sexuality."
Les 24 et 25 juillet 2015 Obama était au Kénia.
."
Homosexuels : "l'égalité des droits" pour l'Afrique
Bien que le président kényan ait assuré que la question était "un non-sujet" dans son pays et qu'elle ne serait pas officiellement "au programme" des discussions, Barack Obama a réclamé "l'égalité des droits" pour les homosexuels en Afrique, en comparant l'homophobie à la discrimination raciale qu'ont connue les Etats-Unis.
J'ai été constant à travers toute l'Afrique là-dessus. Quand vous commencez à traiter les gens différemment, parce qu'ils sont différents, vous vous engagez sur un terrain où la liberté s'érode."
"Quand un gouvernement prend l'habitude de traiter les gens différemment, ces habitudes peuvent s'étendre. En tant qu'afro-américain aux USA, je suis douloureusement conscient de ce qu'il se passe quand les gens sont traités différemment devant la loi", a ajouté le pensionnaire de la Maison Blanche.
L'homosexualité reste illégale dans une grande majorité des pays d'Afrique, Kenya compris (même si les peines y sont rarement appliquées). Barack Obama avait déjà apporté son soutien aux homosexuels sur le continent, estimant depuis Dakar en 2013 que "tout le monde doit avoir les mêmes droits". Et à l'instar du président sénégalais Macky Sall à l'époque,
Le Président Kenyatta a répondu qu'il y avait des "choses que, nous devons l'admettre, nous ne partageons pas".
Il est très difficile pour nous d'imposer à la population ce qu'elle n'accepte pas elle-même. C'est pour cela que je dis que pour les Kényans aujourd'hui, la question des droits des gays est vraiment un non-sujet", a-t-il insisté.
le Nouvel Obs
Publié le 25-07-2015 à 20h43
Arrivé vendredi sur la terre natale de sa famille paternelle, le président américain a promis qu'il reviendrait un jour "sans costume". Et a adressé plusieurs déclarations fortes au continent africain. Barack Obama a passé une partie de la journée en compagnie de son homologue Uhuru Kenyatta. (Ben Curtis/AP/SIPA)