Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 "Mes pareils à deux fois ne se font point connaître

Et pour leur coup, d'essai  veulent un coup de maître " Corneille le Cid

 

Je fonçai à la salle de bain chercher le lubrifiant qui pourrait nous convenir. Le type de lubrifiant n'avait pas trop d'importance, nous étions tous deux en parfaite santé (quoique, à y réfléchir, on a été imprudents), c'était pour nous nos toutes premières relations sexuelles, j'ai opté pour un body milk (les andouilles, ça les écorcherait d'écrire ça en français ?!). J'avais à peine trouvé le flacon que Damien était déjà à quatre pattes sur le lit, je l'ai fait se coucher « pas comme ça, Damien, on n'est pas à l'abattoir ».Il a voulu s'excuser, et mon baiser lui a pardonné sa fougue.

Je l'ai couché sur le dos, j'ai mis ses mains aux barreaux de la tête du lit, lui ai demandé de les laisser là, puis j'ai commencé à le caresser sur tout le corps, je lui ai léché le cou, les bras, les aisselles, c'est lui qui m'a demandé de lui attacher les poignets à la tête du lit, il était implorant, je l'ai fait, il voulait m'être soumis, pour toutes les fois où il m'avait terrassé en luttant, je l'ai fait, il souriait, mais ses yeux marquaient un peu de peur. J'ai continué à l'embrasser tout partout, son corps m'appartenait, et il savait qu'il allait m'appartenir encore plus.

 

Ma bouche est passée sur ses boules, sur sa queue, juste un peu, mais pas trop, même si je ne savais pas comment ça allait se passer entre nous, je voulais que ce soit inoubliable pour lui ... et pour moi. Je suis passé à ses cuisses, j'ai glissé deux oreillers sous ses fesses, il ne pouvait plus voir ce que j'allais faire de son cul, j'ai léché sa petite corolle jusqu'à ce qu'elle se détende, j'ai étalé le lait de soin doucement, continuant à le caresser, petit à petit, j'ai appuyé mon doigt qui a pu entrer facilement, Damien n'arrêtait pas de couiner de plaisir, je suis passé à deux sans problème, mais pour trois, j'ai vu qu'il souffrait, je suis redescendu à deux, et quand je l'ai senti détendu, j'ai remis le troisième, il souriait. C'est lui qui m'a dit, « donne-moi ta queue, mon amour, s'il te plaît », et il a relevé ses jambes. J'ai enduit ma teub de crème, puis mon gland a touché sa rosette, il avait le cul aussi ouvert que sa bouche, j'ai senti ma teub avalée, aspirée jusqu'au fond de lui, ce n'est qu'au bout qu'il a gémi quelque peu, j'ai attendu jusqu'à ce que son visage fasse apparaître autre chose que de la douleur, et j'ai commencé à sortir complètement, à rentrer à fond, et petit à petit, j'ai eu cette image débile : ma queue était dans un pot de mayonnaise (on peut être con, quand même). À cette mayonnaise, j'ai voulu ajouter ma sauce à moi, et j'ai commencé en lui les mouvements que ma teub appréciait tellement entre mes doigts et les siens, j'étais partagé entre l'envie de jouir tout de suite, et le bonheur que je voyais sur son visage, j'ai tout fait pour que ça dure longtemps, mais c'est la chaleur et les resserrements musculaires de Damien sur ma teub qui ont eu raison de mon plaisir, j'ai hurlé « mon Damien, mon amour », et je me suis vidé en lui, tandis que lui s'est envoyé je ne sais combien de jets de sperme sur le visage et sur le corps. Quand j'ai pu reprendre ma respiration, je ne l'ai pas détaché avant de lécher jusqu'à la dernière goutte de son jus sur son visage et son corps. On s'est affalés et endormis aussi sec dans les bras l'un de l'autre.

 

 

 

 

 

 

Ven 18 jui 2014 Aucun commentaire