Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui, chez-lui, trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne. Ce genre d' hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.
Élancé, bien bâti, des cheveux bruns courts et frisés, des yeux bleu clair et un sourire aguichant, je me trouvais aussi irrésistible qu’on peut l’être à 19 ans. Je ne ratais pas une occasion de lever des beaux mâles et de m’envoyer en l’air avec eux pour goûter pleinement toutes les voluptés que deux gars culturel (!) en chaleur savent se donner l’un à l’autre. La plupart des mecs que j’ai baisés étaient aussi sexys que remarquables baiseurs et j’ai passé de nombreuses nuits à me tortiller de plaisir, nu comme un ver, coincé entre les cuisses et les bras d’un mec superbe qui me fourrait le cul de sa pine vigoureuse en m’embrassant à m’étouffer.
Assoiffé, je descends au bar pour me rafraîchir d’une de ces délicieuses bières allemandes. J’ai revêtu mon jean le plus usé et le plus serré directement sur la peau pour bien laisser voir le galbe de mes fesses, et après avoir hésité à savoir si j’allais mettre ma queue le long de ma cuisse gauche ou de la droite — ce qui est très excitant pour ceux qui vous lorgnent les cuisses mais embarrassant pour marcher quand on bande — j’optai finalement pour la dresser contre mon bas-ventre ce qui me fait un renflement intéressant sur le devant. J'ai passé une chemise légère à manches courtes pour qu’on voie bien mes bras musclés et l'ai laissée largement échancrée sur le devant pour qu’un regard intéressé puisse plonger jusque entre mes pectoraux lisses et bien dessinés et apprécier la finesse de pêche et la coloration dorée de ma peau. Je voulais être sûr de mon effet et n'ai rien laissé au hasard.
Je n’avais pas l’intention de me rendre dans un bar gai, trop facile, car je savais d’expérience que ce n’est pas là qu’on rencontre les gars les plus intéressants. En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne. Rien de plus délicieux que de baiser avec ces hommes qui brûlent secrètement de désir pour les gars mais n’osent s’affirmer comme homosexuels. Ils s’émerveillent de contempler le corps nu du garçon qu’ils vont baiser. Ils sont fascinés par ses petites fesses dures, ses hanches étroites, la fermeté de sa poitrine, et surtout, ils sont profondément troublés par la verge raide et puissante qui jaillit sans pudeur de son bas-ventre, orgueilleux outil du plaisir.
C’est pour leur fougue que je les apprécie surtout. Ils m’embrassent avec timidité d’abord, puis, une fois "les chiens lâchés", ventousent mes lèvres avec une ardeur et parfois une sorte de rage qui m’excite au plus haut point. Ils aiment me caresser longuement sur tout le corps, ravis de palper la chair et les membres d’un jeune mâle vigoureux qui se donne totalement à eux. Habituellement passionnés, tendres et amoureux, ils sont gourmands de plaisirs et veulent profiter pleinement de l’occasion de tout goûter. Si je me laisse volontiers sucer et enculer, j’adore par dessus tout pénétrer ces hommes, les dominer sexuellement, les faire râler de plaisir, ma longue pine allant et venant dans leur cul ouvert, souvent leur révélant pour la première fois l’indicible volupté anale. Ces hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.
Tout en dégustant ma bière, je me réjouis à l’avance des plaisirs qui ne manqueront pas de survenir lorsqu’un homme, encore jeune (allez, on va dire la trentaine)en complet cravate, pénètre dans le bar. En plein mon type, pas très grand mais bien proportionné, costaud, brun, cheveux courts, moustache drue, il s’avance vers le comptoir pour commander sa bière. Je le fixe de mon regard le plus aguichant. Je nous vois déjà flambants nus, roulant sur un grand lit dans une étreinte passionnée. L’homme me regarde lui aussi. Il vient à côté de moi et commande sa bière. Je lui souris. Un peu d’affolement dans son regard, surtout qu’il a certainement noté le renflement dans mon jean. Il prend sa bière et son verre et va s’asseoir tout au fond du bar.
