Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
LE
eh non, ce n'est pas ça : Déçu ???
Notre grand-père se réjouissait de nous voir tous trois en si bons termes! Pauvre Papy, s’il avait pu savoir la raison de notre
rapprochement, sa joie aurait été certainement moins évidente…
Jouer à la bouteille? Encore une chose que je ne connaissais pas. J’essayais de n’en
rien montrer, mais j’étais quelque peu déçu, persuadé que l’après-midi que nous avions vécu allait se poursuivre. Je regardais avec étonnement la bouteille vide entre les doigts de mon
cousin quand je surpris le clin d’œil qu’adressa Xavier à son jeune frère. Je compris que mes deux cousins me réservaient encore une surprise, ce fut Jérémy qui se chargea de m’expliquer
le fameux jeu:
Ce soir-là, Xavier et Jeremy m’invitèrent dans leur chambre pour y jouer ensemble, mes
parents trop heureux enfin de me voir abandonner ma solitude légendaire saluèrent la proposition de Xavier qui en aîné leur promit de ne pas me faire veiller trop tardivement.
Nos chambres étaient situées dans une aile de la maison où jamais personne ne venait la nuit, à l’écart du bâtiment principal de la demeure, ce qui nous
permettait de nous amuser sans craindre de faire trop de bruit. Ce soir là, cette précaution voulue par notre grand-père nous fut bien utile, car quittant la table des adultes, nous courrions
dans notre antre, trop content tous les trois de nous retrouver à nouveau seuls.
Je découvrais la chambre de mes cousins aux dimensions nettement supérieures à la mienne, et qui était meublée de deux lits, l’un pour une personne,
identique à celui que j’occupais dans ma propre chambre, l’autre un immense lit ancien ou deux personnes pouvaient très largement s’allonger sans craindre de déranger le voisin. En refermant la
porte, Xavier prit la précaution de donner un tour de clef derrière nous. Devant mon étonnement, il prit un air mystérieux et me montra une bouteille vide:
— Ce soir petit Alex, tu vas jouer à la bouteille.
— Tu vas voir c’est pas compliqué du tout. On est tous les trois assis en cercle. Chacun notre tour, nous faisons tourner la bouteille, et quand elle
s’arrête, son goulot fait office de flèche et désigne l’un d’entre nous qui sommes obligés de retirer l’un de ses vêtements, comme au strip-poker sauf que ça va plus vite! Si l’un d’entre nous se
retrouve tout nu en premier, il fait tourner la bouteille, mais retire lui même le vêtement qu’il désire à la personne désignée. Si la bouteille te désigne quand tu l’as toi-même lancée, tu as le
droit d’exiger de quiconque qu’il enlève un vêtement, et si la personne est déjà nue, tu as le droit de lui demander un gage. Pour finir, celui à qui il reste au moins un vêtement en fin de
partie a le droit d’exiger un gage du joueur de son choix. Tu as compris?
Oui bien sûr que j’avais compris, et devant mon sourire, ils comprirent tous les deux que leur petit Alexandre en avait fini de sa timidité excessive.
Quand Jérémy s’assit sur le tapis au centre de la pièce, je m’installai face à lui tout comme Xavier qui venait d’allumer une lampe qui diffusait une lumière douce sur la scène du jeu.
Comme il fallait un premier à faire tourner la bouteille qui allait nous déshabiller, mes deux cousins me laissèrent le premier tour pour me
familiariser au jeu. Je lançai donc la bouteille d’un tour de poignet qui lui fit faire plusieurs tours sur elle-même. Quand elle s’immobilisa, son embouchure indiquait clairement la place
qu’occupait Jeremy. Xavier me donna une petite tape sur l’épaule et nous regardâmes tous les deux son frère se dépouiller de son premier vêtement.
