Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
L’un de mes meilleurs souvenirs de cul s’appelle Richard, un beau mâle de 34 ans rencontré dans un bar, il y a deux ans. Quand on commençait à
baiser, lui et moi, cela durait toujours des heures. Nous ne nous séparions jamais avant d’avoir juté plusieurs fois et de nous être complètement vidé les couilles. C’était hot, c’était hard
entre nous et c’était bon.
Richard aimait les mecs musclés mais très salopes au pieu. Quant à lui, c’était une belle bête également : blond avec des cheveux bouclés, un
peu plus d’ 1m80 pour 75 kilos et des beaux pecs et abdos travaillés en salle de muscu. Un corps bien proportionné avec une belle tige entre les cuisses, une tige toujours raide. Richard avait
tout le temps envie. On baisait n’importe où, n’importe quand. Il adorait enculer bien plus que de se faire tailler des pipes. C’était une délicieuse brute qui avait besoin de dominer son
partenaire en lui pistonnant le trou du cul sans aucun ménagement.
Il avait deux passions en dehors de son boulot d’architecte : le sexe et la moto. Il possédait une très belle bécane et sa manière de la
conduire ressemblait à sa façon puissante et énergique de monter les mecs et de les tirer. Ensemble, nous avons assisté à la course du Bol d’or qui se déroulait sur le circuit du Castelet. Nous
sommes partis de Grenoble le vendredi, fringués de bottes et de cuir tous les deux.
Nous roulions sur des petites départementales sinueuses du Var quand Richard a voulu faire une petite halte. Il avait remarqué un petit ruisseau qui
longeait la route. Il s’est engagé sur un chemin de terre et nous nous sommes arrêtés pour nous détendre. Nous avions roulé pendant plus de trois heures. L’endroit était tranquille, bien abrité,
idéal pour un petit plan baise en nature. Il faisait très chaud pour la saison. Nous avons retiré nos blousons et, après avoir pissé tous les deux, j’ai profité de le voir avec la queue à l’air
pour l’empoigner et la branler. Elle s’est mise aussitôt à gonfler et à durcir entre mes doigts.
J’ai bien décalotté le gland et je me suis mis à genoux dans l’herbe pour le lécher, enrouler ma langue autour avant de pomper toute la bite.
J’avais libéré les couilles du slip et je les malaxais tout en poursuivant ma pipe. Richard, quant à lui, guidait le rythme de mes lèvres en appuyant sur ma nuque. Il me forçait à avaler sa pine
jusqu’à la garde et me parlait déjà de bien me défoncer le cul.
Il m’a surpris en voulant me sauter sur sa moto. Il m’a demandé de me foutre complètement à poil et de me coucher sur la selle, en appui sur les
cale-pieds et les mains accrochées au guidon. J’ai dû me reculer un peu pour avoir la raie bien dégagée et mon trou accessible. Je faisais très salope dans cette posture, les reins creusés, le
cul tendu et cambré avec les couilles et la bite écrasées sur la selle. Richard a écarté mes fesses pour me passer sa langue râpeuse et humide et lubrifier ma pastille. Il m’a bien bouffé le cul
puis il m’a planté deux doigts qu’il tournait dans mon fion pour détendre mon petit cul serré. Ce mec s’y connaissait à merveille pour travailler un cul et le préparer avant de le bourrer. Ma
position et cette situation insolite me faisaient bander comme un fou. Richard a retiré ses doigts et, le temps pour lui d’enfiler un préservatif, j’ai senti son gland gonflé forcer mon anus.
J’adore ce moment où mon cul s’élargit pour laisser passer la queue et lorsque la pine progresse lentement en dilatant mes chairs encore serrées.
Une fois introduit à fond, Richard a empoigné mes hanches et il a commencé à me limer. Il me faisait bouger avec lui si bien que ma bite se frottait
toute seule sur le cuir de la selle. Les va-et-vient étaient profonds, de plus en plus rapides. Derrière moi, j’entendais Richard gémir
et ahaner comme un bûcheron en plein effort. À présent, sa bite coulissait bien dans mon cul et je n’étais pas pressé de la sentir décharger.
Cramponné au guidon de la moto, je me suis mis à onduler des reins et j’ai encouragé Richard à me défoncer encore plus violemment. Il s’est déchaîné en me traitant de pute et de salope.
D’un coup, il s’est mis à gueuler : “Je ne vais pas tarder à gicler dans ton cul. Vas-y, ne te retiens plus, toi aussi. Vide-toi avec moi.”
J’ai senti sa bite palpiter à chaque spasme de jouissance et je me suis laissé aller avec lui, déchargeant sur la selle.
Richard est encore resté un petit moment dans mon cul avant de se retirer. Ensuite, il a maté ma rosette rouge et encore ouverte avant de me mettre
une claque sur les fesses en signe de satisfaction. Comme toujours, quand je faisais l’amour avec lui, j’avais la sensation agréable d’avoir été très bien baisé. J’ai essuyé la selle souillée de
sperme avec un Kleenex, ainsi que mon ventre, et je me suis rhabillé. Cela ne l’a pas empêché de me baiser le soir et plusieurs fois encore durant notre week-end au Castelet.
Arnaud, 29 ans en 2001
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bbc
Mar 13 jan 2015
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