Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
A LA RECHERCHE DU TEMPS RETROUVé...bonne page de Cem qui n'a écrit, il y a 8 ans, que cinq épisodes sur GAI-EROS. DOMMAGE ! ON SE REGALE.
DU TALENT? CERTES MAIS CA NE SUFFIRAIT PAS IL FALLAIT LE VRAI RESSENTI !
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Camping_(2)_(Cem)
[...] ils s’éloignent sans faire de bruit ...je descends sur la plage pour les mater. [...] Maxime commence à se taper mon frère. À le regarder faire, on voit bien que ce n’est pas la première fois. Cette fois je vais vers eux. C’est Maxime qui me voit le premier. Il a un moment de stupeur mais quand il voit ma queue au garde à vous, il comprend tout de suite qu’il n’y a pas de problème. Il rigole:
— Eh bah, c’est une vraie famille de PD chez vous... et tu mates seulement ou tu participes?
Le frangin est un peu gêné mais ne débande pas. Je réponds:
— Je me ferais bien un petit cul!
— Celui de ton frère ou le mien?
— Je commence par le tien.
Maxime, hilare, me montre le tube de gel sur la serviette et il demande à Julien de se retourner sur le ventre pour que ce soit plus simple. Aussitôt, il reprend la position dans le cul de mon frère en me demandant:
— Bourre moi bien, comme ça il aura aussi tes coups de queues dans le cul.
Il a l’esprit vif Maxime et cette idée de deux frères baisant presque ensemble a l’air de l’exciter à fond. Je demande où sont les capotes.
— On a du gel seulement... Ça te gêne? répond Maxime. - Moi, je baise toujours avec une capote.
Me voyant résister Maxime ajoute:
— Eh! C’est trop bon de bien sentir l’autre, d’avoir son sperme dans le cul et puis on est entre jeunes... et on n’en a pas!
Il prend le tube de gel, il en vide pas mal sur sa rondelle, un peu au pif, en cambrant bien le cul, en plongeant dans mes yeux un regard lubrique qui me défie. Et puis il recommence ses mouvements dans le cul de Julien et j’entends la respiration haletante, déréglée, de mon frère. Ça m’excite bien ça. J’approche ma main du cul de Maxime et sans savoir décider de rien, je commence à guetter le moment où il se soulève en ouvrant ostensiblement les fesses, pour glisser mes doigts entre ses globes et pousser le gel vers sa rondelle. Quand mes doigts sont rentrés, je sens la chaleur, la douceur de sa chatte. Mes doigts s’enfoncent de plus en plus. Ça le chauffe sérieusement, ses coups de queue se font plus profonds et chaque fois, mon frère gémit un peu plus. À chaque bascule de Maxime, je vois la contraction nerveuse de ses fesses, je sens la pression sur ma main. Puis quand il décule presque, je ressens sur le bout de mes doigts la palpitation bouillante de son sphincter et de ses chairs intimes. Il exhibe en vraie salope son cul affamé. Ses fesses blanches, presque imberbes, capturent la lumière phosphorescente de la nuit. Mon regard s’hypnotise sur l’ondulation de ses reins, sur leur cambrure rythmée et profonde.
Je me mets à genoux derrière Maxime, mes jambes s’ajustent autour des siennes et entre celles repoussée à l’extérieur, de Julien. Je place ma bite enflammée devant ce cul, je la dirige d’une main vers la rosette brillante de gel et alors que Maxime s’était arrêté pour me faciliter les choses. Je me jette dans la bataille comme un soldat halluciné et perdu, je le pénètre brutalement en m’écroulant sur son dos. Il a un râle douloureux qui me fait lui laisser du temps pour qu’il reprenne son souffle. Dès que je sens son sphincter se détendre, je commence à accomplir cet assaut. D’abord lentement, en faisant bien peser mon corps sur le sien à chaque enfoncement, puis de plus en plus brutalement. Je sens contre mes genoux, les cuisses écartelées de mon frère, je devine son anus distendu, rempli de la queue gonflée de son pote, j’imagine ses entrailles violentées par les coups que je propulse au travers du cul que je maltraite. Je règle mon mouvement tantôt sur la respiration affolée de mon frère, tantôt sur les râles de jouissance de Maxime. J’ai un sentiment jouissif de danger à baiser pour la première fois sans capote et ça fait des courts-circuits dans ma tête. Je sens ramper ce danger de ce cul vers ma queue, repartir de ma queue au plus profond de ce cul déchiré, ça le traverse, ça déborde par la queue de Maxime dans le ventre possédé du frangin, ça grossit, ça remonte de là pour revenir vers mon sexe, ça se propage partout dans mon corps, ça fait dans mon ventre une boule brûlante et lumineuse qui explose comme une étoile dans un coup de queue profond, ça libère ma sève qui se répand loin, ça remplit l’intestin de Maxime que je continue de tasser. Maxime se rend, dans une convulsion violente que je ressens par tout mon corps collé au sien, il se déverse, s’épuise au plus profond de mon frère. À son tour mon frangin, dont la queue est comprimée sur le sable par nos poids et doit frotter douloureusement sur la serviette, est emporté par l’orgasme. Il se vide dans une longue plainte.
On reste un moment comme ça dans cet empilement soudé par la sueur, les corps pressés. Puis je roule d’un côté, Maxime de l’autre. Julien, sonné, reste encore sur le ventre au milieu de nous. Son copain se glisse les doigts dans le cul dilaté, il récupère mon sperme et le porte dans le cul de Julien en rigolant:
— Tiens! Voilà le jus de ton frangin.
Il demande à mon frère de se soulever un peu vers moi. Je comprends qu’il veut que je saisisse la queue gluante de Julien pour l’essorer de son dernier jus. Je le prélève avec douceur et je lèche sur mes doigts la semence de mon frère. Un curieux bonheur nous envahit, grandit encore et culmine en une sorte de fou rire. On se précipite tous les trois vers la mer pour un bain joyeux et agité. [...]
Cher visiteur, j'espère t'avoir convaincu de lire les 5 chapitres de Cem :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Cem