Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Ma nature ? je ne sais pas ce qu'elle aurait été si mes parents n'avaient pas travaillé en Afrique....
Ce matin-là, j’étais endormi profondément lorsque je sentis soudain une main chaude se poser sur mon épaule puis descendre doucement sur mon dos. Lorsqu’elle atteignit le bas de mes reins, elle hésita, puis se glissa dans mon caleçon de nuit. Un doigt commença a suivre la raie de mes fesses et vint rapidement effleurer mon jeune trou. Toujours en demi sommeil, je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait alors même que le doigt tentait de s’introduire dans mon rectum. Il y parvint sans difficulté rejoint aussitôt par un second. Mon anus acceptait cette pénétration et le plaisir inondait mon ventre d’une douce chaleur. Cette fois complétement éveillé, je regardais qui était en train de me doigter avec autant de dextérité mais je fus déçu de constaterque ce n'était pas Alou, mais qu’il s’agissait de Louis :
— Alors Willy ? Toujours aussi chaude du cul même au réveil à ce que je sens !
Il enfonça ses doigts bien profonds me faisant pousser un gémissement que j’essayais d’étouffer dans mon coussin. Le garde du corps s’approcha au plus près de mon oreille pour me murmurer :
— Tes parents sont à coté, et toi, tu te fais doigter le cul par un ivoirien et t’aimes ca !
— Hummm ! ouiiii !
— J’appartiens déjà à un autre homme..
— Oui, c'est Alou, je le sais, ettu veux lui être fidèle ?
— Oui désolé…
— C’est bien Willy, tu es un bon garçon et il a bien de la chance mais tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.
Louis me regarda droit dans les yeux puis me dit :
— J’ai pensé a ton cul toute la nuit, et tu me l'offriras j’en suis sur très bientôt !
Dans cette ambiance il me fallut me mettre à mesdevoirs du lycée. Je ne croisai Louis qu’une fois qui me sourit en portant sa main à son entrejambe. Je ne portais pas attention au geste provocateur de l’agent de sécurité et passai mon chemin. Mes parents décidèrent d’aller faire un tour à la plage l’après-midi : Louis dut donc nous protéger de loin pendant que nous nous détendions dans la mer et je m’amusais d’autant plus qu’il devait bouillir d’envie en me voyant si peu vêtu.
J’en profitais pour regarder rapidement les autres hommes allongés sur le sable ou dans l’eau avec un œil différent, celui du garçon qui a connu le sexe pour la 1ere fois Il y avait 2 jours. Beaucoup étaient grands, certains costauds d’autres fins, des poilus, des imberbes…et de couleur variant du chocolat au lait au presque noir bleuté. Mon regard avait tendance à se porter sur les entrejambes de ces messieurs qui pour la plupart semblaient bien pourvus…
Un homme d’une quarantaine d’année, crâne rasé, aussi noir qu’Alou, bien bâti, attirait particulièrement mon attention : son slip de bain présentait une énorme bosse qui m’impressionnait fortement. Le grand black du s’apercevoir de mon trouble car il vint se mettre à l’eau juste à côté de moi et profita que nous étions seuls pour me parler
— Salut petit ! Tu es venu avec tes parents ici ?
— Oui c’est ca, c’est la 1ere fois qu’on vient sur cette plage.
— Oh et ca te plaît ?
— Beaucoup, la mer est chaude c’est agréable.
— Y a d’autres choses qui sont chaudes et agréables…
Il se positionna dos à la plage et baissa le devant de son maillot de bain exhibant ainsi un sexe gros, poilu, très veiné et circoncis. Personne ne pouvait le voir mis à part moi, et il passa sa main tranquillement dessus, se caressant pour faire bander son membre viril. Il atteignit rapidement la taille d’environ 21-22cm de longueur mais aussi épais qu’une canette de 25cl de coca, un vrai gourdin ! J’avais les yeux qui ne pouvaient plus se détacher de cette vision, et l’ivoirien continua sa masturbation sous l’eau pour éviter d’être surpris tout en me regardant d’un air vicieux. Le quadragénaire accéléra son mouvement et dans un grognement se colla à ma cuisse pour expulser plusieurs jets chauds de sperme dans ma direction. Personne n’avait rien vu et il remit son maillot comme si rien n’avait eu lieu.
