Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Voilà François T. Ce qu'il raconte de sa jeune adolescence
n'est pas banal. On se dit que, plus ou moins, on a vécu de telles découvertes, mais nous ne saurions pas exprimer avec autant de Vérité les
obsessions, les désirs, les interdits balayés, les délicieux secrets des tourments du sexe. Il y a aussi dans ce très beau texte les opportunités qui se présentent, portes ouvertes à la
délicieuse aventure du Sexe à qui veut et sait les franchir pour savourer le Sel de la vie.
Par la fenêtre du car qui me ramène du lycée, je regarde distraitement défiler le paysage mais mes pensées sont ailleurs. Je pense à Enzo et à ce que je vais faire avec lui. Oumpf ! J'ai comme un pincement dans le ventre et une contraction involontaire des muscles du dos dans une sorte de frisson. Aujourd'hui, c'est décidé, je le prends en entier ! Je n'ai jamais pu jusqu'à présent. Il me donne trop de plaisir dés qu'il me pénètre et je me branle comme un fou, au début pour compenser la douleur de l'intromission puis à cause de l'intensité des sensations qu'il me donne. Je perds le contrôle et je me fais jouir, toujours trop vite, toujours trop tôt... J'y pense depuis ce matin, depuis la deuxième heure du cours de math, par association d'idées. Nous sommes vendredi et vendredi = fin des cours à 15 heures 30. Autocar de 15 heures 45 et deux grandes heures tout seul à la maison avant que mon frère puis mes parents arrivent. Deux grandes heures pour me faire plaisir comme je l'entends, pour prendre un pied terrible sans risquer d'être surpris. Enzo sera de la fête, il ne peut pas en être autrement. Pendant que la prof expliquait une fonction au tableau, mon esprit vagabondait. Je ressentais presque physiquement la présence d'Enzo dans mon anus et le plaisir qu'il allait me donner. Aujourd'hui, c'était décidé, et même si je devais me faire éclater, je m'enfoncerai jusqu'aux couilles. 17 cm. Brrrr ! Je le sais, je l'ai mesuré avec un mètre de couturière. Et la taille en conséquence... 15,5 cm de circonférence à la base ce qui donne 4,9 cm de diamètre. Re-Brrrr ! Pas vraiment une taille adaptée à un petit lycéen inexpérimenté ! Je me suis promis de ne pas me masturber tant qu'il ne serait pas entré complètement et de faire durer bien plus longtemps que d'habitude. Et tant pis si cela me fait mal... L'idée m'a excité et m'a fait bander dur, tout est possible grâce à la force de l'imagination. Autant dire que je n'ai pas trop suivi la fin du cours, j'étais déjà en pensée avec Enzo et les plaisirs qu'il me promettait. Je me suis ressaisi à l'heure du self mais l'idée m'a repris pendant les TP de techno et je rebandais en montant dans le car. Encore un quart d'heure et je suis chez moi. Mon attention est attirée par un garçon qui s'agite trois rangs devant moi. C'est le boute-en-train de la bande de collégiens qui remonte au village après les cours. Eux aussi terminent plus tôt le vendredi. Il apostrophe la moitié du car et se tient la plupart du temps agenouillé sur son siège, retourné vers deux filles qu'il drague grossièrement. Beau garçon. Assez grand, svelte, peau mate, certainement d'origine portugaise ou italienne ce qui est courant dans la région où beaucoup de saisonniers se sont installés depuis des dizaines d'années. Visage fin avec de grands yeux verts sous des sourcils très noirs qui se rejoignent au-dessus de l’arrête de nez, des joues lisses mais un duvet fourni qui lui fait une ombre sur la lèvre supérieure. Il doit avoir 15 ou 16 ans comme moi. Je le vois presque tous les matins et certains soirs, je le regarde faire son jeu de petit coq macho auprès des filles pour amuser ses copains et s'il est loin de me laisser indifférent, je ne nourris aucun espoir d'avoir des relations autres qu'amicales avec lui, visiblement ce n'est pas du mouron pour mon serin, il est bien trop captivé par les filles. Nous ne nous sommes encore jamais parlé depuis que ma famille a emménagé dans la région au début de l'année scolaire, les gens d'ici sont un peu méfiants envers les parisiens, ils attendent de voir venir et moi je ne suis pas le champion pour aller vers les autres. Mon arrêt arrive, trois kilomètres avant le village, lieu-dit « La Bergerie ». Trou perdu de quatre maisons mais quand nous sommes venus visiter la baraque que mon père avait déniché, nous l'avons tous trouvée si sympa et atypique que nous n'avons pas vu à quel point elle était isolée et que je serai dépendant des transports. Tant pis, dans quelques mois j'aurai une moto et je ne serai plus tributaire de l'autocar. Il est temps de cesser de penser au petit « moustachu » et d'aller retrouver Enzo. Je me mets en condition dés la porte d'entrée refermée. Je n'en ai pas vraiment besoin dans l'état d'excitation où je suis mais je veux faire monter encore la pression. Pour ce que j'ai décidé de faire j'ai besoin d'être le plus chaud possible, de me laisser entraîner par mes pulsions. Alors je me déshabille entièrement dans l'entrée, j'abandonne mes vêtements sur le carrelage, tous sans exception, même ma montre et mes chaussettes. Je viendrai les chercher plus tard, quand il sera l'heure de tout ranger, de reprendre l'allure d'un garçon sage. Pour l'instant c'est l'heure de François le Vicieux, de François qui va se donner du bon temps et se faire jouir comme une bête par des moyens qui, j'en suis persuadé, horrifieraient mes parents et connaissances s'ils les découvraient. Je suis à poil et bandant. La maison entière est à moi, elle devient le terrain de jeu de mon excitation. J'y promène ma nudité dans toutes les pièces, du salon à la cuisine. J'aime me balader tout nu, j'aimerai pouvoir vivre ainsi mais ce n'est pas le style de ma famille même si elle n'est pas trop coincée, peut-être cet été pourrais-je faire un peu de naturisme au soleil, le terrain s'y prête bien. Je poussais avec la ferme intention de me faire pénétrer, attentif et inquiet de sentir mon anus se distendre peu à peu. Je frotte ma queue sur les accoudoirs des fauteuils, je me traîne à plat ventre sur le tapis, je prends des positions érotiques devant les miroirs. T'es beau, mec et t'as la queue vraiment raide ! Dans la cuisine je me pose à califourchon dans un angle de la table pour frotter mon périnée contre le bois verni puis écrase mes boules en m'allongeant bien à plat, cuisses ouvertes. Une douleur fugace remonte de mes testicules quand elles passent sous mon ventre et je reste pantelant quelques instants, étalé de tout mon long sur la table familiale, le trou de balle à l'air. L'idée me vient de détendre mon anus, de le préparer à ce qui l'attend. Je vais chercher un gant de toilette et un tube de crème. Je mouille le gant sous l'eau chaude, si chaude que je peux à peine le tenir dans mes doigts et le rouler puis je reprends ma position sur la table et applique le rouleau dans ma raie ouverte. L'effet est immédiat, un peu l'effet que l'on ressent quand on s'essuie les mains dans la serviette chaude des restos asiatiques. Je me détends, mon anus se détend et n'oppose aucune résistance à mon doigt couvert de crème. Je m'en tartine une bonne quantité, il faut que je sois bien gras pour ce que je vais faire ! Je suis prêt, physiquement et moralement, je ne peux plus attendre, c'est maintenant ! Alors je vais chercher Enzo. Je suis toujours impressionné quand je le sors de sa cachette et que je le prends en main. 740 grammes de pur latex, lourd dans la main et gros dans la paume. La parfaite imitation d'un sexe masculin avec les veines, le gland décalotté, les couilles. 22 cm de la pointe de l'ogive jusqu'au bout de la ventouse. Aujourd'hui je suis encore plus impressionné par la décision que j'ai prise. Il me semble impossible que tout puisse entrer et pourtant j'en ai envie et c'est cette taille impressionnante qui me fait bander. Ne pas me branler, ne pas risquer de jouir trop tôt, rester excité jusqu'à ce qu'il soit enfoncé à fond dans mon cul ! Il peut paraître étonnant qu'un tel engin soit en la possession d'un gamin de seize ans. Je n'aurai, bien sûr, jamais osé entrer dans un sex-shop pour en acheter un. Je crois que je n'y aurai jamais pensé, que je n'en ressentais pas le besoin impératif. C'est de l'avoir trouvé par hasard qui a créé le désir, le besoin de m'en servir. Ce gode à une histoire. L'oncle de ma mère est mort brutalement il y a 4 ans. C'était un vieux célibataire assez original et attachant qui, à 75 ans continuait à avoir des « amies ». Ce n'était pas un oncle à héritage, il n'a laissé qu'un livret A et un appartement encombré qu'il fallait déménager rapidement pour le rendre au propriétaire. Nous avons passé un week-end, mon grand-père, mes parents, mon frère et moi à débarrasser des kilos de vieux vêtements et des meubles sans valeur. Maman est tombée la première sur une collection de journaux de « charme » comme elle à dit et qui devaient plutôt être des revues pornographiques. En rigolant, Papa et mon frère voulaient les conserver mais pour préserver mon innocence, Maman s'est dépêchée de les bazarder. L'innocent allait tomber un peu plus tard, caché au fond d'un tiroir, sur une grosse bite de caoutchouc. J'ai été évidement très surpris par la taille. J'ai pensé, au départ, à une sorte de blague, à un sexe très exagéré, il m'était impossible à 12 ans d'imaginer qu'une bite