Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

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jeanmarievaudon@tiscali.it

20:14 (Il y a 3 heures) A prostitutionmasculine.

cher Ami

L'autre jour j'étais à l'eros center je regardais un filmX dans la salle et deux mecs sont sortis d'une cabine. Un vieux, un jeune très beau. Visiblement ils étaient trop à l'étroit dans la cabine...et ils cherchaient sans doute un public. On les matait. Ils reprirent leur jeu sur les sièges. C'était du fist. Le vieux fistait le jeune, mal installé, qui était pâmé, renversé sur son siège. Le visage crispé, mais heureux, il était ailleurs, les yeux révulsés. Cela dura un moment. Le vieux enfin sortit son poing de l'anus du jeune, tourna un peu sur lui-même, murmura quelque chose comme "Putain il en veut lui..." et, tournant les talons il prit les escaliers et disparut.

Je m'approchai, le jeune était dans les vaps', bien réellement shooté par le fist. Il mit du temps à se lever. Je me mis en devoir de le soutenir, ne sachait nt où il voulait aller. Il me dit "laisse, ça va aller" . Je le suivis à la cabine lui portant son jeans et ses affaires. Il s'assit la porte de la cabine ouverte et ses jambes dépassant dans le couloir. Il haletait encore légèrement.

Je lui dis : "Putain, toi ! tu m'as étonné. T'es crevé on dirait, non ? " Il hocha la tête en réponse, continuant, très pâle, à récupérer. J'étais censé être là pour assister sa récup'. En réalité, je voulais savoir des choses sur le fist. Son fist. Son trip.

Il chercha ses cigarettes dans son jeans en boule sur le siège voisin. Il fumait de manière affamée et inspirée. Il était moitié là et moitié dans son trip qui semblait se prolonger. Ca se voyait dans son visage et dans ses yeux encore voilés de plaisir (???). -"c'était bon ?" Hochement éloquent de tête. Je le plaignais et l'admirais, complètement subjugué par la scène. J'avais vu des vidéos, mais c'est pas comme le vrai réel. Il me dit : - "tu comprendrais pas." -"Si ! Pourquoi non ? " Ca y était. Il réussit à me fixer dans les yeux. Il était sorti de son rêve. Il se rhabilla rapidement et prit les escaliers à son tour sans me dire ni au-revoir ni merci. Brusquement je ressentis que, si j'avais été un voyeur privilégié, allant regarder la main dans le cul en gros plan, aussi j'avais été indiscret. Mais bon, je regrettais pas. Je crois que jamais je ne franchirais le pas.

Ou alors il faudrait que ce soit moi aussi avec un initiateur qui sache me persuader, me donner envie.

Claudio, merci pour ton site, ce que j'y lis me plaît. C'est un peu pareil que ce jour-là : le suis voyeur, je vis très fort, émotivement, les récits et tout ce que tu publies sans toutefois arriver aussi loin.

Bonne suite, j'attends tes posts avec avidité. @+

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Oh, salut Jean-Marie ! Merci ! Ce que tu racontes, pris sur le vif, vaut tous les récits érotiques.

Là j'avais dans mes archives la confession d'un jeune homme initié au fist en quelques jours avec

un guide plein d'expérience et de savoir-faire (encore un mec mûr).

 

" — Tu as l’air en forme petit, je vois que tu bandes.

— c’est le plug.

— Ah, montre ça.

Il se rapprocha du divan et prit la pompe sur laquelle il appuya un bon coup, sans que cela ne change rien. Il eut l’air surpris

— Tu as déjà gonflé au maximum ?

— Ouais, je pense (je me sentais rougir.)

— Tu penses ? J’en suis sûr. Tu es incroyablement doué, petit.

Il se retourna et déplia la bâche étrange qu’il tenait sous le bras. Puis il attacha une sorte de sangle à l’un des anneaux fichés dans une poutre que j’avais remarqués la veille, lorsque je calculais pour m'évader. Il attacha des sangles de la sorte à chacun des quatre anneaux. Je constatai que la matière que j’avais prise pour une toile était en réalité du cuir. Jean se retourna vers moi.