— Moi c’est Boubacar, désolé j’étais excité par ton regard… tu as aimé ?
— Oui… c’était bizarre, je m’appelle Willy.
— J’ai toujours voulu essayer de faire l’amour avec un jeune garçon blanc, tu dois me prendre pour un pervers mais quand j’ai vu que tu regardais mon paquet…j’ai cru que tu en voulais.
— Je voulais voir oui… j’avoue
— Oh Willy ! Tu me rassures…essaye de venir seul la prochaine fois, je suis la tous les dimanches et je te promets de bien te faire l’amour ok ? Tu l'as déjà fait ? Excuse-moi, tu as déjà dû constater qu'ici au Sénégal quand on veut une fille ou un garçon on est directs.
— .....
— Je vois... tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.
— … je ne dis pas non, on verra.
— Allez je te laisse mais réfléchis bien, je sais bien faire l’amour aux femmes, je ferai pareil avec toi. Tu sais ou me trouver.. à bientôt j’espère.
Drôle d’expérience qui me fit comprendre que j’attirais comme un aimant les hommes africains et qu’il fallait faire attention car le moindre regard ou geste pouvait déclencher chez eux une pulsion sexuelle animale.
Mes parents me firent signe de revenir car il fallait rentrer à la maison, et en sortant de l’eau je passais à coté de Boubacar qui me sourit en se tâtant le paquet vulgairement ( décidément ils ont tous la même attitude me dis-je intérieurement ).
Dimanche la matinée fut consacrée à mes devoirs scolaires dans ma chambre sans interruption. Une fois terminés, je demandai à ma mère s’il était possible d’aller à la plage après le repas. Elle m’accorda sa permission mais que cette fois j’irais seul avec Lucien comme accompagnateur, le garde du corps du dimanche.Arrivant à la plage, il me proposa de m’accorder 2h seul car il ne voulait pas me « gêner » pour draguer les jolies filles. Je le remerciai de cette attention et lui promis de revenir dans le temps donné.
Assis face à la mer je ne vis pas l’individu qui s’approchait de moi
— Alors petit Willy t’es venu seul cette fois ?
— Oh Boubacar… je t’avais pas vu…dis-je en sursautant
— Excussez-moi ! ... Il s’assit à côté de moi comme si de rien était, puis en plongeant ses yeux au fond des miens :
— Si tu es là seul c’est que tu as réfléchi à ce que je t’ai di non ?
— Pas vraiment non..
— Oh si, et je vais te faire l’amour si bien que tu reviendras encore et encore !
Sa main se posa sur le haut de ma cuisse, puis remonta doucement vers mon maillot de bain. Le grand black regardait de droite à gauche pour voir si quelqu’un se rendait compte de la situation tout en glissant 2 doigts sous le tissu qui se tendait de plus en plus. Difficile de dire non, lorsque son corps hurle un oui…… surtout qu’avec les caresses j’avais une vue imprenable sur l’entrejambe de l’ivoirien qui lui aussi prenait des formes imposantes. Voyant que je ne cherchais pas à fuir, Boubacar continua son exploration dans mon maillot de bain, tâtant de ses doigts épais mon sexe, puis mes couilles lisses.
— Huuum t’es doux comme un agneau…tu as quel âge dis moi petit Willy ?
— Juste 16 ans..
— Et tu n’as aucun poil nulle part ?
— Pas de poil c’est gênant je trouve.
— Au contraire, ca me plait beaucoup et j’ai hâte de pouvoir regarder. Tu vois la cabane la bas à 400 mètres ?