Jouer à la bouteille? Encore une chose que je ne connaissais pas. J’essayais de n’en rien montrer, mais j’étais
quelque peu déçu, persuadé que l’après-midi que nous avions vécu allait se poursuivre. Je regardais avec étonnement la bouteille vide entre les doigts de mon cousin quand je surpris le clin d’œil
qu’adressa Xavier à son jeune frère. Je compris que mes deux cousins me réservaient encore une surprise, ce fut Jérémy qui se chargea de m’expliquer le fameux jeu:
— Tu vas voir c’est pas compliqué du tout. On est tous les trois assis en cercle. Chacun notre tour, nous
faisons tourner la bouteille, et quand elle s’arrête, son goulot fait office de flèche et désigne l’un d’entre nous qui sommes obligés de retirer l’un de ses vêtements, comme au strip-poker sauf
que ça va plus vite! Si l’un d’entre nous se retrouve tout nu en premier, il fait tourner la bouteille, mais retire lui même le vêtement qu’il désire à la personne désignée. Si la bouteille te
désigne quand tu l’as toi-même lancée, tu as le droit d’exiger de quiconque qu’il enlève un vêtement, et si la personne est déjà nue, tu as le droit de lui demander un gage. Pour finir, celui à
qui il reste au moins un vêtement en fin de partie a le droit d’exiger un gage du joueur de son choix. Tu as compris?
Oui bien sûr que j’avais compris, et devant mon sourire, ils comprirent tous les deux que leur petit Alexandre
en avait fini de sa timidité excessive. Quand Jérémy s’assit sur le tapis au centre de la pièce, je m’installai face à lui tout comme Xavier qui venait d’allumer une lampe qui diffusait une
lumière douce sur la scène du jeu.
GAGE...
AMUSONS-NOUS COMME EUX ...
Comme il fallait un premier à faire tourner la bouteille qui allait nous déshabiller, mes deux
cousins me laissèrent le premier tour pour me familiariser au jeu. Je lançai donc la bouteille d’un tour de poignet qui lui fit faire plusieurs tours sur elle-même. Quand elle s’immobilisa, son
embouchure indiquait clairement la place qu’occupait Jeremy. Xavier me donna une petite tape sur l’épaule et nous regardâmes tous les deux son frère se dépouiller de son premier
vêtement.
C’est son tee-shirt que Jeremy ôta lors de ce premier tour et au moment de lancer la bouteille pour une seconde
étape, il me fit un grand sourire et me dit:
— Tu vas voir Alex, Xavier n’est pas mal quand il fait un strip-tease.
Et je vis! Les tours de bouteilles se succédèrent très vite, et le sort s’acharna en effet sur notre aîné.
Jérémy n’avait dû quitter que son tee-shirt et ses chaussures, quant à moi je venais de quitter mes chaussettes, et j’avais encore mon jeans et mon slip, quand Xavier lui se retrouvait uniquement
vêtu de son seul boxer jaune que je ne pouvais m’empêcher de regarder. J’avais la main, c’était à moi de lancer la bouteille et bien sûr, je comptais bien dénuder mon cousin de son dernier
rempart, quand Jérémy me rappela la règle du jeu:
— N’oublie pas Alex, s’il se retrouve à poil, ce sera lui qui retirera les vêtements des autres.
Je souriais devant cette mise en garde, j’avais bien compris tout au long de cet après-midi que Xavier était
plutôt du genre à regarder les autres, et l’info de Jérémy me démontrait que mes deux cousins étaient bien les complices que j’avais crû reconnaître quelques heures plus tôt.
Je lançai la bouteille avec un tour de poignet qui la fit tourner longuement sur elle-même avant que nous
n’éclations tous les trois de rire. La bouteille me désigna ce qui pour la règle du jeu m’autorisait à demander à celui que je voulais de retirer un vêtement, et bien sûr je gardais la main pour
un nouveau lancé. Tour à tour je regardais mes deux compagnons qui attendaient ma décision en me souriant.
