Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

Il me tenait

 

captionstojerkby: "You… fuck… you doin’ okay back there, man?" He nodded yes. I couldn’t see it, ‘cause I couldn’t quite turn my head back around enough, but I could feel it, feel his cheeks move against—well, against my cheeks as his head up went and down. That was, I think, half an hour ago. Or maybe forty minutes. Or maybe two days. My toes are sore from curling, every muscle in my body aching from tensing, contracting, and relaxing in turn as I squirm around, writhing on the end of his tongue like—Jesus fucking Christ, exactly like his tongue is still writhing in me. He hasn’t come up for air, and hasn’t let me, either; every once in a while I’ll try to fall forward onto the bed to just have a moment without so much fucking sensation, so much pleasure squeezing everything else out, but his hands keep my ass pressed tight against his face. "Nnnggh… Don’t you wanna… If you wanna, you can fuck…. Awww, fuck!" I hang my head, blink the sweat out of my eyes; when I speak again it’s high-pitched and rushed. "Arentyougettingtired!?" He pulls away with a wet smack, rubbing his mouth on the back of my thigh, drying off for the next pass, a man about to get back to his mission. “Nope—I could eat you out like this all fucking night. Gonna make you forget your fucking name. Gonna make you forget ever even had a name, yeah?” I weakly shake my head. I whimper in defeat. And I push my ass back against his mouth.

 

"Oh putain, tu y reviens, mec ? " murmurai-je

Il a incliné la tête dans un souffle : oui. Je n'arrivais pas à le voir, ' parce que je ne pouvais pas tout à fait tourner ma tête en arrière , mais je pouvais le sentir, sentir son mouvement de joues contre..eh bien, contre mes fesses et de haut en bas, dans un mouvement continu et entêté.
Ca c'était, je pense, il y a une demi-heure. Ou peut-être quarante minutes? Ou peut-être deux jours ? Mes orteils qui se crispent sous les pulsions de sa langue sont endoloris , chaque muscle de mon corps se raidit en même temps, et soudain se relâche tour à tour au rythme de sa langue experte, qui creuse, survole, entre et sort toujours en moi. Tonnerre de Dieu, il n'a même pas cherché à reprendre son souffle et me laisser respirer et ainsi me décrisper.  j'essaie de chuter en avant sur le lit pour juste avoir un moment de détente souhaitant à la fois qu'elle cesse et que cette foutue sensation persiste ou reprenne, tant de plaisir sort de cette pression magique. Ses foutues mains maintiennent sa bouche a
ppuyée et  serrée contre mon anus.

"Nnnggh … Ne fais pas ça, noooon s'il te plaît … Si tu veux tu peux me prendre. Awww, me bai...ser!" Je baisse la tête, essuie la sueur de mes yeux sur les draps ; quand je parle de nouveau c'est aigu et  précipité. "Putain tu en as pas marre ?"

Il se retire brusquement avec un petit bruit humide, frottant sa bouche à l'arrière de ma cuisse, la séchant mais ce n'est que pour se reprendre revenant à sa mission. "Non ! Je pourrais te bouffer ton cul toute cette  foutue nuit . Je vais te faire oublier ton putain de nom.Tu vas oublier si tu as jamais même eu un nom, ouais ?"

Je secoue faiblement la tête. Je couine dans la défaite. Et je pousse mon cul en arrière contre sa bouche. C'est trop atroce et trop bon !

 

 

 

 

 

Jeu 31 jui 2014 Aucun commentaire