Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
— J'étais certain que tout ce qui se racontait sur toi était vrai. Tu vas en prendre pour ton grade, ma
salope...
''J'étais carrément hypnotisé par le sergent Di Zinni... En fait, c'était l'énorme bosse qui déformait son
pantalon qui m'hypnotisait. Quelle pièce d'artillerie avait-il entre les jambes ?
Mes yeux remontèrent jusqu'aux siens. Il ne cillait pas. J'étais conquis. Il savait déjà qu'il
obtiendrait de moi tout ce qu'il voudrait. J'étais tout à lui, tout pour lui !
— J'ai très envie de te faire des choses ! me dit-il d'un air vicieux. Des choses innommables...
Il commença à déboutonner sa braguette et il m'ordonna de me retourner pour m'appuyer contre le mur. Ce que je
fis sans attendre. J'étais en appui sur les mains, jambes écartées... Je ne le voyais plus mais j'entendais des bruits. Que faisait-il derrière mon dos ?
Il se caressait sûrement. Soudain, il s'avança - je pouvais sentir son souffle dans ma nuque - et il mit sa
grosse matraque de chair contre mon derrière en donnant un coup de reins puissant. Il se colla tout contre moi et m'entoura avec de ses bras puissants. Je tremblais très fort
d'excitation.
— Tu en as envie, n'est-ce pas ? m'a-t-il susurré dans l'oreille.
Je n'ai rien répondu car j'avais la gorge littéralement nouée. J'ai agité doucement la tête. Il m'a mordillé
le lobe droit tandis que ses mains s'attaquaient à la ceinture de mon pantalon. Celui-ci est tombé sur mes chevilles et j'ai senti des mains fouiller l'intérieur de mon caleçon. Il se frottait
contre moi. Sa bite entrait même par les ouvertures de mon caleçon. Au bout de dix minutes de torture - car c'était bien de ça qu'il s'agissait ! - il a arraché mon calebard.
J'étais cul nu, offert à mon Sergent. Il a commencé à pousser la tête de son sexe entre mes lobes et à forcer
le passage tout doucement. Son gros gland commença à rentrer. Je gémissais. On aurait dit une plainte longue et douce qui sortait de ma gorge. Si je ne m'étais pas retenu, j'aurais déjà pu
jouir... Il me parlait a l'oreille me disait que tout allait bien se passer, que les bonnes salopes il savait s'en occuper...
— Et tu en es une, n'est-ce pas, de bonne salope ?
— Euh, oui, Sergent, j'en suis une !
Je n'avais pas encore vu sa bite et ça me frustrait un peu. Voir une belle queue est toujours un régal. La regarder puis la toucher en imaginant l'effet qu'elle pourra avoir lorsqu'elle entrera
au fond de vos entrailles, c'est jouissif ! Là, elle était déjà en moi mais j'avais l'impression étrange qu'elle n'y était pas complètement. J'ai alors passé ma main entre son ventre et mes
fesses et j'ai compris avec angoisse qu'il n'avait encore rentré que la moitié.
Sa tige me ramonait le cul pianissimo puis fortissimo. J'avais l'oignon éclaté et je me retenais pour ne pas
crier... Il s'est arrêté, s'est retiré et a glissé sa main entre mes cuisses pour m'attraper les couilles et la bite. Entre caresses et tortures, il s'occupait de mes organes
surchauffés.
Il dosait parfaitement ses gestes à l'écoute de mes râles. Il savait qu'en allant trop loin et trop vite, je ne résisterais pas à la douleur. La rondeur de mes fesses devait l'impressionner car
il s'y arrêtait souvent, caressant, lissant, pinçant mes lobes charnus. Il m'attrapa alors par les hanches et reprit sa baise.
Le gland entra plus facilement mais c'est la longueur qui me fit souffrir une fois de plus. Tout doucement, en
s'aidant de petits coups de reins secs, il m'enfonçait sa queue au plus profond de mon ventre. Je hoquetais comme un bébé pris de sanglots.
— Tu vas aimer tout ce que je te réserve. Respire doucement...
Il s'arrêtait régulièrement pour me laisser reprendre mon souffle
Il a saisi mon trouble. Sans encore aller plus loin, il a
commencé un lent mouvement de va-et-vient.
— On va plus loin ? demanda-t-il.
— Ouais...
C'était moi qui avait répondu !!! C'était comme si mon excitation avait pris possession de mes réflexes,
de mon cerveau... J'avais donné le départ et il n'hésita plus à me sodomiser comme il se devait, c'est-à-dire en ressortant sa queue presque complètement et en replongeant complètement au fond
de mon cul béant avec puissance.
— Oooooh meeeerde ! me suis-je écrié.
Ma tête et mon cul allaient exploser par tant de douleur et de plaisir en même temps. Je me sentais plaisir et
désir entre les mains de mon supérieur. J'étais fier de me sentir déchiré par cette bite de cheval. À chaque coup de rein, il rentrait plus loin. Il me défonçait comme une pute.
— Ça y est ! Ça y est, ma salope, je suis au fond !
Il était tout à fait superflu de me le dire. Croyez-moi, lorsqu'on a 25 ou 26cm de queue dans le cul, on le
sent ! Je jouissais en criant. Il resta figé comme ça sans bouger et me bécota le coup en me pinçant les tétons par-dessous ma chemise. Il se mit alors à la déboutonner puis à la virer. Le
temps n'avait plus de repères. J'ignorais depuis combien de temps j'étais là !
Il recommença ses mouvements puissants, entrant et sortant de plus en plus violemment dans mon petit cul. Il ressortait sa queue presque totalement et la renfonçait jusqu'au fond en pliant
d'abord les jambes et en remontant pour se coller a moi. Ses grosses couilles velues venaient frapper mes fesses. Elles battaient en mesure au rythme des "flop flop" que faisait sa bite dans
mon cul bien ouvert à présent. Il me disait des mots cochons : pute, salope, chienne, lopette, trou, femelle... ça m'électrisait ! Pris de frénésie, il s'est collé contre moi en
tremblant.
lorsqu'on a 25 ou 26cm de queue dans le cul,
on le sent !
j'ai entendu claquer le préservatif - il l'enlevait - et j'ai senti son lait chaud couler sur mon cul puis mes
cuisses, mes lèvres. Sans me toucher, j'ai joui avec force. Puis il s'est encore frotté contre mes fesses, étalant le sperme entre nous deux. Sa queue faisait de lents mouvements sans qu'il
débande.
— Ne crois surtout pas que c'est fini ! a-t-il lancé. Fous-toi à poil et mets-toi à quatre pattes sur mon
bureau...
...
------------------------------------------------------------------------------------------------------------
commentaire :
Dim 2 déc 2018
Aucun commentaire