— Voilà, leçon du jour : le sling. Je vais t’y installer.

Il se saisit une nouvelle fois de moi et me déposa sur le dos dans le sling, attachant mes chevilles et me poussant à saisir les chaînes derrière moi, me forçant par là à lui présenter mon cul à hauteur de torse. Dans un grognement, il saisit la base du plug.

— Je vais le retirer

— Non, dégonfle-le, ça ne passera jamais !

— Si si, tu vas voir, détends-toi, je vais y aller doucement.

Et il tira doucement. Pendant quelques secondes, je crus que mon cul allait exploser, puis le plug glissa d’un coup, me laissant complètement vide. Jean émit un sifflement.

— Ton cul est super ouvert.

Il m’enfonça deux doigts qui rentrèrent sans difficulté. C’était à peine si je les sentais. Il en ajouta un troisième, puis un quatrième, et bientôt un cinquième. C’était super bon, mais je ne bandais plus.

— Encore, encore, le suppliais-je.

— Plus que mes doigts ? alors, c’est ma main. Tu es sûr que tu veux ?

— Oh oui, c’est bon, trop bon. Prends-moi le cul avec ta main.

Il retira ses cinq doigts, puis saisit une bouteille d’un autre lubrifiant que celui qu’il avait utilisé sur le plug. Celui-ci semblait plus visqueux et plus élastique. Il s’enduisit la main jusque sur l'avant-bras et puis repositionna ses cinq doigts devant mon cul. Il les enfonça doucement et je sentis mon sphincter s’ouvrir grand pour les accueillir. Il me dit de pousser, comme pour rejeter ses doigts et je contractai le cul un maximum. Lorsque je relâchai, sa main avança un peu en moi et les articulations de la base de ses doigts glissèrent dans mon cul. Je sentis une petite douleur dans le pourtour de mon cul hyper-dilaté. Mais il maintint la pression et, progressant millimètre par millimètre, il arriva à la base du pouce. Je n’en pouvais plus, c’était trop gros. Il me dit de recommencer à pousser, ce que je fis de toutes mes forces, persuadé qu’il ne passerait pas plus loin… Mais, alors que je relâchais à l’issue de l’effort, il enfonça toute sa main jusqu’au poignet dans mon cul. Je n’y croyais pas vraiment : j’avais une main dans mon cul, l’énorme main de Jean ! Cette pensée et la sensation incroyable dans mon cul provoquèrent une vague de plaisir qui parcourut tout mon corps. De ses doigts habiles il me caressait l'intérieur. J'y voyais trouble. J'étais à lui encore plus que quand il m'enculait de sa grosse bite et, quelques minutes plus tard, par des convulsions hyper jouissives, j’expulsais une quantité que je jugeai hallucinante de sperme.

Jean retira lentement sa main et je me sentis complètement vide. J'aurais eu besoin de tendresse mais Jean se saisit de moi, me libérant du sling pour me laisser tomber lourdement sur le sofa. Il me regarda et m'offrit un énorme sourire. Il rayonnait.

— Tu es très doué. Ca t'a plu ?

— Oui, mais je croyais pas y arriver.

— Tout est dans la tête tu sais. Voilà ! tu deviens une lope, avec une vraie chatte de mec bien souple.

Je rougis à cette phrase. Oui, je devenais accroc à mon cul, ce cul qui était toujours béant et que je n’arrivais plus à refermer sur l’instant, cette énorme cavité qui venait de se prendre la main de Jean."

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Voilà. J'apprécie comme toi. J'ai jamais fait non plus. J'espère que tu as aimé.

Amitiés @+

J'ai trouvé ça comme photo de fist :

everythingyoucanputin: http://everythingyoucanputin.tumblr.com/

"le regard voilé...il est ailleurs"

bottomfagwhore: My wrecked cunt

"une vraie chatte de mec bien souple"

 

 

 

Lun 28 avr 2014 Aucun commentaire