Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

           C'est une assez longue histoire. Ce n'est pas arrivé en un jour. Un jour, dans un local où sont entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant :

- Baisse ton pantalon !

Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.

- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !

Il me pousse sur une de ces énormes  bobines, des claques s'abattent à toute volée sur mes fesses qui  me brûlent.

- Tu as un cul d'enfer ! Putain de beau cul !

Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie.

- Ça te plaît de te faire graisser le cul !

Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écarte, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et, d'un coup, il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.

- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !

Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant.


Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, on mange du couscous et on boit du vin. Nous sommes tous plus ou moins ivres.

Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.

- Quand le gland passe, tout passe ! Plaisantent-ils de plus belle.

Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je frissonne sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détends, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, son gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.

Je crie "À l'aide ! À l'aide !"

J'entends une voix dire "Ca y est, il s'est fait mettre !". Des rires fusent.

Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur son passage.

Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce tison ardent qui brutalise mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.

Je crie ma détresse.

Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle!", et ils rigolent.

Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir. C'est si profond. J'ai réellement peur qu'il me démolisse un organe.

 De dehors me parviennent les rires et les quolibets.

Je n'ai plus la force de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste son élasticité avec son pouce. Il s'exclame :

- Tu as un beau cul ! Il faudrait que tu te voies ta rondelle ressemble à une fleur ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne Rien que de la voir je perds la tête !
Son gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit à nouveau, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.

Chevillé à ce pieu, je me détends. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille :

- C'est mieux qu'avec le doigt hein ! Tu as un vrai cul de salope ! Tu cries plus ! C'est bon, non ?

Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, son gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Il était près de jouir. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.



Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec son gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive c'est ta faute, tu es trop belle. Allez, mets-toi à quatre pattes."

Asservi, je prends la pose. Je me crispe quand je sens son gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.

- Tu ne gueules plus.

Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.

- Allez, crie, ça m'excite.

Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.

- Allez, braille.

Il me claque les fesses à toute volée. Je hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.

C'est la première fois que je jouis avec une telle intensité, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à son pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."      
Brendan Fletcher - Gay Sex Scene par quizblorg  
Gay sex III par MrGay2012
Dim 1 fév 2015 Aucun commentaire