Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

     Ah le parfum suave de ta transpiration. A notre dernière fois  tu me serrais contre toi par le cou, mon nez fiché dans ton aisselle. Dans un vertige j'ai basculé. Je comprends pourquoi je suis troublé quand tu approches ...Je t'aime  et pour toujours.

 

  ton sexe est à croquer comme ces jolis petits pains toscans

 

vendanges de l'Amour !

   
     Pour mon ami Fabien et en dédicace à tous ceux qui veulent du bien à ce blog

 Et ta main comme une chaîne
Viendra se fondre à la mienne
Enfin pour le pire et le meilleur

 

 

  RECIT

 

 

J'avais decidé cette année-là de faire les vendanges, en Toscane,  car il paraît que c'est à faire au moins une fois. Nous étions une vingtaine de vendangeurs mais uniquement des gars dans cette équipe.

Les premières soirées passèrent rapidement car le sommeil nous prenait rapidement, mais dès le troisième soir, l'habitude du travail nous permettait de finir la journée en pleine forme. Quand nous sommes rentrés à la propriété, je fus le premier à arriver à la douche.

Je me suis déshabillé rapidement et me suis jeté sous le jet bien chaud de la douche, je me sentais bien. Je me suis mis à me laver mais lorsque mes mains arrivèrent sur mon gland circoncis, je me mis à bander. Étant seul, je me mis à me branler, le plaisir monta et une grosse éjaculation finit sur le carrelage de la douche. Lorsque je suis sorti de la douche, je ne pus dissimuler mon érection, quelques sourires et regards complices me firent comprendre que rien ne les choquait dans mon attitude.

Après le repas, je suis rentré dans notre dortoir, je me suis déshabillé intégralement en vue de me coucher. Après m'être glissé dans les draps, d'autres vendangeurs arrivèrent pour se coucher.

Rien d'exceptionnel ne se passait pour le moment, un jeune vendangeur qui dormait sur le lit voisin arriva, se déshabilla et se jetta en caleçon sur son lit. Il commenca à feuilleter un magazine de cul, se mit à bander puis après une courte hésitation glissa sa main dans son caleçon. Il commenca à se tripoter, je ne pus me retenir et une érection phénomenale me prit. Le seul moyen de la faire passer était de me branler. Mes mains s'activèrent sous les couvertures. Le jeune, un peu gêné de me voir me branler en le regardant, s'arrêta de se branler, rangea son bouquin et se mit dans ses couvertures pour dormir.

La lumière fut éteinte quelques minutes plus tard. Alors que certains ronflaient déjà, j'eus la surprise de sentir la main du jeune vendangeur se ballader sous ma couverture. Il ne lui fallut pas trop de temps pour trouver mon sexe car j'étais nu. La fraîcheur de sa main sur mon sexe chaud me mit en érection, il commenca à me branler tout en se rapprochant de mon lit.

Je ne le voyais pas mais je l'imaginais. Alors qu'il me branlait, je me suis penché vers lui, il n'avait plus son caleçon et bandait aussi fort que moi. Je pris son gros sexe en main et le branlai doucement. Il me demanda s'il pouvait mettre mon sexe dans sa bouche et me sucer, j'acceptai sa proposition. Il me proposa le 69, comme ça je pourrais continuer à le branler.

Il s'exécuta, il me pompait comme jamais je n'avais été sucé. Lassé de le branler, je me suis dit que je pouvais peut-être lui rendre sa fellation. Je pris son gros sexe et le dirigeai vers ma bouche mais il me chevaucha et son sexe s'enfonca rapidement au fond de ma gorge, m'empêchant de respirer. Il était heureux que je le suce mais s'aperçut que je ne pouvais le sucer dans cette position, il retira son sexe de ma bouche et me présenta son cul à lécher.

Je fus surpris de la rapidité à laquelle les choses se passaient, il finit par me faire éjaculer, mon éjaculation lui remplit la bouche. Il reposa sur mon ventre mon sexe encore bandant après l'avoir vidé intégralement et n'attendit pas que je finisse de le branler pour m'éjaculer sur le torse. J'étais surpris et restais sur ma faim. Le sommeil fut dur à trouver ce soir là.

Le lendemain, il revint dans mon lit. Je le laissai faire, nous nous sommes carressés, branlés, sucés et nous avons éjaculé comme la veille. Ce fut ainsi pendant toute la semaine sans que personne ne s'en aperçoive.

 

 

Dim 21 jan 2018 Aucun commentaire