Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
NDLR Victoire à deux, déterminante*
Tout un travail pour "devenir ce que l'on est", aller à la rencontre de l'Autre dont le besoin est certes différent, mais complémentaire. Lui aussi, avec un si gros sexe, a un problème d'acceptation...ça le rend diplomate, doux et gentil.
*A confirmer : le gars ne va plus vouloir être pénétré que par de grosses bites
J'avais 22 ans à l'époque des faits de l'histoire suivante. 22 ans mais j'en faisais plutôt 18-20 ans, châtain clair-blond, plutôt menu de corps (65 kg pour 1m80), même si les longueurs de natation de mon adolescence avait dessiné des pecs dont j'étais fier
Ce jour-là, j'avais rendez-vous chez un mec suite à une petite annonce sur internet. Un peu plus vieux que moi, 28 ans, plus grand, 1m90, mat de peau et surtout actif. C'était le 2ème mec que je rencontrais
J'arrive chez lui avec un peu d'appréhension face à l'inconnu et sonne. Il m'ouvre la porte et c'est une très bonne surprise : fidèle à la description de son profil, un grand rebeu, brun, une belle peau mate, sportif. Il avait une carrure impressionnante qui lui donnait une virilité très excitante, des épaules larges, un t-shirt qui laissait apparaitre de beaux biceps, des grandes mains
Il me propose un café que je refuse : je n'étais pas là pour ça… et j'avais très envie de l'embrasser. On s'installe rapidement sur son canapé et on
se rapproche. Il pose ses lèvres contre les miennes et sa langue pénètre ma bouche. Un baiser bien chaud, nos langues se mêlant avec délices. Entreprenant, il soulève mon t shirt pour me
l'enlever et caresse directement mes pecs imberbes. Je l'imite, le mettant torse nu : un vrai kiff, le mec qui fait de la muscu mais pas de gonflette, un corps massif et souple, dessiné, très peu
poilu. Je bande comme un fou en caressant ses bras et son torse puissant. Mes mains parcourent son ventre jusqu'à effleurer son jogging qui commence à sacrément se déformer. Je ne m'étais pas
intéressé avant sur internet à la taille de son engin, mais j'aurais peut être dû, vu la taille de la bosse…
Ses mains parcourent mon corps, mos dos, palpent mes fesses. Il arrête son baiser et me demande si je veux le sucer. Je réponds un petit oui et
commence à me pencher. Il se contorsionne pour baisser son jogging et son caleçon, et là, sueur froide. Il libère littéralement un monstre, qui claque lourdement contre son ventre. J'avais
pas une grosse expérience des bites, mais j'avais rarement vu un truc pareil. Elle est énorme ! Elle doit faire au moins 22 cm et surtout très grosse, 6 cm (peut être 6.5-7?) de large, sur tout
le diamètre. Il y a des queues larges et plates, là c'est un gros cylindre de chair, surmonté d'un gland (circoncis) prêt à éclater. Je la prends en main, elle est chaude et bien dense. J'ouvre
ma bouche et tente d'y mettre cette bite affolante. Le gland passe entre mes lèvres et frotte contre mes dents. Je me décroche un maximum la mâchoire, mais j'arrive à peine à en mettre plus dans
la bouche. Je lui suce alors le gland comme je peux, la bouche complètement remplie, mes dents grattant de temps en temps les quelques centimètres qui parviennent à entrer. Ma salive coule tout
le long de sa queue. J'en profite pour laisser le gland et lécher sur toute la longueur, jusqu'à ses couilles tendues et poilues. Je le branle en donnant des coups de langue. « C'est vrai que les
mecs ont parfois du mal à la sucer ». Je confirme mais n'abandonne pas. Mes lèvres parcourent l'épaisseur du monstre, du bas jusqu'en haut et me remets à le sucer du mieux que je peux. Cette fois
mes 2 mains le branlent et je parviens à en mettre un peu plus dans la bouche. Pour m'encourager, il pose une main sur ma tête et accompagne mes petits mouvements de succion. Il appuie un peut
trop, ça me fait mal à la bouche tellement elle est ouverte. Sa bite tape l'arrière de ma langue : elle m'étouffe, mes yeux pleurent et je suffoque. Je me relève en le branlant toujours
:
« -c'est vrai que c'est un sacré morceau !