(J’étais un peu déçu de son apparente indifférence, mais je supposai que ce devait être une manœuvre. Il avait besoin de réfléchir un peu pour savoir s’il devait succomber à la tentation. Je l’observais du coin ce l’oeil et constatai qu’il me regardait fréquemment. Alors je me décidai, et prenant mon verre, allai à sa table. Je lui demandai en anglais si je pouvais m’asseoir. Il devint rouge jusqu’aux oreilles et fit un signe de tête). Je m’assois à ses côtés sur la banquette de façon à pouvoir toucher sa jambe avec la mienne. Il s’étrangle presque avec sa gorgée de bière. De mon côté, je le trouve de plus en plus charmant et j’ai vraiment le désir de me retrouver nu dans ses bras solides et me laisser baiser. Nous échangeons quelques mots. (Originaire de Hambourg, Kurt était en voyage d’affaires depuis quelques jours et devait passer sa dernière nuit dans cet hôtel). Tout en l’écoutant dans son anglais au fort accent germanique, je le dévore des yeux. De son côté, il plonge fréquemment son regard dans l’échancrure de ma chemise. Je frissonne d’excitation en imaginant ses mains sur ma poitrine et sa langue sur mes tétons. Aussitôt mes mamelons se dressent formant des grosses pointes dures. Mon gars commence à frétiller de désir et je place une main entre ses cuisses pour juger de la pression. Il était aussi raide qu’un étalon. Il repousse ma main sans doute parce qu’il ne veut pas qu'on nous remarque. Je lui propose d’aller prendre un verre dans sa chambre. Il se lève aussitôt et me dit le numéro. Sa chambre se trouve sur le même étage que la mienne.
Quelques instants plus tard, je l’y rejoins. J’entre sans frapper. Mon bonhomme est déjà tout nu, étendu sur son lit et il se masturbe d’une main tout en se caressant les seins de l’autre. (Il avait un corps athlétique, sans poils sur la poitrine, mais ses jambes étaient recouvertes d’une fine toison dorée. Dans sa main un beau membre de 6 1/2 environ, gonflé a bloc, frémissait d’impatience.) Je ferme la porte à clé et me place au pied du lit pour me déshabiller pendant qu’il jouit du spectacle. Je lui fais une sorte de strip-tease, enlevant mes vêtements lentement, me tortillant langoureusement, caressant mon corps à mesure que je le découvre. La vue de mes fesses semble lui plaire tout particulièrement.
Puis je grimpe sur le lit et me place à quatre pattes au dessus de lui. Il se met à me caresser les tétons pendant que j’effleure sa queue brandie avec la mienne. Notre excitation est telle que nous sommes tous les deux au bord de l’orgasme. Mon bel Allemand brûle du désir de me posséder. Soudain, il m’agrippe et me colle contre lui. D’un coup de reins, il se retrouve au dessus de moi et m’enserre fortement entre ses cuisses et ses bras. Il colle sa bouche sur la mienne ce qui déclenche immédiatement un orgasme foudroyant et simultané. Nous avons joui intensément tous les deux, frottant nos corps l’un sur l’autre, queue sur queue, grognant et gémissant de volupté pendant que le sperme jaillit à longs jets de nos sexes vibrants sous la force de l’éjaculation, répandant un lac tiède et gluant entre nos ventres collés. Après nous être un peu calmés, je lui lèche l’oreille en lui soufflant:
— Now, let’s really make love!
— Oh yes, sweet baby boy !