L’idée d’avoir Xavier entièrement nu le reste de la partie ne me déplaisait pas, mais Jérémy était resté le plus
habillé de nous trois et je ne savais pas ce que les tours prochains me réserveraient. Malgré tout, je choisissais une petite revanche sur l’après-midi, et sans rien dire, je tournais la
bouteille vers Xavier qui éclata de rire en se levant. Il alla même jusqu’à esquisser quelques pas de danse avant faire glisser tout doucement la dernière pièce de tissus qui le protégeait de nos
regards. Jérémy et moi nous sommes tapés dans la main, et mon cousin me mit en garde.
— Attention à toi Alex, il va pas te lâcher.
— Tu peux y compter, enchérit Xavier, je suis à poil, mais je te promets que tu ne vas tarder à me
rejoindre.
L’ambiance était franchement joyeuse, je ne dus pas tarder à comprendre les paroles de Xavier quand je relançai
la bouteille et que je le désignai à nouveau par le sort. Jérémy se roula de rire sur le tapis, tandis que Xavier me fixait du regard sans un mot. Je ne pouvais que comprendre, aussi je me levai
et fit glisser sur mes jambes le jeans réclamé. J’étais en slip, Jérémy avait toujours trois vêtements sur lui et pensait certainement déjà avoir gagné la partie. À ce jeu que j’ai depuis bien
souvent proposé lors de soirée animée, rien n’est jamais gagné d’avance, et au coup suivant que lança Xavier, Jérémy devait perdre ses chaussettes et ainsi se rapprocher comme moi de l’unique
rempart. Il jubilait déjà, et j’étais comme lui convaincu de sa victoire quand il lança la bouteille pour ce que je pensais être le dernier tour.
Si le sort me désignait, je serais nu comme Xavier et il gagnerait la partie, d’un autre côté si la bouteille
désignait Xavier, je ne doutais pas du choix du premier dénudé de la soirée, je finirais également en tenu d’Adam. Les spéculations sont une chose, le sort en est une autre. Quand il lança la
bouteille, pour la deuxième fois de la soirée, nous eûmes droit à ce que nous appelions un "retour à l’envoyeur", la bouteille s’arrêta face à Jérémy. Après nous être calmé de l’éclat de rire
général qui s’en suivit, Jérémy me regarda longuement et je m’apprêtais à me lever quand il me dit:
— Et puis non, comme la règle m’y autorise, je vais demander à Xavier de nous faire un gage. Xav’ tu est obligé
d’accepter le gage. Je te demande de rouler une pelle à Alex comme tu m’as regardé le faire cet après-midi.
Xavier me regarda avec de grands yeux ronds. Visiblement, les deux frères ne s’étaient pas entendus sur la
tournure que prendraient les choses. Pour la première fois de la journée, je le sentais déstabilisé, et je crus un instant qu’il allait refuser le gage de son cadet. Quand il releva la tête, je
retrouvai le même sourire protecteur que celui qui m’avait accompagné toute la journée. Il se leva sans aucune gêne pour sa nudité totale et s’approcha de moi. Je lui souriais et il m’invita à me
lever face à lui. Comme dans le courant de l’après-midi, les dernières minutes du jeu ne m’avaient pas laissé indifférent, et quand je me redressai, mon slip ressemblait plus à un fanion qu’au
rôle attendu de vêtement protecteur.
Mes deux cousins pouffèrent de rire devant mon état, et quand Xavier m’enlaça, la chaleur de sa peau ne fit rien
pour calmer le feu qui brûlait en moi. Quand nos corps se touchèrent, je sentis la verge de Xavier se coller à mon ventre. Mon cousin posa ses lèvres sur les miennes et ensemble, nos bouches
s’ouvrirent pour satisfaire le gage de Jérémy.