d'homme puisse être aussi grosse en érection. Surpris et intéressé. Je savais que si je signalais ma découverte ou la laissait trouver par quelqu'un d'autre, cette bite — il ne me semble pas que je connaissais le terme « godemiché » à cette époque — finirait à la poubelle avec les revues. Je voulais la conserver. Je ne savais pas encore ce que j'en ferais, peut-être simplement la montrer à mes copains pour les faire marrer, alors, comme un voleur, je l'ai glissé sous ma ceinture contre la peau de mon ventre. Heureusement je portais un blouson bouffant qui cachait l'excroissance mais cela m'a fait drôle de sentir, le reste de la journée, la forme et la texture de cette chose contre mon estomac. Plusieurs fois j'ai eu peur d'être démasqué et par la suite elle m'a posé bien des problèmes : je devais trouver de bonnes cachettes ce qui n'était pas évident. Moins évident qu'une simple revue à planquer... Qu'auraient pensé mes parents s'ils l'avaient trouvée ? Peu de temps après j'ai vu mon premier film porno. C'était chez un copain de classe qui avait trouvé une vidéo cachée dans la chambre de ses parents. En la visionnant il semblait fasciné par les seins et la vulve de l'actrice mais moi je n'avais d'yeux que pour le pénis de l'acteur. Ainsi donc une bite d'homme pouvait être aussi grosse et même plus que la bite en plastique ! Était-ce cela la norme ? Je doutais d'en avoir une si grosse plus tard. Je n'étais pas idiot, j'avais remarqué que toutes les bosses dans les maillots de bain ne se valaient pas ; à quelle forme molle correspondait la taille du jouet bandé ? Est-ce que mon frère ou mon père dont je voyais parfois les paquets dans leurs caleçons avaient des bites aussi grosses ? Parfois quand je le pouvais, je sortais la bite de sa cachette, je me mettais tout nu dans la salle de bain, je plaçais la ventouse sous mon pubis à peine duveteux, repoussait mon jeune sexe entre mes jambes, le cachais derrière les couilles de latex et m'admirais dans le miroir. Évidemment je n'étais pas bien épais et elle paraissait monstrueuse, disproportionnée par rapport à mon petit corps. Je finissais souvent par me masturber d'une main tout en tripotant le gode de l'autre. Plus tard je trouvais une autre technique : je m'allongeais sur mon lit, sur le côté en position fœtale, je plaçais l'objet en haut de mes cuisses, sous mes boule et contre mon périnée, je le gardais ainsi jusqu'à ce qu'il soit tiède en serrant rythmiquement mes cuisses et en me branlant doucement. Curieusement je dissociais complètement à cette époque ce sexe du corps d'un garçon, je n'imaginais nullement qu'il était le prolongement d'un corps qui aurait été plaqué contre mon dos et qui m'aurait tenu dans ses bras. Sa présence dans mon entrejambe me suffisait, mon désir n'était pas encore tourné vers les autres. Cela est venu plus tard, insidieusement et je commençais à ressentir des attirances envers certains garçons qui me troublaient ; je les regardais dans leur ensemble et non plus seulement la forme dans leurs maillots de bain. Et puis à 14 ans je suis tombé amoureux, vraiment. Le mercredi soir à la piscine, après la fermeture au public, se tenait l'entrainement de l'équipe de water-polo. Souvent les nageurs arrivaient avant la fermeture et s'échauffaient dans une ligne d'eau qui leur était réservée. J'ai de suite remarqué l'étroitesse de leurs maillots qui moulaient au mieux leurs fesses de jeunes athlètes. Plus encore que les autres nageurs, les pratiquants de cette discipline portent les maillots les plus étroits et les plus serrés qui soit pour éviter de se les faire arracher. Cela m'affolait complètement et pour rien au monde je ne serais parti avant que les maîtres-nageurs ne me fassent sortir du bassin. Le plus beau d'entre eux, un long garçon svelte à la démarche de félin, arborait dans son slip une barre horizontale qui fuyait vers sa hanche et me fascinait. Nul doute que je tenais là le garçon pourvu d'une bite de la taille de celle de mon gode. Et il était si beau ! J'ai développé à son égard un amour platonique, fait d'admiration lointaine. Jamais je n'ai tenté de l'approcher, de lui parler, je l'emmenais simplement dans mes rêves et dorénavant prolongeais par son corps le pénis coincé entre mes cuisses pendant mes branlettes. Il s'appelait Enzo. Le temps et l'éloignement ont guéri cet amour virtuel. Il en est resté le nom que j'avais donné à mon joujou comme les enfants en donnent un à leur doudou. L'envie de m'en servir pour l'usage auquel il avait été conçu m'était venue peu à peu et les premiers essais pas vraiment concluants. Son gros gland buttait sur mon anus étroit et le maltraitait. J'étais taraudé par l'envie qu'il me pénètre et affolé par l'idée de réussir. Un jour l'envie fut bien plus forte que la peur. J'avais appris à me préparer et à me lubrifier correctement. Je poussais plus fort que d'habitude mon bassin contre le gode bien calé par les draps, je poussais avec la ferme intention de me faire pénétrer, attentif et inquiet de sentir mon anus se distendre peu à peu. Puis il céda, d'un coup. Le gland avait passé la barrière de mes sphincters, Enzo était fiché dans mon cul de quelques centimètres ! J'en restais pantelant, submergé par les sensations indéfinissables qui provenaient de mon anus. C'était si fort ! Si fort que me branlais comme un fou et éjaculais rapidement. J'étais incapable de déterminer si cela avait été agréable ou douloureux mais j'avais joui comme jamais auparavant et les contractions de mon anus autour du gland y étaient pour beaucoup. Une fois désexcité j'ai ressenti une certaine honte à m'être livré à une telle pratique. Bah ! Cette honte allait être balayée peu à peu, au fil de la fréquence montante de mes excitations. Avec l'âge qui s'avançait et la production de testostérone qui augmentait, la machine à bander s'emballait, elle ne me laissait plus de répit et mes masturbations journalières atténuaient ma libido sans la calmer complètement. Après notre déménagement la nouvelle organisation de notre vie me laissait plus de temps seul à la maison et notamment le fameux vendredi après-midi. Ce jour devint le Enzo day, le jour où je m'empalais sur ma bite en caoutchouc. Des fois je disais aussi « la saint Trou », le jour où mon trou était à la fête. La douleur du départ ne me faisait plus peur, au contraire elle faisait partie du processus, une étape indispensable pour avoir le droit ensuite au plaisir. La crainte stupide de voir mon anus s'avachir et se déformer s'était aussi envolée, il était toujours aussi étroit et résistait toujours autant à la pénétration. J'avais également appris à me servir de la ventouse pour coller Enzo sur le carrelage d'un mur de la salle de bain et me faire embrocher debout. J'ai testé d'autres endroits dans la maison, d'autres surfaces où coller Enzo. Celui que je préférais était sans conteste une pièce au sous-sol avec, en plein centre, un poteau de bois lisse et vernis sur lequel Enzo adhérait parfaitement. Cela me permettait de me faire prendre agenouillé, sans être gêné par un mur, en passant mes mollets de chaque côté du pilier. J'aimais particulièrement cette position « à quatre pattes » pour son confort, la position un peu chienne que cela m'obligeait à prendre en creusant les reins et surtout me donnait la parfaite illusion d'être enfilé par un garçon placé derrière moi, plus sûrement que quand je me l'enfonçais avec la main. Je n'avais qu'à faire un mouvement de recul comme si j'étais tiré en arrière par deux mains accrochées à mes hanches. Je viens donc de descendre au sous-sol, la queue bandée, l'anus gras de pommade et avec Enzo qui se réchauffe entre mes mains. Je passe une capote dessus et une bonne dose de gel. J'ai mes repères sur le pilier, un nœud dans le bois, pour savoir où le placer et qu'il soit à la bonne hauteur du premier coup, bien en face de mon conduit. Deux coussins pour mes genoux, il n'y a pas de honte à vouloir un peu de confort et hop, en position, les cuisses ouvertes et le cul tendu. Première phase, phase volupté : faire glisser verticalement le gland doucement dans ma raie, le faire frotter sur les bords de mon anus pour le prévenir de ce qui va lui arriver. Il apprécie la caresse et se délecte de la suite du programme. Si si, je vous l'assure, la preuve : il m'envoie de délicieux frissons prémonitoires dans l'échine. Seconde phase, phase brutalité : le gland est en place sur le bord de mes sphincters qu'il commence à peine à repousser. Je suis toujours inquiet et impressionné à ce moment précis. Je sais que la douleur va se déchaîner dans mon anus et me submerger mais je la redoute autant que je l'espère. Alors je pousse sur mes bras, je me recule lentement sans faillir, la douleur explose, se propage dans tout mon corps. Pourtant je me recule toujours, plus loin que je n'ai jamais été, jusqu'à ce qu'elle devienne énorme, insupportable. Je me fige, pantelant et tremblant, tout les muscles contractés. Je dois faire un effort de volonté pour ne pas me dégager et faire cesser la souffrance. Les secondes s’égrènent, j'halète comme un chien essoufflé puis la douleur reflue, elle devient plaisir, un plaisir particulier, unique, très différent de celui que me procure une simple masturbation. Je reste encore sans bouger, me délectant de sentir le gode m'écarter l'anus, m'envoyer des ondes