Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Subjugué et en plein rêve avant même que je le touche...
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trois coups de reins de psychopathe
LE VERLAN POUR PD c'est ...
J’avais envie de passer une soirée pèpère en me louant un bon dvd pour squatter tranquille chez oim. Je descends au vidéo club pour choper un bon film d’action avec un super héros qui niquent tout le monde. C’est pas très original mais y’a que les amerlocs pour faire des films où t’as pas le temps de souffler et surtout pas le temps de réfléchir !
J’arrive devant le distributeur automatique de ma rue et j’aperçois un p’tit keumé pas mal du tout. De dos, je fixe son petit boule bien moulé dans
un jean déchiré au cul et je jette un œil par dessus son épaule. Le keumé est en train de faire défiler des films de boules et mate très concentré les jaquettes qui défilent.
Avec un fute pareil, j’aurais dû m’en douter, c’est un dèp qui commence à se chauffer sur les couvs mettant en valeur des gigolos américains
surmusclés avec des teubs de cheval des grandes plaines ! Je crois que je vais laisser tomber Jean Claude Vandhame pour ce soir et que je vais montrer à cette petite chaudasse qu’un bon rebeu
vaut quatre acteurs X américains professionnels ! J’attaque direct :
« Wesh man, c’est och ce que tu mates là. Si tu kiffes les grosses teubs, ramène moi chez oit tu vas pas être déçu ! »
Le petit céfran se retourne en sursautant et peut pas s’empêcher de jeter instinctivement un regard vers ma braguette. Le zob bien moulé dans mon
jean, je me palpe la teub vite fait en lui lançant un sourire vicelard. Il sort un dvd de cul et me propose de le suivre. En deux deux on se retrouve dans son appart.
En montant les escaliers, il tortille du boule comme une chienne en chaleur et je comprends vite que je vais passer un bon kiffe à m’occuper de son
boule devant le film qu’il vient de pécho. Arrivé chez lui, il balance le dvd et je me pose sur le canapé en me palpant le zboub à travers le jean . Sur l’écran, un latino se fait sucer par un
petit blanc et la bosse dans mon caleçon commence à être impressionnante. Le céfran me mate discrétos et ose pas faire le premier pas. Cash, j’ouvre ma braguette et je fais jaillir mon zeub bien
raide et lui fait signe en un clin d’œil de se la jouer comme dans le film.
A genoux devant oim, le pd suce comme une reine. Il joue avec sa langue sur mon gland circoncis, lèche ma teub de haut en bas en me malaxant les
couilles. Il a du en voir passer des kilomètres de bite dans sa bouche pour pomper aussi bien. Même les pires tepus du Bois de Boulogne font pas mieux et là, c’est gratos.
Ca commence à chauffer grave aussi sur l’écran et le latino déchire son partenaire en levrette. Tant qu’à jouer les imitateurs, autant aller
jusqu’au bout. Le céfran me ramène une capote et se doigte avec du gel pendant que je déroule le latex sur mon zbouby en folie. Une fois qu’il est en position, je vais lui déchirer la rondelle
sans pitié et en trois coups de reins de psychopate, je lui défonce son petit cul de taspé. Il gueule comme une vraie lopsa et se crie se mélange aux râles rauques du latino du dvd, on a
l’impression d’être dans une touze ou tout le monde nique avec tout le monde.
Mon regard se ballade entre les scènes de l’écran qui me chauffe un max et la vue de mon zeub qui s’engouffre dans le cul serré et lisse de ma tepu
vidéophile. Le latino se met à claquer le boule de son keumé et je fais de même : le céfran monte au septième ciel et rugit de plaisir à chaque claque sur le cul qui rythme les coups de butoirs
que je lui donne sans pitié. Soudain, le latino sort sa grosse teub et balance son jus sur le cul de son partenaire. J’ai les couilles en ébullition et j’ai à peine le temps de virer la capote
qu’en trois coups de poignets, je décharge moi aussi de longs jets crémeux de foutre sur son petit cul blanc. La lopsa jouit comme un ouf en se branlant sa petite teub et crache sur le parquet en
remuant son cul comme une chatte en chaleur.
Je trace vers la salle de bain pour me rincer la teub et quand je reviens, je retrouve le keumé sur le canapé les pattes en l’air. Sur l’écran, un
kebla surmembré est en train de déchirer un passif dans la même position. Le céfran me lance un regard de chienne, apparemment il en voudrait bien encore un peu.
« Sorry man, tu m’as pris pour un khalouch ou quoi ! Finis toi avec un gode ! » et je me barre aussi sec en claquant la porte. Il a beau être
accueillant, j’allais quand même pas refaire tout le film avec le dèp