Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

 

 

 

 

 

j'approchai mon visage de son haleine fraîche lui sentait son eau de toilette, mais son sexe exhalait,  malgré la douche, cette petite odeur aigrelette des non-circoncis ma langue s'impatientait de découvrir le prépuce déjà un peu laiteux. Son souffle transportait la plainte continue du désir...Nous étions mal installés, mais je voulus l'apaiser...              
Sam 8 aoû 2015 Aucun commentaire