-Je sais. Et parfois les mecs la prennent plus facilement dans le cul que dans la bouche
-Ah…
Il me sourit :
« -t'as plus envie ?
-c'est vrai que ta bite est excitante mais elle est super grosse. Je me suis fait prendre qu'une fois, je suis plutôt serré, je suis pas sur qu'elle
entre. J'ai déjà du mal à la mettre dans ma bouche, alors là, …
-T'inquiète pas, je vais doucement. Moi aussi j'ai envie de baiser et pas forcément d'éclater un cul. On ira tranquille, tu me diras »
Je ne réponds pas vraiment, à la fois excité par l'engin et terrifié par l'idée de l'avoir dans les fesses. Il se lève pourtant, déplie le canapé et
me met à 4 pattes. Il est à genoux à côté de moi, la bite tendue vers ma bouche que j'ouvre pour la lécher/sucer. Ses mains descendent mon dos, retrouvent mes fesses, passent sous mon jean
et glissent vers ma raie. Je sens un doigt titiller ma rondelle pendant que sa queue me remplit la bouche, ma langue tentant désespérément de jouer avec son frein. « c'est vrai que t'as l'air
serré ! je vais arranger ça ». Il retire sa queue luisante de ma bouche, se place derrière moi et me dessape. « waouhou, quel cul ! » C'est vrai qu'il plaît. Un petit cul, blanc et lisse. Il
prend mes fesses dans ses mains, les malaxe et pose de la salive sur ma raie. Avec un doigt il l'étale par petits ronds, se focalisant de plus en plus sur mon trou. Il pousse et je sens son gros
doigt rentrer dans mes fesses. Il est passé sans encombre, sort et entre à nouveau. Je suis toujours à 4 pattes devant lui, le cul bien en l'air. Il mate mon boule, le malaxe, crache à nouveau et
un 2ème doigt rejoint le 1er. Là je le sens nettement plus. Il me travaille le cul avec ses 2 doigts et je me commence à me détendre. Il tente un 3ème doigt, déjà plus difficile. « Je voudrais
t'ouvrir un max pour faciliter le passage de ma queue ». Je suis complètement d'accord, surtout en anticipant ce qui m'attend ! Ses 3 doigts n'accrochent plus désormais, même si leur passage
n'est pas une partie de plaisir. « J'ai trop envie de ton cul ! J'ai envie de te prendre, d'accord ». « ok, mais vas-y mollo, t'es que le 2ème mec à passer par là ». Il sourit en enfilant une
capote XXL sur sa queue qui avait à peine débandé. Il prend du gel, m'en met sur et dans la rondelle, puis s'en met sur toute la longueur de la capote. Il présente ensuite sa queue à l'entrée de
mes fesses un peu tremblantes
Il ouvre bien mes fesses avec ses mains et pousse son gland par petits mouvements. Je sens la pression, mais ne parviens pas à le laisser passer. Il me remet un doigt, m'assouplit, puis se présente à nouveau en poussant un peu plus. Il ne rentre toujours pas
-« elle est trop grosse pour moi
-détends toi, fais moi confiance, elle va rentrer. Elle finit toujours par rentrer. Décontracte-toi au maximum »
Avec sa main il appuie sur mon épaule pour me mettre la tête dans le coussin, le cul bien relevé. Il passe au moins encore 5 minutes à essayer
de pousser (c'est très long…), sans plus de succès. Je me laisse faire, sans trop d'expérience. Il remet du gel, se présente sur ma rondelle, me prend par les hanches et continue à tenter de me
percer jusqu'à ce que ça cède enfin, dans une grande douleur. Je laisse échapper un cri, le souffle coupé, je m'écroule sur le matelas, les jambes tremblantes. J'ai super mal au cul, mon anus
n'est qu'une boule de douleur contractée. Il sort sa queue à peine entrée. « Excuse moi, je suis allé trop vite (après 5-10 minutes de tentatives quand même). Reprends ton souffle, prends ton
temps »
La douleur estompée, je me remets à 4 pattes, tremblant, le regard sur la bite presque à l'étroit dans la capote. Il se remet derrière moi, s'enduit
de gel et pousse son gland entre mes fesses. La douleur est encore présente, mais sa bite commence à s'enfoncer dans mon ventre. Après quelques centimètres, il s'arrête pour que mon cul
s'habitue. « ça va, continue ». Mon trou enserre complètement sa queue, j'ai peur qu'il se fissure, mais il parvient à me mettre encore plusieurs centimètres, jusqu'à se qu'il ne puisse plus
avancer. Je suis cloué à 4 pattes, avec la sensation de ne plus pourvoir bouger tellement sa bite me distend le cul. Je passe ma main entre mes jambes pour toucher ma rondelle autour de son
engin, pour m'assurer qu'elle ne saigne pas. Je lui touche ensuite les burnes ce qui me permet de constater qu'il reste encore pas mal de cm de queue en dehors !
