Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

PROSTITUES DE MON C..OEUR

 

   

Lorsque je me masturbe (ce qui arrive souvent en plus de ma vie sexuelle "normale"), j'ai pratiquement toujours le même fantasme : je m’imagine pensionnaire dans un bordel.

une des chambres de l'étage...il y a juste le nécessaire

 

C'est une maison close à l'ancienne où des messieurs aisés viennent chercher un plaisir facile. Je suis en compagnie d'autres mecs, putains comme moi, fringués moulants pour mettre en valeur nos corps parfaits. Nous sommes allongés sur des divans profonds, alanguis, nous touchant du bout des doigts, échangeant quelques baisers. Ce petit show érotique est autant destiné à nous mettre en forme qu'à allumer les clients potentiels. Nous savons qu'ils nous regardent, qu'ils nous jugent, cherchant à savoir qui est le plus mignon, qui a le plus de tempérament, bref, qui est la meilleure salope. Bien entendu, c'est souvent moi l'élu. J'aime qu’un homme me fasse signe du doigt pour que je monte avec lui dans une des chambres de l'étage. Je passe devant lui pour grimper l'escalier. S'il est audacieux, il n'hésite pas à me palper le cul, voire à dessiner ma raie avec son index plié. Cette simple palpation anale suffit à m'embraser. Car si je rêve de tapiner, c'est pour prendre mon plaisir en baisant, pas pour le fric. J'aime cependant imaginer le moment où mon client me donne mes billets. Je me livre toujours au même cérémonial, je caresse les couilles de mon client avec, puis je les passe sur les miennes avant de les glisser dans la poche de mon pantalon moulant.'d'une voix la plus suave et chuintante possible  je lui dis  :" Vienhhh quehh je te lavehh la biteuhh"

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Pendant que le monsieur se dénude, je sors mon savon pour lui laver la bite. C'est un moment très excitant, surtout s'il n'est pas encore en érection. Je n'aime pas les mecs qui bandent trop vite, j'ai l'impression de n'être pour rien dans leur érection. Non, je veux juste découvrir leur membre et le faire durcir avec ma bouche chaude. J'aime avaler une queue propre qui sent le savon. Je la fais coulisser lentement entre mes lèvres serrées tandis que ma langue frétille sur le bout. Lorsqu'elle prend du volume, j'accélère le mouvement de va-et-vient de mon visage. Du coin de l’œil, je surveille la montée du désir de mon client, car je suis une putain consciencieuse et j'aime le travail bien fait. Lorsqu'il a la pine bien raide, je recrache voluptueusement son engin en m'arrangeant pour sortir une capote. J'ôte le sachet de protection et je retire le préservatif roulé sur lui-même. Je me le mets dans la bouche comme si c'était un bonbon. Bien sûr je ne l'avale pas, mais je le coince entre ma langue et mon palais. Puis je reprends la queue de mon client pour le pomper à nouveau, sauf que cette fois, la capote vient se placer toute seule sur son gland. Ensuite le mouvement glissant de mes lèvres fait le reste et la capote se déroule pour se mettre en place sur sa tige. Cela demande une certaine habileté née de l'expérience, mais je vous jure que ça vaut le coup. Mes clients sont émerveillés. Ils ont la queue plus raide que jamais. Ils ne pensent plus qu'à m'enfiler.

Alors ils m'enlacent fiévreusement, se collent à ma croupe, me caressant la raie avec leur gland caoutchouteux. Quand leur pine est en place sur ma rondelle, je m'enfile dessus autant qu'ils me la mettent. J'aime faire la moitié du chemin, m'enculer moi-même. Mes clients apprécient, surtout que je les attrape par les couilles, que je me cambre et pousse un long gémissement d'extase à mesure qu'ils m'écartent l'anneau. Quand ils sont solidement plantés en moi, j'ondule des reins. C'est aussi jouissif qu'un mouvement de va-et-vient, mais c'est moins éprouvant pour la bite, ce qui leur évite de partir trop tôt. Parce que bien sûr, un client, ça en veut pour son argent. S'il gicle dans la seconde qui suit l'intromission, il a l'impression de s'être fait baiser (alors que c'est quand même moi qui le suis). Je m'arrange donc pour qu'il dure. C'est surtout pour mon propre plaisir que je le fais.

Petit à petit, mon fourreau s'habitue à la présence de cette grosse bite qui, normalement, n'a pas à être là. Mon rectum s'élargit, mes muqueuses épousent intimement la pine qui m'habite. La petite brûlure du début laisse place à une chaleureuse langueur. Je sais que mon plaisir d'enculé n'est déjà plus très loin. À ce moment, j’incite mon client à me limer. Je lui susurre des phrases amoureuses :

— Baise-moi chéri, ramone-moi, je veux la sentir coulisser.

Pas un n'y résiste, tous me prennent plus solidement par les hanches pour assurer leur prise. Si le client est bien monté et qu'il a le coup de reins fougueux, je pars dans la minute qui suit. S'il a la pine longue et fine et qu'il lime avec lenteur pour bien me faire sentir toute la longueur de son sabre, mon plaisir est plus progressif. Il vient lentement, selon une courbe irrésistiblement ascendante. Lorsque j'explose, c'est encore plus fort, plus délirant. Je suis si violemment jouisseur que mon client m'accompagne toujours dans mon plaisir. Il gicle, remplit sa capote de foutre, se colle à moi pour m'enfiler toute la longueur de son pieu, puis il se retire rapidement car on ne laisse pas sa queue dans le cul d'une pute.

Quand le client a fini de tirer son coup, il est toujours un peu honteux. On n'est jamais fier de s'être envoyé un tapin, même mignon comme moi. Moi je m'en fiche, j'ai eu ce que je voulais : fric et baise. Lorsque mon petit cinéma en arrive à cet épisode, je me gicle dans la main puis je me lèche les doigts.

Hélas tout cela n'est que fantasme et les bordels n'existent plus....(en France !)

 

Fred, 24 ans ( Photo 22-year-old Nathaniel Sherman Columbus, Ohio. )   

 

 

 

 

Le fric et la baise. Je suis content. 

Quand le client a fini de tirer son coup, il est toujours un peu honteux. On n'est jamais fier de s'être envoyé un tapin, même mignon comme moi.

   

 

 

 

 

 

 

Ven 9 mai 2014 Aucun commentaire