— Oui
— Et bien tu vas m’y rejoindre dans 5 minutes ok ?
— Mais je….
— Y a pas de mais ! Tu es venu seul, c’est que tu avais envie de te faire faire l’amour par moi ! Tu m’as chauffé maintenant faut assumer petit Willy !!
Le ton était autoritaire, sans être menaçant et son regard dur en aurait effrayé plus d'un. Intérieurement je m'étonnais à la fois de ma docilité et de ma témérité à continuer avec un homme comme lui. Sans la présence de mon garde du corps j'étais conscient de braver des dangers bien réels. Il se leva, fier et se dirigea vers sa serviette, en faisant rouler tous ses muscles. Il remballa tranquillement ses affaires et se dirigea vers le lieu indiqué sans que personne ne se doute qu'il m'avait subjugué pendant les 3 minutes ou il m’avait parlé et caressé.
Dans la cabane de pêcheurs, l’odeur était difficile à supporter, mélange de poissons pourris et de saletés en tout genre. Pas un endroit pour faire l’amour mais pour niquer pensai-je alors. Un claquement sec me fit sortir de mes pensées et soudain je vis que Boubacar avait verrouillé le lieu avec un taquet.
— J’étais sûr que tu viendrais ! Tu vas pas regretter crois moi !
Je remarquais qu’en prononçant ces paroles il avait déjà enlevé son t-shirt, me permettant de regarder en détail son torse viril, pectoraux gonflés sans poil et abdominaux bien dessinés. Du nombril partait une ligne de poils drus qui formait un losange que je savais bien fournis mais encore couvert par son maillot. Son physique était proche de celui d’Alou, mon initiateur. Dans les plus de 100 kilos mais les cicatrices en moins ce qui devait lui permettre d’avoir toutes les femmes qu’il voulait sans difficulté. Il approcha de moi et me saisit d’un geste ferme par la nuque, puis colla ses lèvres sur les miennes, sa langue s’infiltrant aussitôt dans ma bouche caressant la mienne et jouant avec.
Ses mains pendant ce temps glissèrent dans mon dos puis sur mes fesses passant sous l’élastique de mon slip de bain pour les palper sans retenue. J’étouffais a moitié cherchant ma respiration pendant qu’il m’aspirait la bouche et j’essayais de me décoller de lui mais au lieu de relâcher son étreinte, il ressorti ses mains pour m’enserrer la taille me prenant au piège. Je me rendis compte à cet instant précis que j’avais fait une belle erreur en entrant dans ce lieu et que maintenant mon sort était lié au bon vouloir de cet homme. J’avais donc intérêt à montrer que je le voulais et lui obéir.
Sentant que ma résistance diminuait, l’ivoirien reprit ses explorations dans mon slip et pour faciliter sa tache il défit d’un geste le lacet du maillot qui m’enserrait la taille. Il était assez brutal et me pinçait les fessiers plus qu’il ne me les caressait mais mon sexe bizarrement, lui, coulait d’excitation. Au bout de 2 minutes il baissa le bout de tissu couvrant mon intimité, libérant ainsi ma verge qui vint frapper mon bas ventre. Boubacar me demanda alors de me mettre au centre de la pièce pour pouvoir m’admirer et j’obéis docilement.
— Wow Willy, tu as un très joli sexe pour un petit blanc ! Et ton cul, huuum, je vais le manger comme un beau fruit juteux! Mais avant ca…
Le grand black tira sur son maillot de bain qui tomba par terre me permettant de voir l’objet qui m’avait poussé à entrer dans la cabane. Le long serpent noir et circoncis était toujours aussi épais et impressionnant. La mouille qu’il avait l’air de produire de manière abondante coulait déjà à terre et naturellement je me mis à genoux devant pour y goûter. Il laissa donc perler le liquide sur mes lèvres tout en caressant mes cheveux.
Puis il présenta son gland en forme de champignon devant ma bouche et je l’avalai goulument.