fortes et délicieuses dans tout le corps par sa seule présence dans mon cul. Vient la troisième phase, la plus excitante, celle qui me mène sur les chemin de la jouissance extrême : le frottement du gode sur les bords sensibles de mon trou du cul et son avancement progressif dans les profondeurs de mon conduit. Cela me produit un émoi si intense, une telle tension dans ma verge et toute la région génitale que, généralement je ne résiste jamais longtemps et me masturbe fougueusement. Pas aujourd'hui, je me le suis promis ! Je dois faire durer ! Je serre les poings, je m'enfonce les ongles dans la chair des paumes pour me couper l'envie de saisir ma queue et profiter au maximum de ces merveilleuses sensations. J'oscille lentement d'avant en arrière, me pénétrant à chaque fois de quelques millimètres supplémentaires. Je deviens dingue de plaisir de sentir l'allongement du frottement, de deviner les infimes différences de ressenti entre la pénétration et le retrait. Cela me met en nage, fait battre mon cœur et raccourci ma respiration. C'est bon, incroyablement bon, je ne pense plus qu'à prolonger cet état, à me goder de plus en plus fort et le plus longtemps possible. Que celui qui n'a jamais essayé la sodomie ne vienne pas me dire que c'est contre-nature, qu'un trou de balle n'est pas fait « pour ça », à quelle autre fonction que celle du plaisir destinerait-elle, cette fameuse Nature, une zone aussi érogène ? Pourquoi l'aurait-elle rendue si sensible pour le simple besoin de déféquer ? Je sens mon anus devenu si malléable que je n'ai plus de crainte à m'empaler complètement. Je me pousse en arrière et fait disparaître d'un coup les deux ou trois centimètres restant. Victoire ! Tout est rentré ! Les fausses boules appuient sur mon périnée et je sens les angles du poteau frôler mon postérieur. Et comme si cela ne suffisait pas, je m'écarte les fesses des deux mains pour gagner encore quelques millimètres. J'en reste ébloui, la queue secouée de spasmes incontrôlés, me demandant si je ne vais pas jouir sans même me toucher. C'est à ce moment précis, alors que je suis emmanché à fond sur Enzo, que j’atteins le but que je m'étais fixé, que pas un millimètre de plus ne pourrait me rentrer dans le ventre, que je tremble de sentir mon anus distendu et mon boyau comblé, c'est à ce moment précis que résonne le carillon du portail. Panique ! Qui, quoi, pourquoi ? Je reste indécis, je ne sais pas quoi faire. Je me sens pris en faute, autant que si quelqu'un venait d'entrer dans la pièce, honteux d'être en levrette avec l'anus qui frémit autour d'Enzo. Et si c'était important ? Le voisin, le père Mathias ? Il ne vient jamais sans raison. Je me dégage vivement du mandrin, trop vivement… Je reçois comme une décharge électrique de mon rectum brutalement libéré et c'est avec les jambes molles que je grimpe les marches et décroche le combiné. — Oui ? — Euh, bonjour... Je suis Mattéo, j'étais dans le bus tout à l'heure et quelqu'un d'ici a oublié son sac de cours… Je réalise que c'est vrai. J'avais l'esprit tellement occupé par Enzo que je suis descendu précipitamment sans penser à mon sac posé à terre. Je crois reconnaître la voix malgré la déformation due au haut-parleur : le « moustachu » ! Il ne pouvait pas tomber plus mal, celui là. Je suis totalement à poil, la queue cramoisie et baveuse, le trou de balle encore palpitant d'excitation. Je suis également interloqué par le prénom qu'il vient de donner, si proche par son origine et sa consonance de Enzo. Serait-ce un signe ? Je bafouille : — Voui, 10 secondes, j'ouvre tout de suite. ---------------------------------------------------------------------------- Je saute dans mon jean, enfile mon T-shirt, accroche mes vêtements étalés à une patère en dissimulant mon boxer dessous et j'appuie sur la commande électrique. Le temps qu'il parcoure les quinze mètres depuis le portail je jette un œil dans une glace. Ça va ! Le T-shirt est suffisamment long et large pour masquer mon bassin, je suis un peu rouge avec des gouttelettes de transpiration à la racine des cheveux mais je pourrai toujours dire que je faisais du sport ce qui est la vérité en quelque sorte. J'ouvre la porte, il est juste derrière, encore plus mignon vu de tout près que dans le bus, avec un grain de peau très fin et une bouche charnue. Cette vision ajoutée au doux frottement du jeans sur mes fesses nues... je ne suis pas prêt de débander ! — C'est bien à toi, ça ! — Oui, merci. Il y a tous mes cours dedans. — Je m'en doute, c'est pour ça que j'ai préféré te le remonter tout de suite. Et puis c'est l'occasion de faire connaissance... Il a une voix bien timbrée, légèrement voilée et l'accent chantant de la région. Je suis sous le charme. — Moi c'est Mattéo, dit-il en me tendant une main franche. — Euh… Et moi, François… Entre ! Je saisi sa main en pensant que la mienne tenait ma queue juste avant et qu'elle doit en avoir gardé l'humidité et l'odeur. Je me trouble, je me sens curieusement en position d'infériorité à cause de ce que je faisais une minute avant, j'ai l'impression que cela se devine, que c'est écrit sur mon front. Je ne sais pas trop quoi dire, je me sens idiot. Ce n'est vraiment pas le jour pour faire connaissance, j'ai encore trop d'adrénaline dans les veines et l'anus qui se contracte parfois involontairement. Heureusement il est comme dans le car, bavard et décontracté. Il me reproche gentiment de rester dans mon coin le matin et de ne pas avoir fait l'effort de me mêler à eux . J'essaye maladroitement de me justifier et l’entraîne dans la cuisine, moins solennelle à mon sens que le salon. On s'assoit à table et débutons une conversation. Je lui propose à boire, il accepte un Coca. Je veux faire les choses bien et le servir dans les grands verres de la marque collectionnés au Fast-Food. Il sont tout en haut du placard et je dois m'étirer sur la pointe des pieds pour les attraper. Quand je remplis son verre je vois ses yeux s'ouvrir d'étonnement puis il se mord les lèvres pour retenir un fou rire et enfin éclate d'un rire franc et sonore. Je baisse les yeux. Horreur ! Mon T-shirt est remonté pendant que je m'étirais et il est maintenant bloqué par ma ceinture, dévoilant tout ce que je voulais cacher. On voit parfaitement la forme de mon sexe raide et même une tache de mouille qui a traversé le tissu. Je rabats mon maillot et m'assois vivement. Je sens mes oreilles s'empourprer. Le rire de Mattéo se calme et il me fait un clin d’œil. — Je vois que je t'ai surpris en plein travail. Désolé… Ça m'est arrivé une fois aussi de manquer de me faire pécho. Ma mère est revenue à l’improviste, j'ai juste eu le temps de me planquer… Hey, te sens pas vexé, c'est normal de se palucher. Je ne sais pas pour toi mais moi j'ai pas grand chose d'autre, c'est pourtant pas faute de faire des efforts auprès des meufs mais pour aller plus loin que se rouler des pelles, y a plus personne. Je ne savais pas comment prendre ses paroles, était-ce une invite discrète ? J'ai essayé de rebondir. Je l’entraîne dans les escaliers. Je ne suis plus moi même, je suis comme enivré, l'esprit embrumé, complètement mené par une sorte de fièvre sexuelle. — Ouais, c'est dur pour tirer son coup… Je connais personne… J'en ai marre de faire ça tout seul. — T'as l'air bien monté ! Je sursaute. — Euh… Normal… — Tu me la montres ? Merde ! On se connait depuis cinq minutes à peine et il me demande déjà de lui montrer ma queue ! Franc et rapide, le gars ! Faut pas que je rate une occase aussi inespérée. J'ai un peu honte de faire ce que je vais faire : pour la première fois je vais sortir ma queue bandée devant un autre mec. Je me lève, prends mon T-shirt dans les dents et ouvre ma braguette. Petit sifflet admiratif et très flatteur. Je ne sais pas ce que je dois faire : la remballer tout de suite ou continuer à m'exhiber ? Je choisis de jouer un peu avec. Je l'abaisse du pouce pour montrer la raideur, la lâche et elle vient claquer sur mon ventre, je joue avec la peau et fait apparaître la moitié de mon gland. Mattéo semble apprécier le spectacle, sa main droite a disparu sous la table. Aucun doute, il se tripote ! — Tu veux la toucher ? Il acquiesce d'un signe de tête, se lève et s'approche le bras tendu. Sans hésitation il saisit ma verge à pleine main et me branle doucement. Nos relations commencent bien. Comment mieux débuter une rencontre que par une bonne branle réciproque ? Ça fait des mois, des années que j'attendais une si belle occasion. Je tends la main vers sa braguette, sa queue est bien raide derrière et pousse le tissu. — Frotte comme ça, j'aime bien… C'est ce que font toujours les filles au départ… Tout en continuant à me masturber d'une main, il saisit mes testicules de l'autre et les malaxe. Divin ! J'écarte un peu les cuisses pour lui laisser un libre accès, il s'aperçoit rapidement qu'elles sont graissées sur l'arrière et s'assure que c'est bien du gel en frottant ses doigts plus loin sur mon périnée. Il fait un petit sourire vicieux. — Tu te fais des trucs dans le cul ? J’acquiesce de la tête, je n'ai pas envie de lui cacher quoi que ce soit, le ton jovial de sa question m'y incite. — Moi aussi, ça m'arrive, c'est jouissif... Avec tes doigts ou t'as un truc ? — Euh… Ben… J'ai un gode... — Wahou ! Un vrai ? Gros ? — Gros comme une bite, une grosse… Ses mains se resserrent