Il commence à se retirer pour revenir aussi profond. Mon cul tente comme il peut de répondre à l'assaut, mais je sens chaque cm me visiter les
intestins. Il glisse cependant plus facilement, et commence un limage de plus en plus doux et régulier. Ses mains m'agrippent par les hanches et ses coups de reins prennent de l'ampleur. J'ai
l'impression de me faire tronçonner les fesses blanches par son mandrin brun. Au bout de quelques temps, je le sens se crisper et sortir de mon cul. Je me retourne et je le vois enlever la capote
remplie de sperme, tout souriant. « J'étais trop excité, ton cul est trop bon. Mets-toi sur le dos ». Je m'exécute, et sans débander, il enfile une autre capote sur sa pine gonflée à bloc.
Re-dose de gel, et il se met entre mes cuisses, dirige sa queue à nouveau vers mon trou qui cède facilement cette fois tellement je dois être ouvert. Il colle son torse contre le mien,
m'embrassant pendant qu'il me pénètre. Ça commence à devenir bon. La douleur qui est partie progressivement fait place là au plaisir de sentir son énorme bite au plus profond de moi. Je m'agrippe
à ses fesses un peu poilues, rebondies et fermes. Pour la 1ère fois, je sens ses couilles taper contre mon cul. Ça y est, j'ai réussi à me prendre son monstre en entier ! Je serre mes jambes
relevées autour de sa taille pour qu'il reste en place, dégustant la sensation d'être complètement rempli, transpercé. Il sourit en m'embrassant, ses lèvres perlées de sueur. « Je suis bien au
fond de ton cul ». ça oui, j'avais bien senti
Il continue alors son va et vient, en prenant appui sur ses bras. Il accélère pas mal, ma rondelle n'offrant plus aucune résistance. Ses lourdes couilles s'écrasent sur mon cul tandis qu'il me ramone, son gland multipliant les passages, ma prostate est sollicitée un max. Je n'en peux plus, c'est trop bon. Je commence à me toucher pendant qu'il me pilonne. Jamais je n'ai eu depuis cette sensation de remplissage et de non maitrise de mes sensations anales. Après quelques minutes, tressautant et haletant, je décharge une belle quantité de sperme sur nos 2 ventres, ce qui me reste d'anus spasmant légèrement autour de la queue qui continuait à me besogner. Il me serre dans ses bras en souriant, sa bite raide toujours plantée en moi. « Tu vois que ça passe bien, je vois bien que t'as kiffé. Tu veux pas me sucer un peu pour me finir une 2ème fois ? » Je ne réponds pas, tellement fatigué par l'épreuve, les jambes encore coupées. « Pas grave », dit-il en déculant et en s'allongeant à côté de moi
De mémoire c'est vraiment un monstre de bite que j'ai croisé ce jour-là, et c'est la seule fois où un mec a passé réellement plus de 5 minutes avant de pouvoir m'enfiler. Le mec était déjà trippant en soi (grand rebeu, bien bâti, viril) mais sa massue entre les jambes m'a laissé un souvenir impérissable. J'ai d'ailleurs mis quelques jours avant de récupérer mon ptit cul…