La forme de champignon est un réel avantage pour les partenaires je n'ai pu que le constater...Pour l'heure, je dus bien écarter les mâchoires, au vu du gourdin qu’il poussa au plus profond de ma gorge. Le goût était puissant mais loin d’être désagréable et je tétais l’énorme membre rythmé par les coups de reins de l’africain. J'en avais plein la bouche bien sûr et ma langue cherchait tout le temps à parcourir l'énorme et exceptionnel sillon sous la couronne de son gland. Ma salive coulait sur ses couilles et ses cuisses, j’arrivais à peine à reprendre ma respiration à chaque fois qu’il retirait sa queue pour la renfoncer ensuite dans ma gorge. J'imaginais sans peine l'effet de piston de pompe à bicyclette qu'un tel engin devait faire dans un cul. D’un coup il arrêta et me fit relever.
Boubacar s’agenouilla et commença à me lécher le ventre puis le bas ventre ce qui me fit frissonner de plaisir. La langue agile continua son parcours vers mon sexe mais l’évita au dernier moment pour aller se poser sur mes couilles et les caresser. Aux anges, mon gland lâchait un flot de mouille continue qui tombait sur le crane du quadragénaire. J’avais pour la 1ere fois un homme qui s’occupait de mon sexe et j’espérais secrètement qu’il irait plus loin et me sucerait. Mais au lieu de cela, de peur de me faire jouir prématurément, il me retourna et je dus me pencher en avant à demi allongé sur la table de fortune lui présentant ainsi mes fesses qu’il écarta pour découvrir mon anus imberbe. Aussitôt sa langue explora mon jeune trou encouragée par mes gémissements. Pétrissant mes fesses assez fortement, l’action de sa bouche sur l’entrée de mon fondement commença à porter ses fruits, sa puissante et ferme langue me dilatant doucement.
D’un coup je sentis 2 doigts s’enfoncer directement me faisant pousser un petit cri de douleur et de surprise. Fouillant mon rectum, Boubacar continua à utiliser sa langue en faisant des allers retours à l’aide de ses gros doigts. Complètement ouvert à cet homme, je n’arrivais pas à me retenir de gémir et ce dernier devait intérieurement se dire qu’il m’avait totalement soumis à sa puissance. Il m’allongea sur le dos et debout devant moi entre mes cuisses me dit
— Maintenant tu vas enfin comprendre ce que c’est un homme !
Son sexe gros comme un boudin, trempé, était effrayant et lorsqu’il le saisit pour coller le gland à l’entrée de mon ventre je me dis que j’allais souffrir. En un seul coup de rein il me déchira, se plantant jusqu’aux couilles en 3 secondes m’arrachant un hurlement qu’il étouffa en mettant sa main devant ma bouche. Brutalement il utilisa toute sa force pour labourer mon jeune trou qui, bien qu’habitué au membre d’Alou souffrait de l’extraordinaire épaisseur du serpent de cet ivoirien. Sortant et entrant complètement , le male africain m’insultait, me traitant de « salope » « pute blanche »…
Loin de me déplaire, j’appréciais cette « baise » regardant cette bête ruisselante de sueur besogner dans mon ventre, pensant à la couronne débordante de son vit qui allait et venait , chair contre chair, faisant monter son plaisir comme le mien. Se retirant de moi après quelques minutes, il me jeta à terre à 4 pattes pour à nouveau se replanter dans mes fesses et continuer dans la poussière de ce lieu à me pistonner. Je couinais tellement fort que j’avais l’impression que la plage entière pouvait entendre ma jouissance. Son souffle chaud dans ma nuque et ses grognements complétaient le tableau d’un monstre à 2 dos et 2 têtes. Tapant fort contre ma prostate, mon grand black me déclencha une première éjaculation qui se répandit sur le sol en 4 jets blancs abondants.
