Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
« Je filai dans la chambre et revins avec un gode aussi gros et long que ma queue.
Je m’installai dans un fauteuil, le cul tout au bord pour bien faire ressortir ma queue.
« Viens t’asseoir dessus chéri, viens t’empaler sur ton maître…mets tes pieds sur les accoudoir et appuie-toi sur mes cuisses… là comme
ça… ».
Tremblant, mais toujours bandant, mon chéri vint s’asseoir sur ma queue dressée.
« Je ne me lasserai jamais de cette bonne chatte juteuse. Regarde comme tu mouilles du cul, ma salope. Tu meurs d’envie d’avoir deux gros
mandrins dans la chatte, n’est ce pas ?... oui tu en as envie chéri… je vais te les mettre… tu vas voir comme ça va être bon… tu seras bien rempli ma puce… écarte bien ta chatte ma petite
pute… oui comme ça… » »
http://www.cyrillodildo :)
.biz/histoire-gay-2012-avec-larry-3.php
Les injures des amants n'offensent jamais
"Et puis, Madame, ne savez-vous pas que les injures des amants n'offensent jamais ? qu'il est des amours emportés aussi bien que des doucereux? et qu'en de pareilles occasions les paroles les plus étranges, et quelque chose de pis encore, se prennent bien souvent pour des marques d'affection par celles mêmes qui les reçoivent ?" Molière La Critique de L'Ecole des femmes, sc. VI