un peu plus sur mon manche et mes couilles, il me branle avec plus d'intensité. J'appuie plus fort sur sa queue à travers son pantalon, le masse de la paume, sa queue est bien raide et semble d'une taille tout à fait convenable. J'essaye de déboucler sa ceinture. — J'aimerais bien voir ça… — Quoi ? Le gode ou... comment je m'en sers ? — Les deux... Je manque jouir instantanément tellement l'idée de me montrer m'emmanchant sur Enzo m'excite et je dois faire appel à toute ma volonté pour ne pas déflaquer. Je ne réponds rien, je suis incapable de parler. On va sauter d'un coup une sacrée étape ! J'avais imaginé pour ma première rencontre une progression plus traditionnelle : la masturbe, les pelles, les enlacements et tout ce qui suit… Il n'est peut-être pas prêt à faire l'amour comme ça avec un garçon mais a envie de me voir me faire emmancher par un gode. Puisqu'il le propose et que j'en ai très envie… D'un geste brusque j’arrache mon T-shirt et me débarrasse de mon jean. Ça y est, je suis complètement à poil devant Mattéo qui me mate sans gêne. Quel pied ! — D'accord… Viens ! Je l’entraîne dans les escaliers. Je ne suis plus moi même, je suis comme enivré, l'esprit embrumé, complètement mené par une sorte de fièvre sexuelle. Avant d'ouvrir la porte je me ressaisis un peu. — Tu n'en parles à personne, hein ! — T'inquiète ! C'est un secret entre nous deux. Il dit simplement « La vache ! » en découvrant Enzo fiché sur le poteau. « Tu te le fous en entier ? » Il y a de l'étonnement admiratif dans sa question et son regard s’intensifie quand il me voit m'agenouiller et me mettre en position, le cul juste en face du gode menaçant. Je ne veux pas le décevoir, je veux forcer son admiration alors je me recule sans faiblir, j'avale les centimètres les uns après les autres jusqu'au tout dernier. Mon anus s'est un peu refermé depuis que Mattéo m'a interrompu par son coup de sonnette. C'est presque comme une nouvelle pénétration, un truc très intense, énorme, sans toutefois le cortège de douleurs de la première fois. Je jouis du trou de balle comme je n'ai encore jamais joui. Je ne peux retenir une plainte, un « Ah ! » guttural qui sort de ma bouche grande ouverte. Je reste quelques secondes sans bouger à la recherche de mon souffle mais je veux reproduire cette extraordinaire sensation qui vient de me submerger. Je me dégage complètement d'Enzo d'un coup sec, presque trop brutalement avant de m'empaler de nouveau sans précautions. C'est fort, très fort, violent même. Je mets de la rage à chaque va-et-vient, je me jette en arrière plutôt que je recule, jusqu'à sentir le choc des couilles de silicone butant sur mon périnée. Je suis hors de moi, frissonnant et brulant, je sens ma sueur couler à la racine de mes cheveux, le long de mes bras tendus, sur mes reins creusés. Mattéo semble fasciné par le spectacle dont il ne perd aucun mouvement. Il a sortit sa queue de son pantalon, un joli morceau brun foncé. Il se la branle sans rien dire, les yeux fixés sur mon cul dans lequel disparaît Enzo. D'avoir un témoin, un si joli témoin décuple mon plaisir, je suis au bord de jouir, mais il ne faut pas ! Ce que je vis est trop intense pour que cela cesse, il me faut aller plus loin encore, frôler les limites de ma résistance, il me faut maintenant offrir mon trou à la bite de Mattéo, appeler sa saillie et me faire mettre, enfin, par un vrai garçon. J'avance à quatre pattes au milieu de la pièce en traînant les coussins sous mes genoux, je tourne mes fesses vers Mattéo et expose à ses yeux mon anus palpitant. L'invitation est claire, il ne se fait pas prier. Il enlève rapidement pantalon et slip puis s'agenouille derrière moi sur les coussins et sans attendre profite de l'aubaine. Comme c'est différent une vraie pine ! À la fois plus doux et plus extrême, plus charnel et moins irritant. Je me laisse aller sans plus bouger, sans plus contrôler le rythme, m'abandonnant à lui totalement. Il est rentré sans difficultés mais pas sans m'envoyer dans tout le corps une grosse dose de plaisir et s'agite maintenant à une cadence rapide. Il est moins « gros » qu'Enzo et me donne une jouissance plus suave mais plus intense. Il m'a attrapé fermement aux hanches pour m'empêcher de bouger, il me tire en arrière quand, sous le coup d'une trop forte sollicitation, j'essaye de me dégager par reflexe et il me bourre sans pitié. Avec le gode je me serais accordé des poses pour retrouver mes esprits, pour faire redescendre la tension qui monte jusqu'à l'insupportable, c'est chose impossible avec Mattéo qui me pilonne sans que je puisse interrompre, avec l'énergie de celui qui veut jouir rapidement. Épuisant et terriblement jouissif ! Je gueule ma joie, mes halètements m'aident à supporter le feu qui embrase mon conduit. Je vais mourir de plaisir, c'est sûr ! Plus rien ne sera pareil après être monté aussi haut. Plus jamais je ne pourrai me passer d'un si formidable plaisir. On est emporté tous deux par un véritable cyclone, il se déchaîne dans mon cul sans aucune retenue et je subis ses assauts sans plus chercher à m'en protéger, je résiste à chacun de ses coups de boutoir, les fesses tendues vers son sexe, le trou offert au mieux que je puisse le donner. Il se fige d'un coup, enfoncé au plus profond, le temps d'enlever chemise et maillot. Il est magnifique dans sa nudité et je suis bouleversé de me faire enculer par un si beau garçon. Je me travaille l'anus de son sexe pendant qu'il se déshabille, faisant aller et venir et tourner mon bassin comme je le fais avec Enzo. Il se met sur ses pieds, à moitié accroupi, et reprend les commandes de nos jouissances avec une vigueur décuplée par cette nouvelle position. Il lâche un « Je viens » mourant pour me prévenir qu'il ne peut plus tenir. À cette annonce je creuse encore plus les reins pour mieux ressentir les giclées qui vont asperger mes intestins. Je les voudrais puissantes et qu'elles remplissent et distendent mon ventre. À chaque hoquet de sa queue, à chaque spasme de son corps, je sais que du foutre s'écoule en moi, du vrai foutre, épais et chaud. Je sais déjà que je vais tout faire pour le garder. Je pense en un éclair à ce soir et au repas autour de la table familiale avec mon secret enfoui dans mes boyaux. Je me promets de le garder toute la nuit et aussi longtemps que mes besoins naturels me le permettront. Je voudrais l'absorber et qu'il se dissolve comme un suppositoire, qu'il passe dans mon sang, que ce tout premier foutre du beau Mattéo, de mon tout premier amant devienne mien et me féconde… L'excitation et le plaisir ultime vous donne parfois de bien étranges et irrationnelles idées ! Je le laisse jouir de tout son saoul, se vider jusqu'à la dernière goutte puis j'attrape ma queue. Je l'avais presque oubliée tant j'étais concentré sur les sensations en provenance de mon cul. Elle est bandée à mort et je me branle comme un fou. Je réclame qu'il continue à me bourrer malgré sa verge qui s’assouplit. J'éjacule lourdement sur le carrelage et à chaque jet mon anus se resserre, masse la verge prisonnière puis finit par l'éjecter. Mattéo force de son gland mon anneau crispé, il s'aide de son pouce pour diriger son membre qui plie et s'enfonce à nouveau dans mon antre. C'est le coup de grâce, l'estocade qui m'envoie un dernier frisson dans tout le corps. Je me sens sans force et sans volonté, je n'ai même pas celle de lui demander de se retirer. Je m'étale à plat ventre sur le sol, Mattéo me suit sans déculer. Je gis, amorphe et comblé, au sens propre comme au figuré, délicieusement torturé, complètement occis, mort. — Quelle baise ! J'ai été bon ? Questionnement d'un jeune mâle qui vient d'avoir son premier coït. Avec une fille il aurait certainement joué les blasés, les affranchis. Avec un copain, il se sent en confiance et demande que je juge sa prestation. — Un peu que t'as été bon ! J'ai jamais pris un pied pareil… — On recommencera ? J'ai vraiment envie de faire plein de trucs avec toi… Il est toujours allongé sur mon dos, détendu, relâché. J'aime sentir le poids de son corps, son moelleux, sa chaleur en opposition avec la dureté et la fraîcheur du carrelage. Sa bite s'échappe, il se relève à moitié, je me retourne, on se regarde intensément, les yeux dans les yeux puis je regarde sa si jolie peau mate et le duvet sombre de sa lèvre supérieure. Je m'approche et je passe ma langue dessus. C'est doux et ça chatouille. Il sourit et entrouvre la bouche. Nos lèvres se rejoignent, se frottent et s'humectent. Nos langues se trouvent et se mélangent. Je défaille d'amour sous ce tout premier baiser. Mattéo vient de partir. Je me rhabille en vitesse et vérifie une dernière fois qu'il n'y a plus de traces de sperme sur le carrelage et que tout est bien rangé. Nous nous sommes longtemps frottés l'un à l'autre, les bouches soudées, debout appuyés au poteau. Nous avons flirté comme lors d'une première rencontre, comme si nous n'avions pas commencé parce qui est habituellement le sommet d'une relation. On s'est frotté, embrassé et caressé puis je me suis agenouillé et je l'ai fait jouir dans ma bouche puis j'ai éjaculé sur sa joue. J'ai maintenant deux doses de son sperme dans le ventre et dans l'estomac, j'ai l'impression de les sentir rayonner comme des diamants précieux. On doit se voir demain et bien sûr vendredi prochain. Je suis heureux.
