Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

 

 

Dis-nous tout Pinocchio

Pinocchio

mais ne mens pas s'il te plaît  !

 

 

 

Salut je me présente: je suis le pénis de Michel, j'ai 14 ans, comme lui, assez bien formé pour mon âge tant en largeur qu'en grosseur et ces temps-ci, je suis super actif; je vous explique. Tout ça a commencé hier soir dans notre lit. J’ai fraternisé avec la famille: un pénis plus gros que moi qui se nomme Raymond. Je l’ai reconnu tout de suite, on dort ensemble, mais ce soir je sais pas pourquoi, on s’est collé ensemble et on a joué à la cachette. Je suis devenu d’une rigidité encore insoupçonnée et tellement heureux de jouer avec un plus grand que moi que j’ai perdu la tête et tout mon être s’est enflammé. C’est ce qui a provoqué un gros tremblement de couilles et une éruption sur le ventre du grand frère et lui sur le mien. Gay Drops boys / bums / cocks SNAPCHAT = GAYDROPS KIK = GAYDROPS 

Après plusieurs tentatives pour m’endormir, rien à faire, j’étais dans une forme splendide et aussi fringuant qu’au début et grâce à l’aide d’une main experte qui m'a secoué des couilles à la tête, j’ai pu exprimer ma joie de vivre encore une fois.

Au matin, je me suis réveillé tout raide. J’étais dans un endroit chaud et humide et il faisait noir. C’était nouveau et sensationnel, deux lèvres chaudes me siphonnaient de la base à la tête. Je fus pris de violentes secousses et j’ai tout lâché dans cette bouche si accueillante. J’étais infatigable, toujours au garde-à-vous. Je recherchais tout le temps les caresses de Michel, ou encore mieux celles des autres, j’avais toujours la tête remplie d’idées les plus folles les unes que les autres.

Un soir, Michel regardait un film cochon à la télé. Je donnais des coups sur la fermeture-éclair de Michel, je voulais sortir à tout prix. J’étais dans un état terrible, il essayait de me calmer par des attouchements sur son jeans mais rien à faire, j’étais de plus en plus dur et énervé. Je frisais la folie quand enfin on m'a sorti de là. Surprise : Il y avait un autre pénis à côté de moi et quel pénis! Il était grand et fort large d’épaules avec une grosse tête. Il me faisait presque peur mais à Michel, non. Il avait sa main sur lui et il le caressait, il allait et venait sur lui et sur moi en même temps. J’étais tellement bien dans cette grosse main, je me tortillais de plaisir. J’allais exploser quand on m'a remis dans cet endroit chaud et humide et j'ai éclaté dans cette bouche et l’autre pénis dans la main de Michel. J’ai perdu de la vigueur et je suis retourné dans ma cachette et Michel a dit: "Merci papa."

Les années ont passé très vite, on s’amusait avec moi presque tous les jours et souvent le soir dans le grand lit. Parfois on était trois pénis à jouer ensemble, c’est ainsi que ma vie de pénis s’est écoulée jusqu’à mes 18 ans. Avec le temps, Michel est devenu plus sage et plus sélectif dans ses rencontres, j’avais grandi beaucoup et j’en imposais à plusieurs, j’étais fier de mes neuf pouces et j’étais d’une grande endurance à l’ouvrage. Je me promenais partout, surtout dans les endroits de perdition, mes places préférées. Michel me sortait et je faisais connaissance avec les autres pénis aussi gros que moi: on se collait ensemble, on se donnait des baisers. Ça finissait toujours par des caresses d’une main amicale ou d’une bouche brûlante. Ah que je suis content d’être un pénis grand et fort, que la vie est belle !

Aujourd’hui Michel a mis son petit slip bleu pâle, mon préféré.

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 Je suis bien dedans, au chaud. J’aime la couleur, elle va bien avec mon teint. La soirée va être collante, c’est samedi soir et je sais où on s’en va. Je suis tout excité à l’avance et je mouille déjà. Je sens des mains qui me caressent par-dessus et ce n’est pas pour me calmer, au contraire ! Je deviens dur comme du fer et je commence à être à l’étroit à l’intérieur.

Bon enfin, je suis à l’air libre. J’aime cet endroit, c’est plein de chums un peu partout dans les chambrettes ou dans le sauna, là il fait chaud et je peux m’étirer autant que je veux et je rencontre toutes sortes de copains et ça finit toujours que je ne sais plus où me mettre et avec qui je suis, mais je suis sûr d’une chose: je vais avoir du fun plusieurs fois dans la nuit.

On rentre chez nous, épuisés, on se couche dans notre lit et je me retrouve nez à nez avec le pénis de Raymond, celui qui est resté mon préféré. Je me colle sur lui amoureusement, je l’embrasse et il est toujours content de me voir. C’est mon frère de sang et je suis devenu presque aussi grand que lui maintenant. Je ne sais pas pourquoi mais à son contact, toute ma vigueur revient. Je m’installe entre ses belles cuisses chaudes juste en dessous des couilles, c’est un de mes endroits préférés et Raymond le sait mais pour ce soir, il a une autre idée en tête. Il se tourne et m’offre ses deux magnifique fesses. Michel est fou de joie, il désire cela depuis très longtemps. Enfin il va faire vraiment l’amour à Raymond!

Il m’installe entre ses deux merveilles qui sont douces comme de la soie, je me fraie un chemin doucement, lentement, pour faire durer le plaisir. Je suis tout énervé, j’entre en donnant des petits coups, la chaleur est intense, j’ai la tête en feu, je suis aspiré jusqu’au fond. Comme je suis bien! Je ne veux plus sortir d’ici, c’est le bonheur total. Plus je bouge et plus j’ai du fun. Je vais tout simplement exploser, je suis devenu infatigable et je perds le contrôle. Je sors de ses fesses pour mieux rentrer de nouveau à toute vitesse, j’ai fait ça plusieurs fois de suite et j’ai fini par exploser et déposer ma semence au plus profond de son joli cul.

Quand je suis sorti de là, j’était pas beau à voir, je vous le dis! Mais ça valait le coup et surprise, je me suis retrouvé enfoui dans les draps. J’ai compris pourquoi, Michel s’est retourné de bord lui aussi et a offert à Raymond son trésor qui n'a encore jamais servi. Il lui réservait cette surprise pour fêter ses 30 ans et je peux vous dire une chose: le pénis de Raymond s’est donné toute une nuit d’amour et c’est la première fois que j’entendais un pénis crier autant sa joie.

Avec les années, je suis devenu encore plus sage et je suis resté amoureux d’un seul pénis et tous les soirs, on se retrouve collés l’un sur l’autre.

Ah, je t'y prends !

 

 

 

Jeu 15 mai 2014 Aucun commentaire