Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Aragon Ferrat revus :
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
[...]
Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l’homme ne sait plus ce que c’est qu’être deux
Tu m’as pris par la main comme un amant heureux.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N’est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Il est là dans le rêve, au milieu de ces
nus.
Terre, terre, voici tes rades reconnues.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi, Fabien, que ce balbutiement.
Un peu de jeunesse
Fabien Fabien
Merci mon Claudio, je viens de te repérer sur Google+ on se parle un coup en direct? Ca devrait être énorme...
Sens-tu mes doigts glisser contre ta raie? Re : oui hhhhhhhhhh
Mon Fabien chéri
Re : Cette impudeur qui désormais nous caractérise, et qui, sortis de ce blog et de ce milieu-ci serait très mal tolérée, nous l'assumons fièrement. Merci à tous les silencieux qui nous lisent (726 hier) et ne disent pas un mot pour nous désapprouver. A 10 ans, en internat de lycée climatique, j'étais devenu le "giton" d'un 12 ans prodigieusement en avance sur son âge. Pierre. Cette histoire est folle. Je ne sais si elle a , a eu, aura sa pareille avec d'autres acteurs ??? Inconscients des risques de bannissement nous nous aimions la nuit, nous nous tenions la main le jour. Vertige et insolence de l'amour. Tu me les fais retrouver.
C'est cela que je recommence avec toi, Fabien. Nous nous sommes créé notre Arcadie. Merci d'être ce que tu es.
claudio
Aragon Ferrat revus :
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
[...]
Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l’homme ne sait plus ce que c’est qu’être deux
Tu m’as pris par la main comme un amant heureux.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N’est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Il est là dans le rêve, au milieu de ces nus.
Terre, terre, voici tes rades reconnues.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu’un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi, Fabien, que ce balbutiement.
J'en reste sans voix et l'esprit trop encombré d'idées les plus folles pour placer des mots qui résonneront à ces images.
Je te laisse le soin d'y apporter des commentaires les plus chauds mon amour.
Et pour revenir encore et encore à mon sujet fétiche, la lutte, te voici en très mauvaise posture mon chéri
Ton Fab pour la vie
Re: LA PHOTO CI-DESSOUS ME RAPPELLE LE POSTQUE JE SUIS EN TRAIN DE PREPARER SUR LES PRISONS ET LA TERRIBLE SOLITUDE QUI EN EST LA CONSEQUENCE.
Date: Sat, 3 May 2014 16:37:36 +0200
Subject: LE SENS DU VOYEURISME (les e-mails passés )
From: claudemodou@gmail.com
To: lutteur@hotmail.ch
De gros baisers de ton claudio. Je t'ai répondu et je t'ai inscrit dans Goole+ dans mon cercle de famille. Ce qui est ci-dessous vient de paraître au blog
claudio
Ah, c'est toi ? entre !
Fabien je pense sans cesse à toi.
Balade près de Rustrel en Luberon...ça rappelle un peu Maspalomas, non ?
Stp ne me quitte pas des yeux quand tu me prends... Fabien je t'ai inscrit dans google+ dans mon cercle de famille
Fabien, tu peux rester tu sais...je
n'éprouve que de la fierté en ta présence
Remember Gran Canary sex in the dunas
Ils nous regardent...
ils peuvent entrer, ce que leurs regards enregistre se perpétuera dans leurs âmes et ainsi ne sera jamais oublié