Puisqu’un autre nous avait poussés à nous embrasser, Xavier ne se formalisa pas pour fouiller ma bouche et
profiter pleinement du cadeau que son frère lui avait fait. Notre baiser dura à peine deux minutes mais je me souviens très bien m’être promis au moment où nos corps se séparaient de reprendre
très vite la bouche de ce garçon à mes yeux déjà si grand et si fort. Toute ma vie je crois, je me souviendrai de cette forme chaude qui se colla à moi et que je sentis grossir et s’élever le
temps que dura notre baiser.
Avant que nous ne retrouvions nos places, Xavier me dit à l’oreille:
— Pas mal pour un débutant, j’ai bien envie d’en connaître plus.
Je lui souriais tandis que Jérémy relançait la bouteille d’un mouvement brusque qui lui fit faire plusieurs
tours sur elle-même. Le goulot pointa enfin vers Xavier qui poussa un grand cri de vengeance. Jérémy et moi partagions le même éclat de rire, tandis que crânement Xavier se levait dans sa plus
totale nudité, et restait un moment à nous observer Jérémy et moi, la verge à peine remise du tour précédent. Quand il se tourna vers son frère, je compris que Jérémy devrait rendre coup pour
coup du gage qu’il venait de nous infliger.
Xavier obligea son frère à s’allonger à même le sol pour retirer son jeans. Devant le sourire de mon cousin, je
compris qu’une fois encore le moment allait être de haute teneur. Je ne fus pas déçu. Xavier se tenait debout, le sexe tendu, entre les jambes de son frère allongé sur le sol. Jérémy figea alors
son regard dans celui de son aîné, et dégrafa le premier bouton de son jeans. Immédiatement, ma verge déjà tendue se rappela à mon souvenir et oubliant toute retenue comme il semblait être de
mise en compagnie de mes deux cousins, je passai une main à l’intérieur du dernier vêtement que je portais. Jérémy ne fut pas long à comprendre mon état et tandis que lentement il dégrafait les
boutons de sa braguette, il ne quitta pas du regard ma main qui doucement avait pris le contrôle de mon muscle masculin. Xavier aussi n’avait pu retenir une envie de caresse. Quand nos regards se
croisèrent, mon aîné d’un simple geste m’invita à le rejoindre. Je m’approchai sans quitter Jérémy du regard et Xavier me passa la main autour du cou, me collant le dos à sa poitrine. Je sentais
sa barre de chair tendue contre le bas de mon dos et il n’en fallut pas plus pour que je ressente le même étourdissement que l’après-midi. Xavier heureusement était un bon prof, tendrement il me
posa une main sur les abdos et me chuchota:
— Va doucement, petit Alex, apprends à maitriser tes envies. Regarde ton cousin, tu vas voir comment il va faire
durer le sien. Profite, et laisse-toi faire.
Me laisser faire? Je n’avais que cette envie de me noyer à nouveau dans l’océan que j’avais connu quelques
heures plus tôt. Jérémy, dans un geste tout calculé, fit glisser son jeans le long de ses jambes. Pour ce faire, vu sa position allongée, il ne pouvait que se redresser et à un moment, son visage
fut à quelques centimètres de mon bas-ventre. Ma verge était tendue comme prête à exploser et mon cousin après avoir retiré son pantalon resta assis quelques secondes, le regard rivé à mon
bassin. Le moment était trop fort, j’avais envie de plus. Je tendis la main pour caresser ses cheveux et celui-ci colla sa tête à mon sous-vêtement.
Ma verge tendue battait contre sa joue, quand il tourna les yeux vers mon regard, ses lèvres furent en contact
direct avec la bosse qui déformait effrontément mon slip. Je crus m’évanouir quand Jérémy embrassa la proéminence qui se cachait derrière la pièce de tissu. Immédiatement, mon muscle tressaillit
demandant à être libéré de sa prison. J’étais encore trop jeune dans ce monde de perversité pour franchir le cap de me donner à mon cousin et ce fut Xavier qui encore une fois vint à mon
secours.
