Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

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Un beau-frère initiateur

 

    Je m'appelle Alain. Je suis un étudiant sérieux, pas trop mal physiquement, gay mais puceau. Obsédé par le sexe, je me masturbe au moins 4 fois par jour. Je passais une semaine des vacances scolaires chez ma sœur aînée et Jacques, son mari. Il est un homme de 35 ans, très bandant, travailleur en construction, aussi maniaque du sexe que moi, selon les dires de ma sœur. Samedi dernier, j'avais rendez-vous avec des copains pour faire une partie de foot au stade municipal. Je me suis levé tôt pour me préparer. D'abord la douche, que je prends dans la salle de bain.

Alors que je m'essuyais, le beau-frère, qui devait ressentir un pipi pressant, s'est faufilé dans la pièce, dont j'avais laissé la porte entrouverte. Il pensait sans doute passer inaperçu, ce qui aurait été le cas si je n'avais tiré le rideau à ce moment là... Surprise, Jacques m'a adressé un sourire gêné. Mais le plus gêné des deux n'était pas celui qu'on pense, j'étais nu devant lui. Sportif certes mais pas spécialement athlétique, avec mon sexe rétréci par l'eau fraîche.

— Excuse-moi, je suis confus...

Ne sachant comment réagir mais pas mécontent apparemment, mon beau-frère a décidé d'en plaisanter:

— Je n'ai plus qu'à me déshabiller, comme ça on sera à égalité!

Joignant le geste à la parole, il enleva son t-shirt et je crus tomber à la renverse quand je le vis retirer son jeans, me faisant découvrir presque intégralement son corps. Puis, s’approchant un peu de moi, il me dit:

— Comment trouves-tu mon corps?

Sans me laisser le temps de répondre, il dit:

— Je sais par expérience que les femmes et certaines catégories hommes aiment bien tout ce qui est musclé.

Il parlait avec naturel, comme s'il était normal que nous soyons tous deux à poil dans la salle de bain, avec ma sœur qui dormait dans la chambre à côté! Moi, je fixais son bas-ventre: on voyait très bien la forme de sa queue sous son slip. Il n’était pas en érection et il paraissait énorme. Jacques a sans doute réalisé qu'il me troublait:

— Ça grossit vite ton machin, dis-donc...

L'atmosphère s'érotisait nettement. Il regardait avec un air de reproche mon sexe qui prenait de la vigueur. Vexé, je me suis tourné pour achever de m'essuyer. Je frissonnais, rouge de confusion, envahi de pulsions bizarres. Dans un sursaut de hardiesse, comme un coup de poker, je me suis retourné à nouveau: je bandais dur, vraiment dur.

— Alain, je suis terriblement désolé. Tout ça est de ma faute, je n'aurais pas dû... J'en aurais bien envie aussi, mais tu comprends que c'est impossible, n'est-ce pas? Allez, viens: je vais te faire passer ça...

D'un geste précis, il m'a saisi mon pénis qu'il a caressé méthodiquement, de plus en plus vite. J'étais mal à l'aise mais je me suis laissé faire, j'en avais besoin certainement. Il a concentré sa pression sur le gland, j'éprouvais une troublante sensation qui a fini par s'exprimer par de violentes giclées dans le lavabo. Jacques m'a embrassé sur le front comme un enfant, et s'est enfui vers sa chambre, enfilant rapidement son jeans.

En passant devant la chambre à coucher, j'ai entendu les bruits caractéristiques d'un couple en pleine action. C'était injuste! J'entendais des respirations saccadées, des claquements humides et des plaintes aiguës qui m'inspiraient une jalousie diabolique. Excité par ce que j’entendais, je me rendis à ma chambre pour me branler en pensant à lui. Ça ne s'est pas arrangé le soir! Mon beau- frère et ma sœur recevaient des amis. On aurait dit que Jacques le faisait exprès, qu'il cherchait à m'exciter en vain, moi le jeune qui ne jouait pas dans la cour des grands...

Ce que j'aurais voulu, c'était arracher la chemise de mon beau-frère et lui mordre les tétons, les faire durcir de plaisir jusqu'à la souffrance; lui baisser les pantalons et passer à l'acte. Qu'il soit le mari de ma sœur ne me gênait pas, j'en avais envie moi aussi et depuis longtemps mais encore plus depuis cet après-midi. Je me sentais dangereusement entraîné vers je ne sais quel abîme.

