Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

 

 

 

Aventure dans le bus.

J’habite un quartier un peu périphérique et j’ai un trajet d’une bonne demi-heure de bus pour aller travailler. Comme il faisait très chaud, ce qui arrive souvent au printemps chez nous où, selon les humeurs de la météo, on passe de l’hiver à l’été d’un jour à l’autre, je suis allé bosser dans une tenue très décontractée : un tee-shirt sans manches, une chemise légère ouverte sur le torse en guise de veste et un short de foot (sans mettre de slip comme toujours ).

Au début, comme d’habitude, le bus n’était pas trop rempli, même s'il ne restait plus de places assises. Je vais donc m’installer debout au fond du bus à coté d’un jeune beur de 25 ans environ, vêtu d’un survêtement blanc genre licra et à l’air très viril malgré son jeune âge. J’ai 47 ans et je baise avec des meks de tous ages, mais j’aime bien de temps en temps, me mettre aux services sexuels d’un jeune mek surtout si il est bien viril de gueule et de tempérament ! Je profite donc de mes trajets en bus pour reluquer les jeunes meks et fantasmer !

Bref je me met pas loin du jeune beur, accoudé contre un dossier de siége en le reluquant du coin de l’œil. A l’arrêt suivant il monte un flot de passagers, on commence à être un peu plus serrés et le jeune beur se trouve poussé tout prêt de moi, face à face. Avec les à-coups de la conduite du bus on est amenés parfois à se frôler et j’ai l’impression que le jeune mek fait pas grand chose pour se retenir.

Du coup je commence à bander et, de peur que cela se voie sur mon visage qui rougit, je baisse les yeux . Instinctivement mon regard se pose sur la braguette du jeune rebeu et je vois que son paquet est aussi gonflé. Je me retourne un peu sur le coté pour que ma main vienne pendre devant son sexe et, à un à-coup du bus, je sens bien que sa bite est raide !

Je prends peur de la hardiesse de mon geste, des fois que le jeune mek me traite de « pédé » devant tout le bus ! Je me retourne donc, le ventre appuyé contre le dossier du siége de devant, pour lui cacher la bosse de mon short, et, du coup, mes fesses sont tournées vers lui. A l’arrêt suivant il monte encore des passagers et là on est vraiment tassés. Alors je sens que le jeune mek se plaque contre mes fesses et je sens bien sa queue raide contre ma raie entre les tissus légers !!!

Je n’hésite pas et je me cambre pour me frotter contre sa tige.Je sens alors une main qui passe sous la ceinture de mon short et un doigt mouillé qui va tout de suite chercher mon trou pour me masser le cul ! Il y a plein de monde autour de nous, surtout des jeunes lycéens et je prends peur ! Aussi je passe ma main dans le dos pour lui tenir le poignet et retirer son doigt de mon cul. Mais le mek se penche dans mon cou et me dit doucement à l’oreille: « Ta gueule mek ! Tu vas te laisser faire comme un gros pédé que tu es, sinon » Je ne sais pas de quoi il me menace mais je retire ma main et je bande toujours autant !!!

Alors le mek sort son doigt de ma raie du cul, baisse l’arrière de mon short et, très vite, je sens le contact chaud, doux et humide, caractéristique d’une bite raide, contre ma pastille. Sans attendre plus, le mek force mon trou et entre d’un coup sec au fond de mon intimité. Sa bite doit être assez grosse car j’ai une vive douleur et j’ai du mal à retenir un cri en me mordant les lèvres.

La mek se repenche dans mon cou et me dit « Pas de panique mek ! Je suis pas une brute! Tu vas voir je vais bien te faire jouir comme une meuf ! ». Il reste un petit moment sans me limer, mais avec les à-coups de la conduite du bus sa bite bouge dans mon cul et je recommence à bander sec ! (car j’avais débandé quand il m’avait fait mal en m’enculant).

Je commençais à me demander si ça aller durer longtemps car mon arrêt allait bientôt arriver. Mais, sans trop attendre, mon mâle commença des mouvement de reins en me limant bien le trou. Je me demandais comment personne ne pouvait pas sans apercevoir quand je vis un lycéen, juste à coté de nous, qui avait les yeux rivés sur mon cul : je rougis, mais en même temps ça m’excita et je bandais encore plus sec.

Mon arrêt passa mais je ne bougeais pas ! Par contre je savais que le gros des voyageurs allait descendre au lycée et je me disais que là tout le monde nous verrait! Mais, bien vite, le mek s’immobilisa, sa bite bien calée au fond de mon cul, et je devinais qu’il était en train de jouir en moi. A l’idée d’être fécondé(e) comme une femelle devant tout le monde je crachais à mon tour mon jus en mouillant le devant de mon short.

D’habitude je me fais toujours niker avec une capote et là j’avais bien deviné qu’il n’en avait pas mis, mais cette idée de son foutre viril en moi m’avait bien excité(e) : enfin j’étais une femelle fécondée par son mâle et cela m’avait fait jouir bien à fond !!!

Le mek se pencha une dernière fois dans mon cou et me dit doucement à l’oreille: « Tu es vraiment un gros pédé ; mais tu es un bon coup : meilleur que ma meuf ! » Puis il sorti sa queue à demi débandée de mon cul (ou de ma chatte je ne sais pas comment dire tellement je me sentais femelle !). Puis il l’essuya avec mon short après l’avoir relever.

Il descendit au prochain arrêt et moi aussi, car mon arrêt habituel était passé et que j’allais être en retard au boulot. Il se retourna vers moi et me dit, à voix haute cette fois: « Tu es un bon coup, mais inutile de me suivre : je vais pas me marier avec un gros pédé comme toi ! » C’était limite une injure, mais cela ne me gâcha pas mon plaisir.

Je suis arrivé en retard au boulot avec, en plus, mon short taché de foutre par devant et par derrière ! Mais personne ne s’en aperçu et d’ailleurs comment pouvaient-ils penser que c’était du foutre ? Je suis resté excité(e) toute la journée en pensant à ce foutre de jeune mâle que j’avais en moi et que j’ai gardé jusqu’au soir.

Voilà! C’est une aventure que je ne regrette pas même si, après, j’ai eu peur après pendant six mois d’avoir attrapé le SIDA, ce qui n’est pas arrivé heureusement

 

 LE BUS EST UN LIEU DE BAISE COMMEUN AUTRE...LOL 

 

 

Jeu 7 aoû 2014 Aucun commentaire