Doucement, je sentis ses mains glisser le long de ma poitrine, danser sur mes abdominaux, avant de caresser mon
bassin et de glisser dans mon sous-vêtement. Xavier me caressa le pubis, les hanches, évitant soigneusement tout contact direct avec ma verge tendue. Ses mains glissèrent sur la face arrière de
mon bassin, empoignant mes deux globes fessiers dans une caresse nouvelle, elle aussi. Jérémy les lèvres toujours collées contre mon slip n’avait pas perdu une seconde de la sensualité de
l’instant. Quand ses deux mains vinrent se poser derrière mes cuisses, je fermai les yeux m’abandonnant totalement à leur plaisir. Xavier fit glisser mon dernier vêtement sous mes fesses, Jérémy
se chargeant de finir de me déshabiller en le retirant complètement.
Simultanément, je ressentis la verge dure et nue de Xavier se plaquer à mon bassin côté pile, et la joue de
Jérémy côté face que ma verge libérée venait de frapper. Tandis que son frère couvrait mon coup de baisers et que ses mains me caressaient faisant naitre en moi un état indescriptible
d’excitation, Jérémy avait empoigné mon cep et me masturbait doucement en regardant l’objet de son désir.
Je ne pouvais détacher mon regard de ce garçon à genoux devant moi et qui me tenait en main. Je connaissais son
envie, elle était mienne. Aussi quand nos yeux se croisèrent, mon cousin soutint mon regard quand il porta mon membre à sa bouche. Je rejetai la tête en arrière, fermant les yeux tant la
sensation fut extraordinaire. Quand sa langue s’enroula autour de mon gland, j’eus l’impression d’une autre vie. Jamais je n’avais ressenti de sensation semblable. Quand sa bouche se referma
complètement autour de ma tige tendue j’eus du mal à réaliser que mon cousin venait de m’emboucher entièrement, m’avalant au plus profond de sa gorge.
Mes deux cousins s’occupaient totalement de mon corps. Je prenais conscience de devenir leur jouet, mais j’étais
trop bien pour me poser trop de questions. Je n’avais qu’une envie, me donner, me lâcher totalement et jouir totalement de leurs caresses, de leurs envies. Jérémy alternait les moments de
caresses et de succions qui me firent comprendre que chaque moment que j’avais encore à découvrir me transporterait de plaisir en plaisir toujours meilleur.
Pendant que son frère me faisait découvrir les joies de ma première fellation, Xavier avait commencé une tout
autre exploration, qui n’était pas non plus pour me déplaire. Me couvrant le cou et la nuque de ses baisers, il continuait à me caresser sur tout le corps. Ses mains me caressaient les reins et
quand je compris que l’un de ses doigts cherchait un passage jusque-là inexploré, je ne cherchai pas non plus à lui en interdire la découverte. Tout aux plaisirs qu’ils me donnaient, je laissai
ma tête reposer dans le creux de l’épaule de Xavier, celui-ci me prit tendrement au menton et me fit tourner les lèvres vers les siennes. Nos langues jouèrent longtemps ensemble, j’avais contre
moi ce grand corps chaud, et au creux des reins cette barre qi n’en finissait pas de grandir et grossir, cherchant à m’apprivoiser à de nouvelles expériences encore.
Comprenant mon abandon total entre les mains de son frère, Jérémy fit une pause dans sa caresse buccale,
soucieux de ne pas me voir trop vite rendre les armes. Quand il se releva, Xavier lui tendit une main et quittant ma bouche laissa sa place à son frère. Complètement saoul de plaisir, je me jetai
presque sur les lèvres de Jeremy. Mon cousin répondit à ma furie mais au lieu de m’enserrer comme il savait si bien le faire, il me fit tourner dans la pièce tout en me caressant et me dévorant
la langue. Nous finissions notre danse contre le bois du grand lit qui était celui de Xavier. Je m’allongeai alors sur la couche tenant toujours la main de mon cousin. J’avais envie d’apprendre
encore, et pour le coup je voulais autre chose que le rôle passif qui était le mien depuis le début de mon initiation, je voulais rendre à Jérémy ce qu’il venait de me faire connaître et de
nouveau plaisir.