Mon frère ne va plus tarder, il est plus que temps que j'enveloppe Enzo dans sa serviette et le pousse au fond de sa cachette. — Eh, fais pas la gueule mon Enzo adoré, je te plaque pas ! Repose toi bien, je te promets que bientôt on fera une touze à trois, Mattéo a envie de t'essayer… le site des récits de Fançois T http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Fran%C3%A7ois_T.
Par la fenêtre du car qui me ramène du lycée, je regarde distraitement défiler le paysage mais mes pensées sont ailleurs. Je pense à Enzo et à ce que je vais faire avec lui. Oumpf ! J'ai comme un pincement dans le ventre et une contraction involontaire des muscles du dos dans une sorte de frisson. Aujourd'hui, c'est décidé, je le prends en entier ! Je n'ai jamais pu jusqu'à présent. Il me donne trop de plaisir dés qu'il me pénètre et je me branle comme un fou, au début pour compenser la douleur de l'intromission puis à cause de l'intensité des sensations qu'il me donne. Je perds le contrôle et je me fais jouir, toujours trop vite, toujours trop tôt... J'y pense depuis ce matin, depuis la deuxième heure du cours de math, par association d'idées. Nous sommes vendredi et vendredi = fin des cours à 15 heures 30. Autocar de 15 heures 45 et deux grandes heures tout seul à la maison avant que mon frère puis mes parents arrivent. Deux grandes heures pour me faire plaisir comme je l'entends, pour prendre un pied terrible sans risquer d'être surpris. Enzo sera de la fête, il ne peut pas en être autrement. Pendant que la prof expliquait une fonction au tableau, mon esprit vagabondait. Je ressentais presque physiquement la présence d'Enzo dans mon anus et le plaisir qu'il allait me donner. Aujourd'hui, c'était décidé, et même si je devais me faire éclater, je m'enfoncerai jusqu'aux couilles. 17 cm. Brrrr ! Je le sais, je l'ai mesuré avec un mètre de couturière. Et la taille en conséquence... 15,5 cm de circonférence à la base ce qui donne 4,9 cm de diamètre. Re-Brrrr ! Pas vraiment une taille adaptée à un petit lycéen inexpérimenté ! Je me suis promis de ne pas me masturber tant qu'il ne serait pas entré complètement et de faire durer bien plus longtemps que d'habitude. Et tant pis si cela me fait mal... L'idée m'a excité et m'a fait bander dur, tout est possible grâce à la force de l'imagination. Autant dire que je n'ai pas trop suivi la fin du cours, j'étais déjà en pensée avec Enzo et les plaisirs qu'il me promettait. Je me suis ressaisi à l'heure du self mais l'idée m'a repris pendant les TP de techno et je rebandais en montant dans le car. Encore un quart d'heure et je suis chez moi. Mon attention est attirée par un garçon qui s'agite trois rangs devant moi. C'est le boute-en-train de la bande de collégiens qui remonte au village après les cours. Eux aussi terminent plus tôt le vendredi. Il apostrophe la moitié du car et se tient la plupart du temps agenouillé sur son siège, retourné vers deux filles qu'il drague grossièrement. Beau garçon. Assez grand, svelte, peau mate, certainement d'origine portugaise ou italienne ce qui est courant dans la région où beaucoup de saisonniers se sont installés depuis des dizaines d'années. Visage fin avec de grands yeux verts sous des sourcils très noirs qui se rejoignent au-dessus de l’arrête de nez, des joues lisses mais un duvet fourni qui lui fait une ombre sur la lèvre supérieure. Il doit avoir 15 ou 16 ans comme moi. Je le vois presque tous les matins et certains soirs, je le regarde faire son jeu de petit coq macho auprès des filles pour amuser ses copains et s'il est loin de me laisser indifférent, je ne nourris aucun espoir d'avoir des relations autres qu'amicales avec lui, visiblement ce n'est pas du mouron pour mon serin, il est bien trop captivé par les filles. Nous ne nous sommes encore jamais parlé depuis que ma famille a emménagé dans la région au début de l'année scolaire, les gens d'ici sont un peu méfiants envers les parisiens, ils attendent de voir venir et moi je ne suis pas le champion pour aller vers les autres. Mon arrêt arrive, trois kilomètres avant le village, lieu-dit « La Bergerie ». Trou perdu de quatre maisons mais quand nous sommes venus visiter la baraque que mon père avait déniché, nous l'avons tous trouvée si sympa et atypique que nous n'avons pas vu à quel point elle était isolée et que je serai dépendant des transports. Tant pis, dans quelques mois j'aurai une moto et je ne serai plus tributaire de l'autocar. Il est temps de cesser de penser au petit « moustachu » et d'aller retrouver Enzo. Je me mets en condition dés la porte d'entrée refermée. Je n'en ai pas vraiment besoin dans l'état d'excitation où je suis mais je veux faire monter encore la pression. Pour ce que j'ai décidé de faire j'ai besoin d'être le plus chaud possible, de me laisser entraîner par mes pulsions. Alors je me déshabille entièrement dans l'entrée, j'abandonne mes vêtements sur le carrelage, tous sans exception, même ma montre et mes chaussettes. Je viendrai les chercher plus tard, quand il sera l'heure de tout ranger, de reprendre l'allure d'un garçon sage. Pour l'instant c'est l'heure de François le Vicieux, de François qui va se donner du bon temps et se faire jouir comme une bête par des moyens qui, j'en suis persuadé, horrifieraient mes parents et connaissances s'ils les découvraient. Je suis à poil et bandant. La maison entière est à moi, elle devient le terrain de jeu de mon excitation. J'y promène ma nudité dans toutes les pièces, du salon à la cuisine. J'aime me balader tout nu, j'aimerai pouvoir vivre ainsi mais ce n'est pas le style de ma famille même si elle n'est pas trop coincée, peut-être cet été pourrais-je faire un peu de naturisme au soleil, le terrain s'y prête bien. Je poussais avec la ferme intention de me faire pénétrer, attentif et inquiet de sentir mon anus se distendre peu à peu. Je frotte ma queue sur les accoudoirs des fauteuils, je me traîne à plat ventre sur le tapis, je prends des positions érotiques devant les miroirs. T'es beau, mec et t'as la queue vraiment raide ! Dans la cuisine je me pose à califourchon dans un angle de la table pour frotter mon périnée contre le bois verni puis écrase mes boules en m'allongeant bien à plat, cuisses ouvertes. Une douleur fugace remonte de mes testicules quand elles passent sous mon ventre et je reste pantelant quelques instants, étalé de tout mon long sur la table familiale, le trou de balle à l'air. L'idée me vient de détendre mon anus, de le préparer à ce qui l'attend. Je vais chercher un gant de toilette et un tube de crème. Je mouille le gant sous l'eau chaude, si chaude que je peux à peine le tenir dans mes doigts et le rouler puis je reprends ma position sur la table et applique le rouleau dans ma raie ouverte. L'effet est immédiat, un peu l'effet que l'on ressent quand on s'essuie les mains dans la serviette chaude des restos asiatiques. Je me détends, mon anus se détend et n'oppose aucune résistance à mon doigt couvert de crème. Je m'en tartine une bonne quantité, il faut que je sois bien gras pour ce que je vais faire ! Je suis prêt, physiquement et moralement, je ne peux plus attendre, c'est maintenant ! Alors je vais chercher Enzo. Je suis toujours impressionné quand je le sors de sa cachette et que je le prends en main. 740 grammes de pur latex, lourd dans la main et gros dans la paume. La parfaite imitation d'un sexe masculin avec les veines, le gland décalotté, les couilles. 22 cm de la pointe de l'ogive jusqu'au bout de la ventouse. Aujourd'hui je suis encore plus impressionné par la décision que j'ai prise. Il me semble impossible que tout puisse entrer et pourtant j'en ai envie et c'est cette taille impressionnante qui me fait bander. Ne pas me branler, ne pas risquer de jouir trop tôt, rester excité jusqu'à ce qu'il soit enfoncé à fond dans mon cul ! Il peut paraître étonnant qu'un tel engin soit en la possession d'un gamin de seize ans. Je n'aurai, bien sûr, jamais osé entrer dans un sex-shop pour en acheter un. Je crois que je n'y aurai jamais pensé, que je n'en ressentais pas le besoin impératif. C'est de l'avoir trouvé par hasard qui a créé le désir, le besoin de m'en servir. Ce gode à une histoire. L'oncle de ma mère est mort brutalement il y a 4 ans. C'était un vieux célibataire assez original et attachant qui, à 75 ans continuait à avoir des « amies ». Ce n'était pas un oncle à héritage, il n'a laissé qu'un livret A et un appartement encombré qu'il fallait déménager rapidement pour le rendre au propriétaire. Nous avons passé un week-end, mon grand-père, mes parents, mon frère et moi à débarrasser des kilos de vieux vêtements et des meubles sans valeur. Maman est tombée la première sur une collection de journaux de « charme » comme elle à dit et qui devaient plutôt être des revues pornographiques. En rigolant, Papa et mon frère voulaient les conserver mais pour préserver mon innocence, Maman s'est dépêchée de les bazarder. L'innocent allait tomber un peu plus tard, caché au fond d'un tiroir, sur une grosse bite de caoutchouc. J'ai été évidement très surpris par la taille. J'ai pensé, au départ, à une sorte de blague, à un sexe très exagéré, il m'était impossible à 12 ans d'imaginer qu'une bite d'homme puisse être aussi grosse en érection. Surpris et intéressé. Je savais que si je signalais ma découverte ou la laissait trouver par quelqu'un d'autre, cette bite — il ne me semble pas que je connaissais le terme « godemiché » à cette époque — finirait à la poubelle avec les revues. Je voulais la conserver. Je ne savais pas encore ce que j'en ferais, peut-être simplement la montrer à mes copains pour les faire marrer, alors, comme un voleur, je l'ai glissé sous ma ceinture contre la peau de mon ventre. Heureusement je portais un blouson bouffant qui cachait l'excroissance mais cela m'a fait drôle de sentir, le reste de la journée, la forme et la texture de cette chose contre mon estomac. Plusieurs fois j'ai eu peur d'être démasqué et par la suite elle m'a posé bien des problèmes : je devais trouver de bonnes cachettes ce qui n'était pas évident. Moins évident qu'une simple revue à planquer... Qu'auraient pensé mes parents s'ils l'avaient trouvée ? Peu de temps après j'ai vu mon premier film porno. C'était chez un copain de classe qui avait trouvé une vidéo cachée dans la chambre de ses parents. En la visionnant il semblait fasciné par les seins et la vulve de l'actrice mais moi je n'avais d'yeux que pour le pénis de l'acteur. Ainsi donc une bite d'homme pouvait être aussi grosse et même plus que la bite en plastique ! Était-ce cela la norme ? Je doutais d'en avoir une si grosse plus tard. Je n'étais pas idiot, j'avais remarqué que toutes les bosses dans les maillots de bain ne se valaient pas ; à quelle forme molle correspondait la taille du jouet bandé ? Est-ce que mon frère ou mon père dont je voyais parfois les paquets dans leurs caleçons avaient des bites aussi grosses ? Parfois quand je le pouvais, je sortais la bite de sa cachette, je me mettais tout nu dans la salle de bain, je plaçais la ventouse sous mon pubis à peine duveteux, repoussait mon jeune sexe entre mes jambes, le cachais derrière les couilles de latex et m'admirais dans le miroir. Évidemment je n'étais pas bien épais et elle paraissait monstrueuse, disproportionnée par rapport à mon petit corps. Je finissais souvent par me masturber d'une main tout en tripotant le gode de l'autre. Plus tard je trouvais une autre technique : je m'allongeais sur mon lit, sur le côté en position fœtale, je plaçais l'objet en haut de mes cuisses, sous mes boule et contre mon périnée, je le gardais ainsi jusqu'à ce qu'il soit tiède en serrant rythmiquement mes cuisses et en me branlant doucement. Curieusement je dissociais complètement à cette époque ce sexe du corps d'un garçon, je n'imaginais nullement qu'il était le prolongement d'un corps qui aurait été plaqué contre mon dos et qui m'aurait tenu dans ses bras. Sa présence dans mon entrejambe me suffisait, mon désir n'était pas encore tourné vers les autres. Cela est venu plus tard, insidieusement et je commençais à ressentir des attirances envers certains garçons qui me troublaient ; je les regardais dans leur ensemble et non plus seulement la forme dans leurs maillots de bain. Et puis à 14 ans je suis tombé amoureux, vraiment. Le mercredi soir à la piscine, après la fermeture au public, se tenait l'entrainement de l'équipe de water-polo. Souvent les nageurs arrivaient avant la fermeture et s'échauffaient dans une ligne d'eau qui leur était réservée. J'ai de suite remarqué l'étroitesse de leurs maillots qui moulaient au mieux leurs fesses de jeunes athlètes. Plus encore que les autres nageurs, les pratiquants de cette discipline portent les maillots les plus étroits et les plus serrés qui soit pour éviter de se les faire arracher. Cela m'affolait complètement et pour rien au monde je ne serais parti avant que les maîtres-nageurs ne me fassent sortir du bassin. Le plus beau d'entre eux, un long garçon svelte à la démarche de félin, arborait dans son slip une barre horizontale qui fuyait vers sa hanche et me fascinait. Nul doute que je tenais là le garçon pourvu d'une bite de la taille de celle de mon gode. Et il était si beau ! J'ai développé à son égard un amour platonique, fait d'admiration lointaine. Jamais je n'ai tenté de l'approcher, de lui parler, je l'emmenais simplement dans mes rêves et dorénavant prolongeais par son corps le pénis coincé entre mes cuisses pendant mes branlettes. Il s'appelait Enzo. Le temps et l'éloignement ont guéri cet amour virtuel. Il en est resté le nom que j'avais donné à mon joujou comme les enfants en donnent un à leur doudou. L'envie de m'en servir pour l'usage auquel il avait été conçu m'était venue peu à peu et les premiers essais pas vraiment concluants. Son gros gland buttait sur mon anus étroit et le maltraitait. J'étais taraudé par l'envie qu'il me pénètre et affolé par l'idée de réussir. Un jour l'envie fut bien plus forte que la peur. J'avais appris à me préparer et à me lubrifier correctement. Je poussais plus fort que d'habitude mon bassin contre le gode bien calé par les draps, je poussais avec la ferme intention de me faire pénétrer, attentif et inquiet de sentir mon anus se distendre peu à peu. Puis il céda, d'un coup. Le gland avait passé la barrière de mes sphincters, Enzo était fiché dans mon cul de quelques centimètres ! J'en restais pantelant, submergé par les sensations indéfinissables qui provenaient de mon anus. C'était si fort ! Si fort que me branlais comme un fou et éjaculais rapidement. J'étais incapable de déterminer si cela avait été agréable ou douloureux mais j'avais joui comme jamais auparavant et les contractions de mon anus autour du gland y étaient pour beaucoup. Une fois désexcité j'ai ressenti une certaine honte à m'être livré à une telle pratique. Bah ! Cette honte allait être balayée peu à peu, au fil de la fréquence montante de mes excitations. Avec l'âge qui s'avançait et la production de testostérone qui augmentait, la machine à bander s'emballait, elle ne me laissait plus de répit et mes masturbations journalières atténuaient ma libido sans la calmer complètement. Après notre déménagement la nouvelle organisation de notre vie me laissait plus de temps seul à la maison et notamment le fameux vendredi après-midi. Ce jour devint le Enzo day, le jour où je m'empalais sur ma bite en caoutchouc. Des fois je disais aussi « la saint Trou », le jour où mon trou était à la fête. La douleur du départ ne me faisait plus peur, au contraire elle faisait partie du processus, une étape indispensable pour avoir le droit ensuite au plaisir. La crainte stupide de voir mon anus s'avachir et se déformer s'était aussi envolée, il était toujours aussi étroit et résistait toujours autant à la pénétration. J'avais également appris à me servir de la ventouse pour coller Enzo sur le carrelage d'un mur de la salle de bain et me faire embrocher debout. J'ai testé d'autres endroits dans la maison, d'autres surfaces où coller Enzo. Celui que je préférais était sans conteste une pièce au sous-sol avec, en plein centre, un poteau de bois lisse et vernis sur lequel Enzo adhérait parfaitement. Cela me permettait de me faire prendre agenouillé, sans être gêné par un mur, en passant mes mollets de chaque côté du pilier. J'aimais particulièrement cette position « à quatre pattes » pour son confort, la position un peu chienne que cela m'obligeait à prendre en creusant les reins et surtout me donnait la parfaite illusion d'être enfilé par un garçon placé derrière moi, plus sûrement que quand je me l'enfonçais avec la main. Je n'avais qu'à faire un mouvement de recul comme si j'étais tiré en arrière par deux mains accrochées à mes hanches. Je viens donc de descendre au sous-sol, la queue bandée, l'anus gras de pommade et avec Enzo qui se réchauffe entre mes mains. Je passe une capote dessus et une bonne dose de gel. J'ai mes repères sur le pilier, un nœud dans le bois, pour savoir où le placer et qu'il soit à la bonne hauteur du premier coup, bien en face de mon conduit. Deux coussins pour mes genoux, il n'y a pas de honte à vouloir un peu de confort et hop, en position, les cuisses ouvertes et le cul tendu. Première phase, phase volupté : faire glisser verticalement le gland doucement dans ma raie, le faire frotter sur les bords de mon anus pour le prévenir de ce qui va lui arriver. Il apprécie la caresse et se délecte de la suite du programme. Si si, je vous l'assure, la preuve : il m'envoie de délicieux frissons prémonitoires dans l'échine. Seconde phase, phase brutalité : le gland est en place sur le bord de mes sphincters qu'il commence à peine à repousser. Je suis toujours inquiet et impressionné à ce moment précis. Je sais que la douleur va se déchaîner dans mon anus et me submerger mais je la redoute autant que je l'espère. Alors je pousse sur mes bras, je me recule lentement sans faillir, la douleur explose, se propage dans tout mon corps. Pourtant je me recule toujours, plus loin que je n'ai jamais été, jusqu'à ce qu'elle devienne énorme, insupportable. Je me fige, pantelant et tremblant, tout les muscles contractés. Je dois faire un effort de volonté pour ne pas me dégager et faire cesser la souffrance. Les secondes s’égrènent, j'halète comme un chien essoufflé puis la douleur reflue, elle devient plaisir, un plaisir particulier, unique, très différent de celui que me procure une simple masturbation. Je reste encore sans bouger, me délectant de sentir le gode m'écarter l'anus, m'envoyer des ondes fortes et délicieuses dans tout le corps par sa seule présence dans mon cul. Vient la troisième phase, la plus excitante, celle qui me mène sur les chemin de la jouissance extrême : le frottement du gode sur les bords sensibles de mon trou du cul et son avancement progressif dans les profondeurs de