Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
la selle l'encule, mais lui ça lui convient !
et lui, rien que de penser à la selle dans son cul, ça le fait bander !
Pas de problème, y-a-que des solutions !
ça vous les bouffe
Sujet de revendication, important pour la reproduction de l'espèce: l'adaptation des selles de vélo à la morphologie humaine. Les
valseuses, par exemple, réclament beaucoup de ménagement, comprimées qu'elle sont par les cuisses, l'entrejambe et la selle. Ouille les torsions et les écrasements! Quelques fabricants prennent
la peine d'analyser le problème, mais le résultat est coûteux et la plupart des cyclistes pensent à leur bourse en achetant l'engin, plutôt qu'aux bijoux de famille.
A la pointe de la selle, il y a le bec qui doit offrir une base confortable lors des longs efforts assis,
par exemple à la montée, mais aussi à la descente où l'on contrôle le vélo avec les cuisses. Et puis, l'intérieur de la cuisse frottant contre le bec à chaque tour, c'est rapidement brûlant... L'architecture centrale de la selle devrait idéalement ménager à la fois:
les boules et leur enveloppe de peau, le périnée et derrière lui la prostate, l'anus, toutes les veines qui parcourent la région ainsi que l'artère
dorsale profonde de la bite. Certains constructeurs prévoient un canal qui éviterait l'écrasement. Ensuite, il faut se préoccuper de la répartition de l'assise entre les fessiers et la partie
inférieure du bassin afin d'éviter, entre autres, l'écrasement du coccyx et des ischions, surtout en vtt. La solution: disposer de plusieurs selles
adaptées au parcours prévu.