Quand mon cousin comprit mon caprice, un grand sourire se dessina sur ses lèvres. Crânement, il se défit du
caleçon qu’il portait toujours, mais devenu bien trop étroit pour le contenir encore et il me rejoint sur le lit où nous nous enlacions à nouveau. Nous n’étions plus sur terre, nos bouches, nos
membres, nos corps ne nous appartenaient plus, caresses et embrassades se succédaient à un rythme que nous ne maîtrisions plus. Et quand de longues minutes plus tard nous nous calmions enfin,
j’avais devant les yeux sa verge magnifique, tendue d’amour et d’envie. Jérémy était allongé au travers du lit, j’étais à genoux entre ses jambes ouvertes telles un compas géant.
Comme il nous y avait habitués, Xavier s’était assis à notre côté et se caressait doucement en nous regardant.
Tour à tour, mon regard allait du sexe tendu de Jérémy, à celui magnifique en taille de son frère aîné. Comme pour me laisser libre choix dans le rôle que je m’étais donné, Xavier vint s’allonger
à côté de son jeune frère. Timidement, je pris le sexe de Jérémy dans le creux de ma paume, je jouai quelques secondes avec le gros bourgeon rouge puis je me baissai pour humer cet objet de
plaisir dont je ne savais encore rien ou si peu.
Devant mon hésitation, mes deux cousins pouffèrent une nouvelle fois de rire. Xavier se releva sur son coude et
de son autre main me caressa le dos et les épaules. À nouveau je me sentis rassuré par celui qui avait su m’apprendre tant de choses au cours de cette journée. Caressant Jérémy au plus près,
j’osai enfin glisser ma langue sur le méat turgescent et ce premier contact me plut instantanément. Comme une grosse glace, je léchais le gland de Jérémy qui avait fermé les yeux et relevait son
bassin vers mon visage. Descendant mes coups de langue le long de sa hampe, Jérémy ne put retenir un râle qui m’incita à lui en procurer d’autres. Ma bouche grande ouverte avala la barre de chair
et je surpris chez mon cousin un sursaut de plaisir dont je ressortais ma petite fierté. De ma bouche je suçais la tige dressée, j’agaçais de ma langue le frein de son gland, et j’eus
soudainement envie de caresser les deux abricots vierges de tout poil qui semblaient gorgés d’amour sous la hampe congestionnée. Une nouvelle caresse qui arracha un autre râle à celui à qui je
voulais voir prendre son plaisir.
Xavier, comme à son habitude, n’avait pas perdu son temps, ses doigts avaient repris leur caresse sur mon dos et
mes reins, et retrouvèrent le chemin qu’ils avaient explorés l’instant d’avant. À genoux devant Jérémy comme je l’étais, Xavier avait pleine vue sur mes fesses que je n’hésitais pas à ouvrir à sa
première sollicitation et très vite je compris qu’il avait choisi un autre terrain de jeux. Quand son corps se coucha contre le mien, quand ses lèvres glissèrent dans mon cou, puis coururent le
long de mon dos, quand sa langue me caressa le bas des reins avant de s’insinuer là ou jamais personne ne m’avait touché, je sus qu’une fois encore j’allais aimer ce qui se préparait. Distrait
par notre aîné, j’avais quelque peu délaissé Jérémy qui comprit lui aussi très vite les intentions de son frère. Amant intentionné, il avait compris mon envie de le voir heureux mais souhaitait
surtout me voir prendre pleinement plaisir de mes découvertes.
