Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

...mais là 


Un Coeur qui bat par Solaris83130   CLIQUE SI TU V LA MUSIQUE    

 

J'ai mis plus d'un an à m'en remettre. Je ne l'ai jamais rappelé au téléphone. Ça n'aurait servi à rien. Il y avait d'autres mecs, d'autres louveteaux planant dans son ciel bleu...

 

 

C'était il y a neuf ans. il s'appelait Michel. Si j'ai envie de vous parler de lui, c'est que depuis je n'ai jamais rencontré un mec comme lui. En fait, j'aurais bien voulu qu'on vive ensemble, mais ça ne s'est pas fait.

Moi, j'ai aujourd'hui trente-neuf ans. Je suis brun, pas très grand, 1m74 pour 65kg, et encore tout à fait baisable, mais je suis fatigué des coups qui ne durent pas. J'aimerais bien trouver une épaule frère pour construire un peu de durable. Quelqu'un comme Michel, par exemple.

J'avais trente ans, il en avait six de plus. Il était si beau que j'ai craqué dans la seconde où je l'ai vu. Je l'ai croisé un beau jour du mois de mai, près de la fontaine Beaubourg. Je me suis arrêté et retourné. Lui aussi. Ça a commencé devant une bière. Décrire Michel ne pourrait en restituer la splendeur : très grand, 1m90 pour 88kg de muscle sec, sans gras, châtain, yeux marron, mais quels yeux! En amande, remontant vers le bout des sourcils. Avec de hautes pommettes prononcées, des joues creuses, des fossettes enfantines de chaque côté des lèvres pleines, un menton volontaire, un nez idoine mais s'incurvant un peu. Il n'avait pas les cheveux courts comme presque tous les gays de Paris, mais plus longs, ramenés en arrière, et il portait des pattes assez longues.

Tout d'abord, même si je suis pas mal, je n'ai pas cru qu'il aurait pu s'intéresser à moi. À côté de lui, j'avais l'air d'un crapaud mâtiné d'un gnome! Pourtant, c'est bien ce qui s'est passé! Après la bière à nous raconter le minimum sur nous-mêmes, il m'a dit en me regardant profondément dans les yeux: "Toi, je pourrais te contempler pendant des heures comme on regarde passer les nuages..." Vous rendez-vous compte ? Jamais on ne m'avait dit un truc aussi beau, à moi!

On s'est retrouvés chez moi, dans le XIIIème, à l'époque.

Jamais plus non plus, je n'ai revu un corps taillé comme le sien : très musclé, mais rien d'un travail de bodybuilding. Epaules larges, pectoraux bien dessinés et durs, à peine ombrés d'un peu de poil très frisé, ventre plat, bras épais, jambes comme de jeunes arbres. Qu'est-ce que ce demi-dieu était venu foutre chez moi? Qu'est-ce qu'il pouvait bien me trouver?

Je crois que je n'avais jamais baisé avant de rencontrer Michel, ce qui s'appelle : baiser! Ce mec ne s'intéressait qu'au plaisir de son partenaire. Rien à voir avec la plupart des mecs - qui se disent actifs -, mais qui restent comme des planches à pain pendant qu'on les turlutte, en attendant que la sauce monte. Pendant des heures, ce type m'a chauffé au point où ma mouille ressemblait plus à de petites éjaculations, avec à chaque coup comme une demi-jouissance. Il n'a pas cessé de m'enlacer, même quand on était en 69 à se sucer les dards et le trou de balle. J'avais toujours ses bras qui m'enserraient, ses grandes mains soignées qui me caressaient, tout le temps en mouvement. J'avais parfois l'impression que c'était une pieuvre, tellement j'étais entouré, massé de partout, peloté du cul, du dos, derrière la nuque, branlé. Idem pour la bouche. Ah, ses lèvres chaudes et sensuelles glissant sur chaque centimètre carré de ma peau. Michel transpirait beaucoup quand il faisait l'amour. Nos corps glissaient l'un contre l'autre comme des poissons. Il embrassait avec fougue et passion, mêlant nos langues dans un voluptueux combat, bouche grande ouverte en salivant bien, et, détail intéressant: les yeux ouverts, en me regardant.

S'il n'y avait eu que ses multiples caresses, ses attentions de tous les instants, sa langue me fouaillant la rondelle à coups de grands slurps, sa bouche pulpeuse m'avalant la tige jusqu'aux couilles, mais il y avait aussi ce qu'il me disait d'une voix rendue rauque, très grands, à l'oreille, en murmurant. Jusqu'à présent, j'avais eu plutôt l'habitude d'entendre: "Tiens, prens-là jusqu'à la glotte, ma grosse bite!" Lui, rien de tout ça. Amoureux dès le début, dès le premier baiser! Il m'a tout de suite appelé son "grand bébé", son "tout petit", son "louveteau". Bien sûr, à côté de lui, je faisais petit frère... Il m'a dit que j'étais beau, que je sentais bon tout en fourrant son museau sous mes aisselles pour me les bouffer à grands coups de langue. Il me disait que j'avais la peau sucrée comme un sucre d'orge, que j'étais sa sucette géante, qu'il aimerait me sucer sans s'arrêter, jusqu'à ce que je fonde dans sa bouche. Pendant les trois mois que nous sommes restés ensemble, il n'a pas répété deux fois le même compliment. Je finissais par croire que j'étais aussi beau que lui; j'en devenais méconnaissable, je n'avais plus peur de rien tellement Michel me valorisait à chaque instant, à toujours me regarder comme si c'était la dernière fois, à toujours me faire un bécot, même dans le métro, dans le cou, en me sussurant: "Mmm, mon bébé, j'ai envie de toi, tu peux pas savoir..."

