Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Un Rat de Ville alla un jour faire visite à un Rat de campagne de ses amis, .... le Rat de Ville prit congé de son hôte, qui lui promit de l’aller voir à son tour...Esope, Fables
Demain, je dois aller accueillir Philippe à la gare. Il vient passer un long week end à Paris. Je lui ai promis une visite approfondie du Paris... qui l’intéresse. Ça va chauffer...
Lorsque je l’ai vu pour la première fois, j’ai pensé: «Comme je voudrais être à la place de sa petite brunette !»...
Cette année, fin avril, j’ai eu l’occasion de vivre dix jours dans le village de mes ancêtres pour m'occuper de la maison de mon grand-père. Le fermier voisin a tout du prince charmant.
Philippe a 27 ans - comme moi! - et un physique de rêve. Bâti en force, il a une ligne parfaite. Son visage carré mais harmonieux surplombe un torse large, poilu et solide. Ses cuisses épaisses et ses bras musclés feraient craquer n’importe quelle donzelle ou minet en chaleur! Philippe est adorable. Il rappelle volontiers qu’il n’a pas fait de hautes études mais sa conversation est très agréable Lorsque je l’ai vu pour la première fois, il serrait sa dulcinée, une jolie brune qui travaille dans une maison de retraite. J’ai pensé: «Comme je voudrais être à la place de cette brunette!» Comme je suis un garçon persévérant, j’ai réalisé mon fantasme...
Il m’accueille avec son plus séduisant sourire.
— Comment ça va? Alors la ville vient se reposer à la campagne!
— Plus ou moins, oui. Je viens vider la maison de mon grand-père. On doit le placer dans une maison de retraite pas loin d'ici.
— C’est pas gai pour lui, ça!
— On voulait le prendre chez nous mais il refuse de quitter la campagne... alors...
— C’est la vie!
— Ta brune n’est pas là?
— Non, elle est absente pour quatre jours... Entre nous, ça me permet d’un peu souffler!
— Elle est gourmande? lui ai-je dit d’un air coquin.
— Non, c’est pas à cause de la bagatelle! Tu sais, de ce côté, j’ai beaucoup de besoins et pas mal de réserve...
—Tu es porté sur le sexe, toi ?
— Tu n’imagines pas à quel point! Écoute... toujours entre nous... quand elle n’est pas là, j'ai tellement de besoins que je me soulage avec mon apprenti...
— Tu veux rire?
— Pas du tout ! C’est un petit mec bien gaulé et qui ne dit jamais non...c'est d'ailleurspour ça qu'il a cherché la place ! ça change d’avec une nana en plus...
— On prend son plaisir comme on peut, hein?
— Exactement me dit-il en me regardant au fond des yeux
Comme il faisait chaud, il m’a proposé de me faire voir la petite rivière qui borde un coin un peu isolé de sa propriété.
— On peut se baigner si ça te dit!
— Ben, ça me dirait, oui, mais je n’ai pas de maillot de bain.
— Parce que tu crois que j’en mets un pour plonger...
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il a enlevé sa salopette et son T-shirt. Il ne portait rien en dessous. J’ai vu apparaître une bite énorme et en pré-érection. Son torse musclé et velu m’a littéralement électrisé et définitivement conquis. Je l’ai très vite imité et nous avons piqué une tête.
— C’est super... On retrouve nos jeux d’enfants!
— Comment a-t-on pu oublier cette époque?
— On ne l’a pas oubliée... la preuve... faut juste un peu aider sa mémoire...
Il s’est jeté sur moi pour m’enfoncer la tête sous l’eau.
On s’est un peu chahutés et nos corps se sont frôlés. Après un moment, essoufflés, nous nous sommes assis dans l'herbe, Nous avons parlé de tout et de rien. Inévitablement, au bout d'un moment, la conversation est repartie sur les choses du sexe... Ce fut lui qui aborda le sujet et il commença à me poser des questions sur mes habitudes et mes fréquentations.
— Tu te branles souvent, toi?
— Pas mal... Je le fais toujours seul! Je n’ai jamais eu l’occasion de le faire avec quelqu'un d'autre.... Putain, tu as un sexe énorme! Tu dois faire jouir ta brune comme pas deux!
— Elle ne s’en plaint pas!
— Tu n’as pas à te plaindre non plus!
Il a pris ma bite délicatement, sans que j’aie le temps de dire ou faire quoi que ce soit, et a commencé à me sucer avec talent.
— Ooooh, c’est trop bon! Philippe, c’est génial...
— T’en rêvais depuis longtemps, hein?
— Salopard! Tu avais deviné!
— Je voulais te laisser un peu mariner... Maintenant, là, t’es à point!
Il a gobé mon gland et enfin ma queue tout entière. J'éprouvais tellement de plaisir que je lui tenais la tête pour accompagner son mouvement.
— C’est qu’en plus tu suces comme un dieu!
— Je suis un dieu... Attends voir mon coup de reins... Tu vas en prendre plein la rondelle, mon pote!
Je croyais rêver. Il me pompait royalement et, moi, je rugissais de plaisir. J’étais presque sur le point de lui juter en bouche.
— Philippe, je t’en supplie, arrête, je vais jouir!
— Ah ben non, c’est trop tôt!
Il a continué à me sucer plus calmement en me caressant le scrotum.
— Tu te calmes, là?
— Tu parles... tu me rends fou... C'est la première fois que je fais ça avec un fermier et c’était un de mes fantasmes les plus fous!