Mes contractions anales lui firent comprendre qu’il avait touché au but mais au lieu de ralentir pour me permettre de souffler, son pistonnage augmenta en cadence, me brûlant presque l’anus à cause de sa vitesse. D’un geste brusque il s’écroula sur mon dos m’obligeant à m’allonger dans la terre poussiéreuse, lui écartant mes cuisses au maximum pour continuer à bien lui permettre d’amples mouvements de bassin. La poussière et la terre se collaient à notre peau ruisselante de sueur nous faisant ressembler de plus en plus à 2 animaux en plein coït.
Ses plus de 100 kilos m’écrasaient contre le sol, et il ne cherchait pas à savoir s’il me faisait souffrir. Boubacar ne pensait plus qu’à son plaisir et dans un grognement déversa dans mes entrailles d’adolescent son jus de male africain. M’ayant ainsi fécondé, il resta planté en moi quelques secondes puis se retira lentement. Lorsque le dernier centimètre de son serpent fut sorti, je sentis le trop-plein de sperme s’échapper de mon anus béant, signe que l’ivoirien avait dû bien me remplir. Il se mit debout et présenta son sexe souillé à mes lèvres qui s’ouvrirent pour laisser s’introduire le membre encore bien épais. Je pompais les dernières gouttes de sperme avec avidité, nettoyant du mieux que je pouvais ce sexe en forme de champignon qui m’avait tant fait jouir.
— Alors petit Willy ? Je vois que tu as aimé ma grosse queue hein ?
— …
— Pas de réponse c’est que oui ! Tu as jouis lorsque je te baisais, j’ai bien senti ton anus battre et palpiter, non ?
— Oui c’est vrai…mais je ne crois pas apprécier la brutalité. On aurait autant joui tous les deux si tu avais été plus doux.
— En tout cas, j’ai adoré lâcher ma jute dans ton petit cul de gamin blanc! Un fantasme que j'avais depuis très longtemps et que tu m'as permis de réaliser !
Alors qu’il disait ça, il prit tranquillement sa serviette et s’essuya le corps et le sexe. Puis il s’habilla alors même que je n’avais pas encore bougé. J’étais comme pétrifié, des douleurs dans tous les membres et surtout à l’anus m’empêchant de réagir. Boubacar prit alors sa serviette et commença lui-même à effacer sur moi les traces de nos ébats. Péniblement je remis mon maillot puis mon short alors que l’ivoirien m’attendait à la porte.
— On peut pas sortir ensemble Willy, si jamais y a quelqu’un qui nous voit..
— Oui je comprends
— Mais dimanche prochain, je serais ravi d’à nouveau visiter cette cabane avec toi !
Il sortit en me balançant un dernier sourire de mâle satisfait et j’attendis quelques minutes avant de faire de même et retourner vers la voiture de mon garde du corps. Ce dernier m’attendait déjà depuis 10 minutes et s’inquiétait :
— Willy tu es en retard !
— Désolé j’ai pas vu l’heure..
— Lucien me regarda bizarrement mais démarra le véhicule qui nous reconduisit sans incident à la maison.¤
FRESQUE : :
Embout de ramonage :
Parfait en tous points :
La forme de champignon est un réel avantage pour les partenaires je n'ai pu que le constater...Pour l'heure, je dus bien écarter les mâchoires, ...
. un vrai p'tit PD de côte d'Ivoire ...affame de bites de toutes couleurs/ j'vous dis pas la suite.... -lol- depuis les
gros glands, moi ça me fait flasher...
ORRRME !
Le champignon
Ce type de pénis possède un embout très développé de la forme d’un champignon de Paris ou d'ailleurs (mais pas forcément de la couleur marron ou blanche ce qui serait au contraire la manifestation d’une maladie vénérienne rare). Très pratique d’une part pour ouvrir l’appétit anal "La grosse tête" : se caractérise par un gland disproportionné par rapport au reste du corps du pénis. Le gland est gigantesque et la couronne le serre, voire l'étrangle, provoquant l'effet beaucoup plus visible de "la grosse tête
une flèche d'amour !