mon conduit. Cela me produit un émoi si intense, une telle tension dans ma verge et toute la région génitale que, généralement je ne résiste jamais longtemps et me masturbe fougueusement. Pas aujourd'hui, je me le suis promis ! Je dois faire durer ! Je serre les poings, je m'enfonce les ongles dans la chair des paumes pour me couper l'envie de saisir ma queue et profiter au maximum de ces merveilleuses sensations. J'oscille lentement d'avant en arrière, me pénétrant à chaque fois de quelques millimètres supplémentaires. Je deviens dingue de plaisir de sentir l'allongement du frottement, de deviner les infimes différences de ressenti entre la pénétration et le retrait. Cela me met en nage, fait battre mon cœur et raccourci ma respiration. C'est bon, incroyablement bon, je ne pense plus qu'à prolonger cet état, à me goder de plus en plus fort et le plus longtemps possible. Que celui qui n'a jamais essayé la sodomie ne vienne pas me dire que c'est contre-nature, qu'un trou de balle n'est pas fait « pour ça », à quelle autre fonction que celle du plaisir destinerait-elle, cette fameuse Nature, une zone aussi érogène ? Pourquoi l'aurait-elle rendue si sensible pour le simple besoin de déféquer ? Je sens mon anus devenu si malléable que je n'ai plus de crainte à m'empaler complètement. Je me pousse en arrière et fait disparaître d'un coup les deux ou trois centimètres restant. Victoire ! Tout est rentré ! Les fausses boules appuient sur mon périnée et je sens les angles du poteau frôler mon postérieur. Et comme si cela ne suffisait pas, je m'écarte les fesses des deux mains pour gagner encore quelques millimètres. J'en reste ébloui, la queue secouée de spasmes incontrôlés, me demandant si je ne vais pas jouir sans même me toucher. C'est à ce moment précis, alors que je suis emmanché à fond sur Enzo, que j’atteins le but que je m'étais fixé, que pas un millimètre de plus ne pourrait me rentrer dans le ventre, que je tremble de sentir mon anus distendu et mon boyau comblé, c'est à ce moment précis que résonne le carillon du portail. Panique ! Qui, quoi, pourquoi ? Je reste indécis, je ne sais pas quoi faire. Je me sens pris en faute, autant que si quelqu'un venait d'entrer dans la pièce, honteux d'être en levrette avec l'anus qui frémit autour d'Enzo. Et si c'était important ? Le voisin, le père Mathias ? Il ne vient jamais sans raison. Je me dégage vivement du mandrin, trop vivement… Je reçois comme une décharge électrique de mon rectum brutalement libéré et c'est avec les jambes molles que je grimpe les marches et décroche le combiné. — Oui ? — Euh, bonjour... Je suis Mattéo, j'étais dans le bus tout à l'heure et quelqu'un d'ici a oublié son sac de cours… Je réalise que c'est vrai. J'avais l'esprit tellement occupé par Enzo que je suis descendu précipitamment sans penser à mon sac posé à terre. Je crois reconnaître la voix malgré la déformation due au haut-parleur : le « moustachu » ! Il ne pouvait pas tomber plus mal, celui là. Je suis totalement à poil, la queue cramoisie et baveuse, le trou de balle encore palpitant d'excitation. Je suis également interloqué par le prénom qu'il vient de donner, si proche par son origine et sa consonance de Enzo. Serait-ce un signe ? Je bafouille : — Voui, 10 secondes, j'ouvre tout de suite. ---------------------------------------------------------------------------- Je saute dans mon jean, enfile mon T-shirt, accroche mes vêtements étalés à une patère en dissimulant mon boxer dessous et j'appuie sur la commande électrique. Le temps qu'il parcoure les quinze mètres depuis le portail je jette un œil dans une glace. Ça va ! Le T-shirt est suffisamment long et large pour masquer mon bassin, je suis un peu rouge avec des gouttelettes de transpiration à la racine des cheveux mais je pourrai toujours dire que je faisais du sport ce qui est la vérité en quelque sorte. J'ouvre la porte, il est juste derrière, encore plus mignon vu de tout près que dans le bus, avec un grain de peau très fin et une bouche charnue. Cette vision ajoutée au doux frottement du jeans sur mes fesses nues... je ne suis pas prêt de débander ! — C'est bien à toi, ça ! — Oui, merci. Il y a tous mes cours dedans. — Je m'en doute, c'est pour ça que j'ai préféré te le remonter tout de suite. Et puis c'est l'occasion de faire connaissance... Il a une voix bien timbrée, légèrement voilée et l'accent chantant de la région. Je suis sous le charme. — Moi c'est Mattéo, dit-il en me tendant une main franche. — Euh… Et moi, François… Entre ! Je saisi sa main en pensant que la mienne tenait ma queue juste avant et qu'elle doit en avoir gardé l'humidité et l'odeur. Je me trouble, je me sens curieusement en position d'infériorité à cause de ce que je faisais une minute avant, j'ai l'impression que cela se devine, que c'est écrit sur mon front. Je ne sais pas trop quoi dire, je me sens idiot. Ce n'est vraiment pas le jour pour faire connaissance, j'ai encore trop d'adrénaline dans les veines et l'anus qui se contracte parfois involontairement. Heureusement il est comme dans le car, bavard et décontracté. Il me reproche gentiment de rester dans mon coin le matin et de ne pas avoir fait l'effort de me mêler à eux . J'essaye maladroitement de me justifier et l’entraîne dans la cuisine, moins solennelle à mon sens que le salon. On s'assoit à table et débutons une conversation. Je lui propose à boire, il accepte un Coca. Je veux faire les choses bien et le servir dans les grands verres de la marque collectionnés au Fast-Food. Il sont tout en haut du placard et je dois m'étirer sur la pointe des pieds pour les attraper. Quand je remplis son verre je vois ses yeux s'ouvrir d'étonnement puis il se mord les lèvres pour retenir un fou rire et enfin éclate d'un rire franc et sonore. Je baisse les yeux. Horreur ! Mon T-shirt est remonté pendant que je m'étirais et il est maintenant bloqué par ma ceinture, dévoilant tout ce que je voulais cacher. On voit parfaitement la forme de mon sexe raide et même une tache de mouille qui a traversé le tissu. Je rabats mon maillot et m'assois vivement. Je sens mes oreilles s'empourprer. Le rire de Mattéo se calme et il me fait un clin d’œil. — Je vois que je t'ai surpris en plein travail. Désolé… Ça m'est arrivé une fois aussi de manquer de me faire pécho. Ma mère est revenue à l’improviste, j'ai juste eu le temps de me planquer… Hey, te sens pas vexé, c'est normal de se palucher. Je ne sais pas pour toi mais moi j'ai pas grand chose d'autre, c'est pourtant pas faute de faire des efforts auprès des meufs mais pour aller plus loin que se rouler des pelles, y a plus personne. Je ne savais pas comment prendre ses paroles, était-ce une invite discrète ? J'ai essayé de rebondir. Je l’entraîne dans les escaliers. Je ne suis plus moi même, je suis comme enivré, l'esprit embrumé, complètement mené par une sorte de fièvre sexuelle. — Ouais, c'est dur pour tirer son coup… Je connais personne… J'en ai marre de faire ça tout seul. — T'as l'air bien monté ! Je sursaute. — Euh… Normal… — Tu me la montres ? Merde ! On se connait depuis cinq minutes à peine et il me demande déjà de lui montrer ma queue ! Franc et rapide, le gars ! Faut pas que je rate une occase aussi inespérée. J'ai un peu honte de faire ce que je vais faire : pour la première fois je vais sortir ma queue bandée devant un autre mec. Je me lève, prends mon T-shirt dans les dents et ouvre ma braguette. Petit sifflet admiratif et très flatteur. Je ne sais pas ce que je dois faire : la remballer tout de suite ou continuer à m'exhiber ? Je choisis de jouer un peu avec. Je l'abaisse du pouce pour montrer la raideur, la lâche et elle vient claquer sur mon ventre, je joue avec la peau et fait apparaître la moitié de mon gland. Mattéo semble apprécier le spectacle, sa main droite a disparu sous la table. Aucun doute, il se tripote ! — Tu veux la toucher ? Il acquiesce d'un signe de tête, se lève et s'approche le bras tendu. Sans hésitation il saisit ma verge à pleine main et me branle doucement. Nos relations commencent bien. Comment mieux débuter une rencontre que par une bonne branle réciproque ? Ça fait des mois, des années que j'attendais une si belle occasion. Je tends la main vers sa braguette, sa queue est bien raide derrière et pousse le tissu. — Frotte comme ça, j'aime bien… C'est ce que font toujours les filles au départ… Tout en continuant à me masturber d'une main, il saisit mes testicules de l'autre et les malaxe. Divin ! J'écarte un peu les cuisses pour lui laisser un libre accès, il s'aperçoit rapidement qu'elles sont graissées sur l'arrière et s'assure que c'est bien du gel en frottant ses doigts plus loin sur mon périnée. Il fait un petit sourire vicieux. — Tu te fais des trucs dans le cul ? J’acquiesce de la tête, je n'ai pas envie de lui cacher quoi que ce soit, le ton jovial de sa question m'y incite. — Moi aussi, ça m'arrive, c'est jouissif... Avec tes doigts ou t'as un truc ? — Euh… Ben… J'ai un gode... — Wahou ! Un vrai ? Gros ? — Gros comme une bite, une grosse… Ses mains se resserrent un peu plus sur mon manche et mes couilles, il me branle avec plus d'intensité. J'appuie plus fort sur sa queue à travers son pantalon, le masse de la paume, sa queue est bien raide et semble d'une taille tout à fait convenable. J'essaye de déboucler sa ceinture. — J'aimerais bien voir ça… — Quoi ? Le gode ou... comment je m'en sers ? — Les deux... Je manque jouir instantanément