Celle qui s’annonçait sous les doigts de Xavier allait changer ma vie. Quand je sentis que l’un de ses doigts
appuyait plus fortement qu’une simple caresse à la porte de mes reins, j’eus un mouvement de crispation que Jérémy m’aida à contrôler en me caressant le cou et le dos. Quand le doigt de Xavier
revint à la charge, je compris qu’il était enduit d’une sorte de gel que je trouvais d’abord froid au contact, mais dont je pus apprécier le bienfait quand je sentis le doigt de mon cousin me
pénétrer lentement. Doucement Xavier prépara l’entrée de mes reins, Jérémy étant tout aussi attentif que moi à ce qui se passait.
Un doigt tout d’abord me dilata l’entrée de ma croupe, puis deux et enfin après un long moment de caresse, et de
tendresse dans sa préparation, je sentis que ce n’était plus un doigt de mon cousin qui se présentait l’entrée de mes reins. Doucement Xavier poussa contre mon fondement, et je sentis son gland
énorme se frayer un chemin dans le sillon qu’il venait d’apprêter. Millimètre par millimètre, mon cousin glissait en moi, attentif à la moindre douleur que je ressentais. Malgré sa préparation
minutieuse, je serrai les dents en calant ma tête dans l’épaule de Jérémy dont je sentais le cœur battre sous sa poitrine. J’avais l’impression d’être déchiré, je demandais à Xavier d’aller
doucement et il prit encore plus de précautions, attendant longuement entre chaque millimètre que je m’habitue à sa présence en moi. Au bout d’un long moment, je sentis son pubis buter contre mes
fesses. Xavier me caressa alors le dos et les reins et nous ne bougions plus durant de longues secondes. Petit à petit, je sentais la douleur refoulée et au contraire je m’habituais à ce pieu de
chair que je sentais vivre en moi. Conscient que ma douleur était moins vive, Xavier commença tout doucement à aller et venir en moi. Sa tige se contentait juste de quelques millimètres de
déplacement, puis revenait m’habituant toujours plus à sa présence. Enfin, je le sentais glisser presque complètement au dehors de mes reins pour revenir m’empaler de toute sa longueur. Durant
quelques minutes encore, je ressentis la brûlure de mes entrailles déchirée, mais très vite cette brûlure se transforma en un feu semblable à celui que j’avais ressenti l’après-midi même quand je
succombais une première fois à leurs caresses.
Quand il comprit que je l’attendais de toute sa puissance, Xavier m’accrocha les hanches et je le sentis enfin
me besogner selon son envie. Ma verge se raidit à nouveau durant son assaut et Jérémy me reprit en main, soucieux de me voir profiter pleinement de ce moment qui ne se reproduirait jamais plus.
De longues minutes plus tard, Xavier ralentit soudainement ses coups de boutoir, ses mains se crispèrent un peu plus autour de mes hanches et tandis que je l’entendais souffler avec force, je
sentais en moi se déverser des jets qui inondèrent mon intestin. J’avais relevé les yeux vers Jérémy qui me souriait, certainement aussi heureux que moi des découvertes que j’avais accumulées au
cours de la journée. Quand son frère abandonna mes reins pour s’allonger sur le dos et reprendre ses esprits, je m’allongeais à ses côtés et Jérémy vint s’agenouiller à côté de moi. Je passais un
bras autour de sa taille, et mon cousin vint se lover contre mon flanc. C’est ainsi que le sommeil nous cueillit ce soir-là…
À mon réveil, Jérémy était toujours dans mes bras, endormi une jambe au dessus des miennes. Xavier nous avait
laissé son lit et dormait allongé nu sur le dos dans le lit de son frère. Avant de se coucher, il avait une dernière fois fait preuve de grande attention en nous couvrant Jérémy et moi d’une
douce couette.
La fin des vacances cette année-là se déroula à l’image de cette journée. Tout était prétexte ou presque à ce
que nous nous retrouvions nus et enlacés. J’appris beaucoup d’autres choses de mes cousins
Mar 8 jui 2014
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