En attendant, je me défoulais dans le foot! Le lendemain, j'avais fait un match et j'allais rejoindre les vestiaires, quand j'ai aperçu mon beau-frère sur le bord de la pelouse. On a papoté tant et si bien qu'arrivés aux vestiaires, il n'y avait plus personne. J'étais en tenue sportive: baskets, short et maillot. Il fallait que je me change.

— Ça ne t'ennuie pas si je te regarde? me demande-t-il.

— Si, beaucoup!

J'avais déjà le short aux chevilles. De toute façon, j'allais garder mon caleçon et enfiler mon jean.

— Alain, montre-moi ta bite...

Sans blague, il pouvait toujours compter là-dessus! Mais en même temps, vaniteux tel un pou, j'étais pris d'une érection rapide. Après une valse-hésitation, j'ai fini par sortir au-dessus de l'élastique du caleçon mon sexe tel que je ne l'avais jamais vu: énorme, veiné et décalotté sous la pression sanguine. Jacques était torse nu et ne portait seulement qu’un short très court qui rendait hommage à ce qui se trouvait dessous. Il savait que ça me mettait dans tous mes états.

— Déshabille-toi, je veux te voir à poil...

Résigné, sous le charme d'une étrange perversité, envoûté à coup sûr, je me suis livré à un curieux strip-tease. J'ai ôté le short, puis j'ai retiré les baskets, le maillot, le caleçon et enfin les chaussettes. J'avais les tétons gonflés comme ceux d'une femme. Je bandais à faire mal, avec les testicules ramassées à la base de la queue.

— Sait-tu que tu me donne une folle envie de baiser?

À quoi jouait-il? Je le connaissais si bien... Allait-il se dérober comme hier après-midi? Cherchait-il à humilier un puceau pris au piège? Jacques a sorti un condom en me disant:

— Allonge-toi sur le banc, les jambes bien écartées de chaque côté.

Il fallait assumer maintenant! Finis les délires, les fantasmes... la réalité s'imposait dans toute sa crudité. J'ai levé les jambes et je me suis mis en position. Pendant ce temps, je le voyais enlever son short. Il s’approchait de moi lentement, en caressant doucement sa queue qui durcissait sous mes yeux.

— Sois franc mon beau Alain, ça fait longtemps que tu rêves de ce moment non?

À genoux derrière moi, le dos tendu comme pour faire des pompes, le sexe bien raide. Il a frotté son gland à l’entrée de mon anus. Puis il a poussé profond, au maximum de ses forces et, sans réfléchir à rien, il m’a limé comme un dingue. Comme j'étais placé, je voyais sa queue qui pilonnait mon cul. Je sentais ses couilles qui me battaient les fesses. Je gémissais, soumis et enflammé. C'était un grand moment!

— C'est bon Jacques, n'arrête pas, vas-y, vas-y!

Je voulais jouir. Il me défonçait de plus en plus fort, poussant son sexe au fond de mon anus. Je jouissais tellement que ma queue gicla sur mon torse. Jacques se retira vitement de mon cul, enleva son condom, s’avança vers moi et en vrai mâle macho, il me poigna par les cheveux et commença à me pénétrer dans la bouche, comme s' il pénétrait un anus, de bon coups virils et à fond dans la gorge, me claquant ses grosses couilles sur le menton. Son jeu de va-et-vient dura plus de 10 minutes, avant de se mettre à hurler et me remplir la gorge de plus de 4 jets épais de son sperme qu’il m’a obligé d’avaler.

Je dus reconnaître que le goût de son sperme était délicieux. Alors qu’il remettait son short, il me dit:

— C’est pas croyable, pour un puceau, tu es doué. Tu suces mieux que ta sœur. Si ça te dit, on remettra ça. Tu est là pour la semaine, autant en profiter. Et je ne détesterais pas enculer encore ton beau petit cul.

Il me fit un clin d’œil et me laissa seul au vestiaire. J’étais très heureux de cette première expérience. Alors que je m’étais glissé sous la douche, je me branlais en pensant à ce qui m’attendait cette semaine. Et tant pis pour ma sœur.

 

 

Jeu 19 mar 2015 Aucun commentaire