Et le voilà qui recommence à m’embrasser, dévorant ma bouche, puis il suce mes seins ce qui me rallume immédiatement. Ensuite, il gobe ma queue et me la suce comme un expert. Lorsque je suis à nouveau bandé bien raide, il me supplie de l’enculer. Il s’agenouille sur le lit, la tête sur les avant-bras et le cul pointé en l’air. Je ne me fais pas prier. Ce gars-là a un des plus beaux culs d’homme que j’aie vus: les fesses rondes, pleines dures et lisses comme deux pains appétissants. Je les caresse avec les mains et la langue pendant qu’il souffle et geint doucement. Puis je glisse un doigt au creux de la raie. Aussitôt il se met à gémir et à se tortiller de plus belle. Je graisse son anus et lui donne un massage avec les doigts. Le gars se met à gémir de plaisir et à tortiller du cul comme un possédé. Alors que le gland pressant sur son anus entrouvert je vais commencer la pénétration, un petit accident: je sens monter une éjaculation précoce que j'arrive à limiter. Alors je le pénètre d’un coup, mon sperme servant de lubrifiant. Lorsque l’homme sent mon pénis s’enfoncer dans son rectum, il se raidit puis se relâche en lâchant un long râle de satisfaction pendant que je me glisse avec délice dans son cul, puis je le fourre longuement, délicieusement, plongeant et retirant mon éperon de ce beau cul gourmand, jusqu’à ce que la jouissance me submerge à nouveau et que je décharge les dernières réserves de foutre dans ses fesses ouvertes.
Puis je lui rends la pareille. Je le remets sur le dos et suce sa belle queue jusqu’à ce qu’elle redevienne longue et dure, ensuite je m’assieds dessus, me l’enfonçant jusqu’au trognon entre les fesses pour savourer l’incroyable volupté de sentir un sexe mâle me remplir le rectum. Mon bel étalon tressaille, puis se met à jouer des hanches et du bassin comme un expert pendant que je caresse ses tétons renflés. Pour profiter pleinement du plaisir, il nous fait rouler sur le lit et me prend dans ma position préférée, sur le dos les jambes en l’air.
J’aime me sentir écartelé et sans défense lorsque mon mâle darde son éperon dans la partie la plus secrète de mon corps. Je râle comme une bête lorsque son pénis gluant se fraie à nouveau un chemin dans mon fondement ouvert. Oh! l’indicible volupté, l’étourdissante sensation de se sentir éperonné dans les fesses, cloué au matelas par la pine vigoureuse d’un homme ivre de plaisir, de sentir son sexe aller et venir en moi, me tarauder inlassablement dans la recherche du plaisir absolu!
Tout en me pistonnant vigoureusement, mon gars me caresse sur tout le corps, s’arc-boutant jusqu’à m’embrasser sur la bouche. Encore bandé dur je décharge une dernière fois lorsqu’il explose en gémissant et râlant de jouissance, giclant son foutre tiède dans mon cul frétillant.
Après une bonne douche prise ensemble naturellement, et où mon bel allemand n’arrête pas me peloter la poche et les fesses et de me caresser, nous allons souper de grand appétit.
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Il me dit que c’était la première fois qu’il baisait réellement avec un homme et qu’il aimait ça au-delà de tout ce qu’il avait imaginé. Puis nous sommes remontés dans ma chambre cette fois où, nous avons passé une nuit de délices et de volupté, nus comme des vers, à nous vautrer l’un sur l’autre, à nous embrasser, à nous caresser et à éjaculer, chacun jouissant sans retenue de son corps et de celui de son partenaire. Il avait une façon de m’exciter les bouts de seins puis de les mordiller délicatement qui me faisait délirer de plaisir. Il a passé un bon bout de temps aussi la tête entre mes cuisses à me manger la poche et les couilles lorsque je devins incapable temporairement de bander. Il m’a fait jouir trois fois durant la nuit et au matin j’avais les tétons douloureux et ultra sensibles à force de me les faire tripoter.
Enfin, nous avons dormi quelques heures dans les bras l’un de l’autre, sa tête reposant sur mon épaule. Au petit matin, il a joui une dernière fois, allongé sur moi, son sexe entre mes cuisses en me répétant sans cesse «Ich liebe dich, sweet baby boy!» Puis il s’est retiré dans sa chambre pour sa toilette et s’habiller. Je ne l’ai jamais revu, il avait déjà quitté l’hôtel quand je suis descendu déjeuner.
Seul souvenir, son slip qui avait glissé sous le lit et que j’ai retrouvé en faisant ma valise. Je l’ai porté toute la journée gardant ainsi un contact étroit avec son sexe et son cul. Le soir, je me suis masturbé dedans en pensant à mon bel Allemand probablement en train de fourrer sa femme tout en pensant à moi.