Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Je culpabilise un peu...est ce que je mérite un tel cadeau et vais-je me montrer assez vaillant pour me prendre cette queue gigantesque ?
Un tube de gel dont je m'enduis généreusement le trou et ilme voit l'enjamber et m'asseoir sur sa bite. Bien que je me sois copieusement lubrifié, j'ai du mal à prendre une telle pointure. Mais j'en ai trop envie et avec un peu de patience et quelques efforts, je m'ouvre assez pour que le gland puisse entrer. Il me faut faire une pause car j'ai beau être rodé et avoir l'habitude, cette fois ça brûle. Heureusement, ça ne dure pas. Bientôt la douleur s'atténue et je peux me laisser glisser doucement jusqu'à ce que, empalé bien à fond, mes fesses s'écrasent sur ses couilles et les poils de son pubis.J'ondule légèrement et jeferme les yeux et renverse la tête en arrière. Tout mon corps frissonne et je sens venir l'extase que me procure une bonne bite qui me pénètre assez profondément pour atteindre ce point si sensible dont le massage me fait perdre la tête et me fait jouir sans que j'aie à me branler. Cette fois pourtant, c'est encore plus fort que tout ce que j'ai connu et pour ne pas m'envoler trop vite je me laisse aller et me couche sur Loïc qui me serre dans ses bras. Sa queue est ressortie légèrement mais elle reste bien emmanchée et tandis qu'il couvre mon visage de baisers, j'essaie de nous faire basculer pour être sur le dos. Je suis partgé entre l'envie de le voir me dominer et scruter son visage pendant qu’il me baise et celle de me laiser aller, têterenversée, au nirvana des nirvanas.
Il comprend ce que je veux faire et sans dégager sa bite il se retrouve au dessus de moi. Je relève bien les jambes, les fais reposer sur ses épaules et il commence à bouger tout doucement. Il me regarde avec adoration et murmure :
— Je te fais pas trop mal ?
— Oh non, au contraire, ahhhh c'est bon ! Mais si tu vas trop fort tu me feras venir trop vite !.
Il semble avoir un don inné pour bien me baiser. Il fait alterner des coups profonds qui me font crier de volupté avec d'autres plus légers, plus courts et aussi plus lents qui me laissent un peu de répit et nous permettent de prolonger notre plaisir. Les mains sur ses cuisses j'accompagne ses coups de reins mais pour lui comme pour moi, il est difficile de résister à la montée de la jouissance. Au moment où je me sens partir, il s’écrie :
— J'en peux plus je vais jouir !
Je me cambre alors et l'attire pour qu'il s'enfonce bien en moi et en bougeant à peine avec de tout petits coups il fait déferler sur moi la vague qui m'emporte. Tandis que ma queue crache de longues giclées qui viennent s'écraser jusque sur mon visage, je sens les pulsations de la sienne au fond de mon ventre. Il retombe sur moi et nous restons ainsi un moment, hébétés, anéantis par la violence de notre orgasme. Toujours ancré en moi, il m'écrase de tout son poids mais peu m'importe, je suis heureux. C'est donc presqu'à regret que je le sens se dégager et rouler sur le côté. C'est un moment terrible. Sa viande faisait maintenant partie de la mienne.C'est un peu comme s'il m'abandonnait et que je me retrouvais seul. Comme s'il avait lu dans mes pensées, il prend ma main, la serre très fort et je l'entends rire et ça détend l'atmosphère. Ah, bonheur, ne t'enfuis pas !"