Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
ON VEUT MAITRISER LA SEXUALITE DES GENS comme au 19e siècle, La députée socialiste Maud Olivier déclare ": Il s’agit de « faire entrer dans les mentalités que ça n’est pas normal de payer pour un service sexuel », a-t-elle martelé.
Il y a des gens dans la misère sexuelle qui son t bien contents d'être secourus même en payant...
Les bobos n'ont pas ces problèmes... comme le fric planqué, les gigolos secrets c'est facile...
Au fond on revient aux bourgeoises du 19e siècle...
EN SUISSE : Altstetten pourrait bien faire figure de bordel du XXIe siècle. Des assistantes sociales (de l’association Flora Dora) sont présentes sur le drive-in, les box sont dotés d’un signal d’alarme ; un espace santé, et des douches sont accessibles en permanence. Enfin, le recours au préservatif est fortement incité par d'énormes affiches humoristiques. Rien de glauque. Au contraire. Le but du drive-in est bien de réduire la violence dont sont souvent victimes des prostituées le 27 août 2013 c'était l'inauguration des "sexboxes" à Zürich, visiblement inspirés des dragues d'extérieur classiques Zürich la libérale En Suisse la réglementation concernant la prostitution est décidée au niveau cantonal et peut être amendée à l’échelon municipal. Zürich, bastion de la gauche en Suisse alémanique, a toujours eu une approche libérale en la matière. La prostitution y est légale depuis 1942 mais son exercice dans la rue est désormais cantonné à trois quartiers en ville. Même du côté des go-go bars de Landstrasse, elle y est officiellement interdite. A Zürich, les prostituées cotisent, paient des impôts et doivent s’acquitter d’une licence annuelle pour exercer: 40 francs suisses (32 € environ). Soit un ensemble de neuf "boxes" pour automobilistes et deux pour les ébats pédestres. Ces dames paient un droit d’accès quotidien (à hauteur de 4€) pour utiliser les infrastructures, ouvertes de 19h à l’aube. Une fois la transaction conclue, la prostituée monte à bord du véhicule de leur client, qui se gare un peu plus loin dans un box en bois.
(Ennio Leanza/AP/SIPA) Dans le quartier industriel de Altstetten, à l'ouest de la ville, un panneau routier annonce la "Stricchplatz" (zone de prostitution), illustré d’un parapluie rose. On n'y accède qu’en voiture. Rien n'est dit dans ce reportage sur les prostitués garçons. Ouin ! Les photographes et cameramen étaient nombreux pour assister à l'événement. L'Opinion des fâcheux : exemple surAgoravox...
des dégénérés installent un drive-in du sexe - 29 Août 2013 Plus aucune limite... : c’est la devise de notre époque, caduque et dégénérée (et le plus triste, c’est que le pire est encore à venir). Voilà maintenant qu’en Suisse, des pervers viennent d’installer un drive-in sexuel : des garages à sexe... Vous imaginez la scène : des clients en rang d’oignions, chacun dans leur garage en bois, en train de se faire astiquer : sordide ! Mais où va-t’on ? Et par dessus le marché, la Mairie de Zurich est complice : elle est partenaire du projet ! Des autorités, émanation des citoyens, encourageant et légalisant la prostitution. C’est démentiel... Une femme déclare dans la vidéo : "C’est une possibilité de faire quelque chose de mieux, pour l’entourage, pour toute la ville". Mais vous avez bu Madame ? Quel mieux ? En quoi ces sordides garages sont-ils un progrès pour l’Humanité ??? Quand aux parcmètres à putes, je dois dire que c’est le pompon. La ville de Zurich a décidément des responsables complètement à la masse, de vrais dégénérés. Plus le temps passe, plus les gens perdent le sens du discernement, les vices sont banalisés, et on laisse une minorité de personnes démoniaques qui s’ignorent faire n’importe quoi et corrompre la société. Une bien triste nouvelle pour la Suisse. Espérons seulement que les Suisses auront un sursaut de conscience, s’indigneront, et pousseront des associations à combattre ce genre de dérive perverse. Une vidéo'incopiable est jointe à cet article critique Les vidéos disponibles sur Youtube