Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 Illustration et mise en valeur....

  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Toilette_intime

    extrait

J'ai remplacé durant un interim une infirmière dans un lycée. J'étais jeune et débutant, aussi est-ce peut-être pour cela que j'eus droit à de nombreuses confidences. Tout commença avec la venue, une fin d'après-midi, de Fred. Ce dernier était une des stars de l'établissement: joueur de rugby et beau gosse. Il se trouve que j'avais reçu peu de temps auparavant Anne qui était sa copine. Fred tournait autour du pot, je voyais qu'il était gêné, il avait d'ailleurs prétexté une foulure à la cheville pour venir. Après l'avoir manipulée puis constaté qu'il n'y avait rien, j'essayai de le mettre en confiance et j'y parvins. Il sz'agissait d'odeurs et de nettoyage intimes... [...]

— J'ai laissé tomber avec Anne.

En quoi cela me regardait? pensai-je.

— En fait l'odeur ça ne la dérangeait pas, de toute façon elle n'aime pas sucer.

Encore une fille qui était ramenée uniquement à ce qu'elle pouvait apporter à un homme.

— Et puis c'est de l'autre côté que j'ai des soucis.

Je ne comprenais pas.

— Excusez-moi de parler grossièrement, au cul!

— Qu'est-ce qui t'arrive?

— Et bien avec Anne justement, elle avait pris l'habitude de me mettre un doigt quand on faisait l'amour et depuis qu'on a rompu, je le fais moi-même quand je me branle parce que j'aime ça mais j'ai une douleur.

— Si ça ne te gêne pas, tu vas me montrer ça.

Il avait déjà commencé à se déshabiller et s'apprêtait à s'allonger sur la table de consultation.

— Excuse-moi, tu vas te placer sur ce fauteuil et mettre les pieds dans les étriers.

Il semblait avoir perdu toute inhibition. Je me penchai devant son paquet, j'en profitai pour le décalotter, il ne sentait presque rien.

— Maintenant je me lave à chaque fois.

En baissant mon regard, j'avais une vue superbe sur ses couilles, son périnée et son oeillet violacé qui était marqué par un peu d'irritation.

— Je vais te passer une crème mais avant tu vas me dire où tu as mal.

Cet examen était inutile mais était le prétexte d'une caresse anale volée. Je lui passai doucement l'index. Son anus se mit à palpiter et je vis que sa bite commençait à prendre du volume.

Il me demanda avec une voix légèrement voilée:

— Je suis un peu inquiet parce que j'espère que cela ne veut pas dire que je suis pédé si j'aime qu'on me mette quelque chose dans le cul?

— Rassure-toi, beaucoup d'hommes aiment ça. C'est entre autre la prostate qui est accessible et c'est une zone érogène.

— Vous vous êtes homosexuel, il paraît, ça vous fait la même chose?

Il s'était lancé, donc même si je ne m'en cachai pas la rumeur circulait bien.

— Tous les hommes sont différents, homos ou pas! lui répondis-je.

— Je voudrais que vous me suciez la bite, m'interrompit-il.

— C'est un ordre?

— S'il vous plaît.

Je ne pouvais résister. Je commençai toutefois par son cul et à la place de la crème, j'introduisis ma langue dans son petit trou après avoir bien humidifié ses contours. Il gémissait et même dans cette position il était trop beau. J'engloutis sa queue, bien dure désormais. Je passai ma langue sur le contour de son gland, puis montai et descendai le long de sa hampe. Il me maintint la tête dessus au moment où il jouit. Se relevant, la queue pas encore molle, il quitta le fauteuil pour se positionner sur la table de consultation et me présenta son cul. J'agis avec douceur et le dépucelai du mieux que je pus. Après avoir joui à mon tour, je constatai qu'il avait remis ça sur la table. Après nos ébats, il remarqua que j'avais son sous-vêtement, ça le fit rire et il me le laissa définitivement en cadeau.

Ce petit vicieux m'avait utilisé, pourquoi m'en plaindrais-je?

     

   I'm an ASS MAN for sure!

Rim Shots

fuck me pretty tasty je


Que du bonheur

 

 

Lun 27 oct 2014 Aucun commentaire