Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour... Jean Baptiste Clément Le Temps des Cerises
rOd
02:14 (Il y a 24 minutes) à moi claudemodou Ciao amico ! i tuoi articoli mi vanno sempre diritto al cuore...quando non sono più bassi...lol complimenti! Ho letto questa storia in un blog e ne ho avuto delle lacrime. ciò pone dei problemi di ordine juridisque, familiare e sociale. Quando è in diritto un giovano di porre le sue scelte di vita? Così Mozart non aveva avuto un tale padre, avrebbe estate musicista? E quando si ha del genitori "buco del sedere" avrà si un vita "buco del sedere"?che cosa ne dici? grossi baci @+ ecco il legame della pagina : http://gai-eros.org/w/index.php/Yan_et_Yvan_(18)_-_Le_verdict_maternel ecco il legame della storia (inizio) : http://gai-eros.org/w/index.php/Yan_et_Yvan_(01)_-_Amicale_franchise (Yan, 17 ans) Fake google images 18ans : le passage. De l'autre côté du "col" une liberté ? Combien d'hommes, même vieux, n'ont jamais voulu s'engager... Peur de souffrir, de faire souffrir. Yan, dans cette histoire, est un pur. Il fonce. Sa mère est intelligente et bonne. Son amant honnête. Mais qui est à l'abri de la passion...? Voici l'extrait dont tu parles Vincenzo. Merci encore!
La mère : - Ce qu'il vit avec toi en ce moment l'empêche de vivre beaucoup trop de choses. Si tu l'aimes vraiment, rends-lui sa liberté.
Yvan : — Oui, dis-je faiblement.
— Je compte sur toi pour qu'il reprenne le cours normal de sa vie adolescente. C'est quelqu'un de très fidèle, de très passionné et affectif et j'ai bien conscience que ce ne sera pas facile, mais je te le demande, pour son bien et au nom de notre amitié, fais ce qu'il faut pour qu'il se détache de toi.
Tout s'écroule. Tout ce bonheur à deux à venir est d'un coup déchiré, repris, désagrégé. Ma voix n'est plus qu'un murmure.
— Je n'aurai jamais la force.
— Avec tout ce que nous venons de nous dire, je ne pense pas que tu puisses t'arranger avec ta conscience et continuer comme si de rien n'était. Tu le feras car tu sais, toi aussi, que c'est la meilleure chose à faire. Quant à cette conversation que nous venons d'avoir, évidemment, tu ne lui en diras pas un mot. Sauf, si tu veux qu'il se mette à me haïr cordialement.
— Très bien.
— Promets-le moi.
— Je te le promets.
— Ne sois pas si triste. Vous vous en remettrez. Vous passerez à autre chose.
Je garde mon regard accroché à cette clé pâtinée par l'usure du temps que je tourne et retourne machinalement entre mes doigts.
— Un jour, il m'a supplié qu'on s'enfuie tous les deux, loin, sans rien dire à personne. Je lui ai répondu non, évidemment, que je n'étais pas assez fou pour faire ce genre de chose. Alors, tu sais ce qu'il m'a dit ? Il m'a dit : c'est déjà bien que tu sois assez fou pour sortir avec moi.
Elle sourit faiblement, comme un peu gênée par cette soudaine confidence.
— Et bien disons que vous êtes inconscients et fous tous les deux, lui parce qu'il est très jeune et toi parce que tu es ainsi, et que moi, je viens vous rendre à la raison… Mon devoir de mère m'impose cela. Je suis désolée. J'espère que tu me pardonneras.
— Demande-toi plutôt si ton fils te pardonnera quand tout sera gâché et que, plus tard, il apprendra.
— Ça, c'est mon affaire et je prends le risque.
Sauter le pas, à deux ? Pour Yvan devenir un paria. Pour Yan devenir un garçon traqué par les siens ? Oseront-ils ? Un récit bien foutu... Salut Vincenzo Merci ! Si tu médites comme moi en cet instant clique sur la vidéo et le fond sonore t'aidera. N'hésitez pas à poster au blog ce que ous aimez claudemodou@gmail.com