Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
* Pendant ce 69 d’enfer, j’écartai son magnifique cul, faisant apparaître sa rosette serrée. Humm ! Quel délice pour les yeux,
la bouche, le nez. Son trou était propre, il devait faire des lavements deux ou trois fois par jours, je l’exigeais.
J’humectai mon doigt et lui massai la rondelle, en appuyant de plus en plus pour me frayer un passage. Larry gémissait de plus en plus fort, et
j’avais un peu de mal à me concentré, tellement il me suçait goulument. Ma queue à l’étroit dans sa bouche était raide de désir. Je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme là. Il fallait que je
l’arrête avant de cracher la purée dans sa gorge. Je ne voulais pas lui donner tout de suite sa dose de lait…
Je me positionnai derrière lui et écartai de nouveau ses fesses. Je plongeai mon visage dans son sillon tendre et passai ma langue sur sa rondelle
qui commençait à se détendre. Je le léchai, le suçai, l’aspirai jusqu’à ce que l’anneau se desserre. Je fis glissai ma langue dans le trou rose qui commençais à s’ouvrir. Dieu que c’était
bon ! Je ne me lasserai jamais de ce goût. Je fis entrer et sortir plusieurs fois ma langue dans son trou de plus en plus vite, de plus en plus profond. Puis j’y enfonçai mon majeur jusqu’à
la garde. Larry se cambra un peu plus sous la caresse, gémissant dans les coussins. Il aimait ça, mon homme, il aimait que je lui ouvre son p’tit trou avec ma langue et mes doigts avant de le lui
éclater la rondelle avec ma grosse bite. Oh oui il aimait ça, mon bel amour.
Je travaillai son trou profondément, titillant et massant l’intérieur moelleux avec mon doigt. Puis je fis rentrer un deuxième doigt, puis un
troisième. Son trou se dilatait doucement sous la pression, et il mouillait abondement. Il gémissait de plus en plus fort.
« Oui chéri, je vais te la mettre…tu es trempé ma puce… tu as envi que je te défonce… oui mon amour, tu vas en prendre de la bite, ma petite
pute ».
J’attrapai le tube de gel que j’avais apporté et enduisit ma queue. Larry ondulait du cul, impatient, avide.
« Cambre toi, ma salope, et ouvre bien ta chatte… »
Je rentrai d’une ruade. Larry hurla, déchiré par la douleur et le plaisir. Je poussai ma queue jusqu’à la garde, violement. Sa chatte était
brulante, serrée et humide à souhait. Les contractions de sa rondelle sur ma bite m’excitèrent encore plus. J’attrapai ses hanches et commençai à marteler son cul d’enfer, merveilleusement cambré
et offert. (*)
* http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2012-avec-larry-2.php