La première fois, quand il m'a enculé, j'ai connu le vrai paradis, celui où tous les sens sont exacerbés, où on se donne à l'autre complètement. Je me suis pris son braquemard de 20cm comme une lettre à la poste, tellement j'étais brûlant, ouvert, excité des cheveux aux orteils. Sa bite est entrée sans s'arrêter, mais tout doucement. Il n'arrêtait pas de me demander: "Ça va, mon poussin, t'as pas mal, dis-le moi, sinon..." Une fois bien planté en moi, j'ai ressenti une sérénité que je n'ai jamais plus retrouvée avec quelqu'un d'autre, comme si le monde était devenu très tranquille, très beau. Il me tenait par les jambes. Il m'a regardé de ses beaux yeux en amande, par en-dessous (longtemps après, je me suis aperçu qu'il avait le même regard que Lauren Bacall). Je lui ai dit: "Viens sur moi, allonge-toi, veux-tu, couvre-moi, domine-moi!" Il s'est allongé, et j'ai refermé mes cuisses autour de ses hanches, caressant son dos en trapèze, luisant de sueur, massant ses fesses musclées, le faisant s'enfoncer davantage en moi. Il a commencé à me ramoner tout doucement, mais profondément. Son grand corps bougeait comme une houle, s'enfonçant dans mes chairs, se retirant, tel un ressac. Ma bite mouillait en permanence, massée entre son ventre et le mien. Il a entièrement refermé ses bras autour de moi et on s'est roulé des palots pendant de longues minutes sans qu'il ne cessât de me limer bien profond. Il m'a embrassé dans le cou, me murmurant des mots doux: "Comme tu es beau, mon louveteau, comme tu es chaud, on va s'envoler tous les deux dans la brise du printemps; on va planer, toi et moi, là-haut, dans le bleu du ciel... Donne-toi, comme je me donne pour toi..."

Ses coups de bite sont devenus de plus en plus rapides. J'étais plein de lui, écartelé, fou de sentir ce membre énorme glisser si bien en moi. Il haletait doucement, me mordait dans le cou, me jetait de brusques baisers sur les lèvres. Il donnait l'impression de vouloir me bouffer. "Je viens, mon bébé, je viens, je vais jouir pour toi, que pour toi!"

Il s'est redressé sur ses avants-bras, il m'a regardé, et il s'est mis à jouir en serrant les lèvres, sans arrêter de plonger son regard dans le mien. "Jouis, mon amour, jouis!" Je me suis empoigné et, en deux allers-retours, j'ai senti un geyser de lave m'incendier. J'ai hurlé tellement l'orgasme m'a saisi comme une lame de fond. Mes sphincters se sont brusquement resserrés, l'enserrant, le retenant prisonnier. Michel, comme tu as pu me faire jouir pendant ces trois mois passés ensemble.

Michel estun romantique, une perle rare. Il n'a qu'un seul défaut: c'est un cœur d'artichaut! Il est tombé follement amoureux d'un autre mec. En fait, Michel était amoureux de l'amour, peut-être comme Dom Juan. Son plus grand plaisir dans la vie était de tomber amoureux, d'écrire de belles lettres à l'élu du moment, d'en faire un héros, et puis de passer entre les bras d'un autre.

J'ai mis plus d'un an à m'en remettre. Je ne l'ai jamais rappelé au téléphone. Ça n'aurait servi à rien. Il y avait d'autres mecs, d'autres louveteaux planant dans son ciel bleu... ¤

 

Michel transpirait beaucoup quand il faisait l'amour. Nos corps glissaient l'un contre l'autre comme des poissons.

Gay porn gif of Solomon Aspen giving a blowjob while getting his ass slapped. The other sweaty guy face fucking him with his 8.5 inch dick is Bentley. Ass slapping gif taken from the Bentley & Solomon Aspen Pure gay porn video at ChaosMen. ( via chaosmen.com ) For more gay porn gifs, follow Naked Straight Guys.

 

Je finissais par croire que j'étais aussi beau que lui; j'en devenais méconnaissable, je n'avais plus peur de rien tellement

sur gai-eros http://w.gai-eros.org/w/index.php/Je_jouis_que_pour_toi   l'auteur,Sebastien0 est un artiste

Dim 5 oct 2014 Aucun commentaire