— Alors, on fantasme sur les fermiers.
— Pas sur tous les fermiers... Sur les beaux fermiers musclés, poilus et... vicieux...
— Mmmmmm... tout un programme! Faudrait en trouver un!
— Je crois que c’est fait...
Il m’a proposé de rentrer à la ferme. Nous avons fait tout le chemin, à travers les prés et les bois, dans la tenue d’Adam. Nous avions la bite à la verticale. Il m’a un peu chatouillé et claqué les fesses avec sa salopette roulée. Nous n’avons heureusement été vus par personne. De toutes manières, Philippe semblait s’en foutre complètement. Il devait faire comme ça avec le petit apprenti.
— Au fait, t’étais venu pourquoi?
— Pour t’acheter des légumes ...
— Des poireaux?
— Pourquoi pas! S’ils sont bien longs et durs!
— Attends que je te dégorge le tien...
Dans l’arrière-cour, il m’a poussé sous la douche et nous nous sommes frottés mutuellement. Après la douche, nous sommes montés dans sa chambre. Il m’a attiré vers le grand lit. Le lit où il saute sa brune et où il la fait hurler de plaisir. Nous avons continué à nous embrasser et à nous caresser. Philippe était très excité et, n’en pouvant plus, il m’a couché sur le ventre.
— J’en ai trop envie! J’peux plus attendre... Ton cul est un pousse-au-crime!
— Il est à toi. Sers toi...
— J’vais pas me priver!
Il a commencé à me lécher la rondelle en faisant des bruits de lèche et de succion. C’était jouissif! Il a poursuivi en me fourrant un doigt, puis deux et trois. Je me trémoussais de plaisir...
— Oh oui, Philippe! Fourre-moi bien... Remplace vite tes doigts par quelque chose de plus gros... de très gros et bien chaud... bien dur...
— Oh la salope! T’es pire que ma pouliche...
Il me plia vivement en deux sur l’oreiller et me mit son gland contre la rondelle. Le contact fut comme électrique. J’ai ressenti un courant de vibrations extrêmement subtil. Il a appuyé légèrement, s’est retiré et a recommencé jusqu’à ce que je sois habitué à son calibre. Et quel calibre! J'ai tout de suite senti une petite douleur qui s'est vite transformée en plaisir quand sa bite a trouvé son rythme.
— Alors... heureuse?
On s’est mis à rire à gorge déployée.
— Ne ris pas trop, ça va me faire débander!
— Surtout pas!
Il m'a limé d'abord lentement puis de plus en plus vite. Je gémissais de plaisir et il s’est penché pour prendre mes lèvres. Il m’a murmuré des trucs vachement cochons et d’autres à la limite de la déclaration d’amour. Secoué par ses coups de butoir, j'ai senti mon sperme monter dans ma tige bien raide. J' ai éjaculé sans me toucher. Trente secondes plus tard, il m’imitait et poussait un rugissement en inondant mon ventre de son jus d’amour. Nous nous sommes encore embrassés et nous sommes restés enlacés pendant un long moment, ventre contre ventre, laissant sécher nos spermes mêlés.
— À ton tour, de m’enculer! a-t-il dit.
— Moi?
— T’es un mec ou quoi? t’es pas une tapette quand même! (ndlr lol)
Il s'est couché sur le ventre et m'a attrapé la queue pour la faire durcir. Grâce à ses caresses, elle est devenue raide en un temps record. Il a guidé mon engin vers son trou ouvert et m’a ordonné de le baiser comme si j’étais sa petite femelle. Doucement, je suis allé au fond de son conduit anal. J’avais tellement peur de lui faire mal ou de le décevoir. Je suis entré dedans sans difficultés.
— C’est ta première fois?
— T’es malade! J’ai été enculé pour la première fois par un garçon de ferme quand j’avais 15 ans. J’ai eu très mal mais, crois-moi, je ne suis pas du genre à rester sur un échec! J’ai remis ça le jour de mes 16 ans avec notre prof de latin. Un mâle à bite d’acier!
Je n’en revenais pas. Philippe avait été enculé bien avant moi! Ce mec si viril avait eu sa première relation homo alors qu’il était adolescent. Cette révélation m’a complètement dégelé. J’ai poussé ma queue recouverte d’une capote dans son trou offert et ça est entré tout seul. J’ai progressé avec douceur. Il m’a encouragé à m’enhardir. Je prenais un pied d’enfer. Je l'ai entendu soupirer lorsque mes couilles ont caressé ses fesses et j'ai déchargé de puissants jets de foutre à l'intérieur de la capote.
— Je suis absolument désolé, Philippe... Tu m’excites trop... J’ai pas pu me retenir...
— C’est pas grave, mon pote. Je t’ai tout de même un peu senti et... regarde... j’ai juté aussi...
Ses mains étaient poisseuses, couvertes de sperme.
— J’espère que tu m’inviteras un jour dans ta ville... pour que la campagne puisse goûter aux plaisirs urbains!
— Tu t’amènes quand tu veux... et, crois-moi, tu pourras t’envoyer en l’air comme tu ne l’as jamais fait.
— Je relève le défi!
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Ce passage facile de l'amour gay à l'amour hétéro me questionne et me fascine. Bof ! Demain, je dois aller accueillir Philippe à la gare. Il vient passer un long week end à Paris. Je lui ai promis une visite approfondie du Paris... qui l’intéresse. Ça va chauffer...
mis en ligne sur gai-eros par Charles (Be)
Et si on sort, je te ferai faire des rencontres canon !