tellement l'idée de me montrer m'emmanchant sur Enzo m'excite et je dois faire appel à toute ma volonté pour ne pas déflaquer. Je ne réponds rien, je suis incapable de parler. On va sauter d'un coup une sacrée étape ! J'avais imaginé pour ma première rencontre une progression plus traditionnelle : la masturbe, les pelles, les enlacements et tout ce qui suit… Il n'est peut-être pas prêt à faire l'amour comme ça avec un garçon mais a envie de me voir me faire emmancher par un gode. Puisqu'il le propose et que j'en ai très envie… D'un geste brusque j’arrache mon T-shirt et me débarrasse de mon jean. Ça y est, je suis complètement à poil devant Mattéo qui me mate sans gêne. Quel pied ! — D'accord… Viens ! Je l’entraîne dans les escaliers. Je ne suis plus moi même, je suis comme enivré, l'esprit embrumé, complètement mené par une sorte de fièvre sexuelle. Avant d'ouvrir la porte je me ressaisis un peu. — Tu n'en parles à personne, hein ! — T'inquiète ! C'est un secret entre nous deux. Il dit simplement « La vache ! » en découvrant Enzo fiché sur le poteau. « Tu te le fous en entier ? » Il y a de l'étonnement admiratif dans sa question et son regard s’intensifie quand il me voit m'agenouiller et me mettre en position, le cul juste en face du gode menaçant. Je ne veux pas le décevoir, je veux forcer son admiration alors je me recule sans faiblir, j'avale les centimètres les uns après les autres jusqu'au tout dernier. Mon anus s'est un peu refermé depuis que Mattéo m'a interrompu par son coup de sonnette. C'est presque comme une nouvelle pénétration, un truc très intense, énorme, sans toutefois le cortège de douleurs de la première fois. Je jouis du trou de balle comme je n'ai encore jamais joui. Je ne peux retenir une plainte, un « Ah ! » guttural qui sort de ma bouche grande ouverte. Je reste quelques secondes sans bouger à la recherche de mon souffle mais je veux reproduire cette extraordinaire sensation qui vient de me submerger. Je me dégage complètement d'Enzo d'un coup sec, presque trop brutalement avant de m'empaler de nouveau sans précautions. C'est fort, très fort, violent même. Je mets de la rage à chaque va-et-vient, je me jette en arrière plutôt que je recule, jusqu'à sentir le choc des couilles de silicone butant sur mon périnée. Je suis hors de moi, frissonnant et brulant, je sens ma sueur couler à la racine de mes cheveux, le long de mes bras tendus, sur mes reins creusés. Mattéo semble fasciné par le spectacle dont il ne perd aucun mouvement. Il a sortit sa queue de son pantalon, un joli morceau brun foncé. Il se la branle sans rien dire, les yeux fixés sur mon cul dans lequel disparaît Enzo. D'avoir un témoin, un si joli témoin décuple mon plaisir, je suis au bord de jouir, mais il ne faut pas ! Ce que je vis est trop intense pour que cela cesse, il me faut aller plus loin encore, frôler les limites de ma résistance, il me faut maintenant offrir mon trou à la bite de Mattéo, appeler sa saillie et me faire mettre, enfin, par un vrai garçon. J'avance à quatre pattes au milieu de la pièce en traînant les coussins sous mes genoux, je tourne mes fesses vers Mattéo et expose à ses yeux mon anus palpitant. L'invitation est claire, il ne se fait pas prier. Il enlève rapidement pantalon et slip puis s'agenouille derrière moi sur les coussins et sans attendre profite de l'aubaine. Comme c'est différent une vraie pine ! À la fois plus doux et plus extrême, plus charnel et moins irritant. Je me laisse aller sans plus bouger, sans plus contrôler le rythme, m'abandonnant à lui totalement. Il est rentré sans difficultés mais pas sans m'envoyer dans tout le corps une grosse dose de plaisir et s'agite maintenant à une cadence rapide. Il est moins « gros » qu'Enzo et me donne une jouissance plus suave mais plus intense. Il m'a attrapé fermement aux hanches pour m'empêcher de bouger, il me tire en arrière quand, sous le coup d'une trop forte sollicitation, j'essaye de me dégager par reflexe et il me bourre sans pitié. Avec le gode je me serais accordé des poses pour retrouver mes esprits, pour faire redescendre la tension qui monte jusqu'à l'insupportable, c'est chose impossible avec Mattéo qui me pilonne sans que je puisse interrompre, avec l'énergie de celui qui veut jouir rapidement. Épuisant et terriblement jouissif ! Je gueule ma joie, mes halètements m'aident à supporter le feu qui embrase mon conduit. Je vais mourir de plaisir, c'est sûr ! Plus rien ne sera pareil après être monté aussi haut. Plus jamais je ne pourrai me passer d'un si formidable plaisir. On est emporté tous deux par un véritable cyclone, il se déchaîne dans mon cul sans aucune retenue et je subis ses assauts sans plus chercher à m'en protéger, je résiste à chacun de ses coups de boutoir, les fesses tendues vers son sexe, le trou offert au mieux que je puisse le donner. Il se fige d'un coup, enfoncé au plus profond, le temps d'enlever chemise et maillot. Il est magnifique dans sa nudité et je suis bouleversé de me faire enculer par un si beau garçon. Je me travaille l'anus de son sexe pendant qu'il se déshabille, faisant aller et venir et tourner mon bassin comme je le fais avec Enzo. Il se met sur ses pieds, à moitié accroupi, et reprend les commandes de nos jouissances avec une vigueur décuplée par cette nouvelle position. Il lâche un « Je viens » mourant pour me prévenir qu'il ne peut plus tenir. À cette annonce je creuse encore plus les reins pour mieux ressentir les giclées qui vont asperger mes intestins. Je les voudrais puissantes et qu'elles remplissent et distendent mon ventre. À chaque hoquet de sa queue, à chaque spasme de son corps, je sais que du foutre s'écoule en moi, du vrai foutre, épais et chaud. Je sais déjà que je vais tout faire pour le garder. Je pense en un éclair à ce soir et au repas autour de la table familiale avec mon secret enfoui dans mes boyaux. Je me promets de le garder toute la nuit et aussi longtemps que mes besoins naturels me le permettront. Je voudrais l'absorber et qu'il se dissolve comme un suppositoire, qu'il passe dans mon sang, que ce tout premier foutre du beau Mattéo, de mon tout premier amant devienne mien et me féconde… L'excitation et le plaisir ultime vous donne parfois de bien étranges et irrationnelles idées ! Je le laisse jouir de tout son saoul, se vider jusqu'à la dernière goutte puis j'attrape ma queue. Je l'avais presque oubliée tant j'étais concentré sur les sensations en provenance de mon cul. Elle est bandée à mort et je me branle comme un fou. Je réclame qu'il continue à me bourrer malgré sa verge qui s’assouplit. J'éjacule lourdement sur le carrelage et à chaque jet mon anus se resserre, masse la verge prisonnière puis finit par l'éjecter. Mattéo force de son gland mon anneau crispé, il s'aide de son pouce pour diriger son membre qui plie et s'enfonce à nouveau dans mon antre. C'est le coup de grâce, l'estocade qui m'envoie un dernier frisson dans tout le corps. Je me sens sans force et sans volonté, je n'ai même pas celle de lui demander de se retirer. Je m'étale à plat ventre sur le sol, Mattéo me suit sans déculer. Je gis, amorphe et comblé, au sens propre comme au figuré, délicieusement torturé, complètement occis, mort. — Quelle baise ! J'ai été bon ? Questionnement d'un jeune mâle qui vient d'avoir son premier coït. Avec une fille il aurait certainement joué les blasés, les affranchis. Avec un copain, il se sent en confiance et demande que je juge sa prestation. — Un peu que t'as été bon ! J'ai jamais pris un pied pareil… — On recommencera ? J'ai vraiment envie de faire plein de trucs avec toi… Il est toujours allongé sur mon dos, détendu, relâché. J'aime sentir le poids de son corps, son moelleux, sa chaleur en opposition avec la dureté et la fraîcheur du carrelage. Sa bite s'échappe, il se relève à moitié, je me retourne, on se regarde intensément, les yeux dans les yeux puis je regarde sa si jolie peau mate et le duvet sombre de sa lèvre supérieure. Je m'approche et je passe ma langue dessus. C'est doux et ça chatouille. Il sourit et entrouvre la bouche. Nos lèvres se rejoignent, se frottent et s'humectent. Nos langues se trouvent et se mélangent. Je défaille d'amour sous ce tout premier baiser. Mattéo vient de partir. Je me rhabille en vitesse et vérifie une dernière fois qu'il n'y a plus de traces de sperme sur le carrelage et que tout est bien rangé. Nous nous sommes longtemps frottés l'un à l'autre, les bouches soudées, debout appuyés au poteau. Nous avons flirté comme lors d'une première rencontre, comme si nous n'avions pas commencé parce qui est habituellement le sommet d'une relation. On s'est frotté, embrassé et caressé puis je me suis agenouillé et je l'ai fait jouir dans ma bouche puis j'ai éjaculé sur sa joue. J'ai maintenant deux doses de son sperme dans le ventre et dans l'estomac, j'ai l'impression de les sentir rayonner comme des diamants précieux. On doit se voir demain et bien sûr vendredi prochain. Je suis heureux.
Mon frère ne va plus tarder, il est plus que temps que j'enveloppe Enzo dans sa serviette et le pousse au fond de sa cachette. — Eh, fais pas la gueule mon Enzo adoré, je te plaque pas ! Repose toi bien, je te promets que bientôt on fera une touze à trois, Mattéo a envie de t'essayer… le site des récits de Fançois T http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Fran%C3%A7ois_T.
Lun 26 mai 2014
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