Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
LUTTEURS WRESTLERS
mon Ami et, disons-le carrément, mon Amant virtuel suisse, a pour passion la lutte...
Je trouve mon Fabien très représentatif de nous tous...combien d'histoires entre ados
ont commencé en simulant(?) la lutte où l'un manifeste son désir impérieux de gagner
et l'autre son désir secret de perdre.
Fabien, mon ami, tu montres dans ce récit non seulement ta délicatesse et un véritable
talent d'écrivain que j'ai voulu faire partager aux quelques 800 visiteurs quotidiens de
cavaillongay. Merci à lui, merci à tous et...bisous !
Mon cousin Marc vient passer la soirée chez moi, mes parents sont partis en week-end et nous avons souvent l’habitude de passer la nuit chez l’un ou chez l’autre. Faut dire que nous sommes inséparables, nous avons tous les deux 16 ans et les gens nous prennent souvent pour des frères. C’est vrai que l’on se ressemble beaucoup. Tous les deux noirauds aux yeux bleus, assez fins mais avec des muscles bien dessinés. Au sous-sol de la maison j’ai un banc de musculation avec quelques haltères ainsi qu’une douche, Marc vient souvent soulever de la fonte avec moi, mais notre passe-temps favoris, c’est la lutte. Et dans un coin de la pièce, contre le mur se trouvent deux grands matelas de gym posés l’un à côté de l’autre d’une surface de 5 m2.
Après avoir mangé deux gros sandwiches devant un film insipide, nous décidons de faire un petit combat, torse nu et en short. Avec comme but, celui d’enlever le short de l’autre et l’immobiliser au sol. Nous descendons au sous-sol et commençons à nous déshabiller. Je détaille mon cousin avec attention, il me plait beaucoup. J’ai toujours eu un faible pour lui. Depuis très longtemps, je n’ai d’yeux que pour les garçons. Marc ne me parle jamais de filles et je ne sais pas grand-chose sur ses goûts sexuels. Nous sommes tous les deux, très secrets, sur ce sujet là. Il a mis son slip blanc, celui qui est tès moulant... Par-dessus, il enfile un short Nike rouge qu’il laisse ici pour nos séances de musculation. N’ayant pas de short sous la main, je passe rapidement par-dessus mon slip un training bleu. On s’installe sur le tapis et le corps-à-corps commence. Je prend rapidement le dessus et mes mains essayent de tirer son short vers le bas. Marc résiste tout en essayant de me faire basculer sur le côté.
N’arrivant toujours pas à lui enlever son short, je décide de coincer son bras gauche avec mon genou tandis que ma main droite bloque son autre bras. Je n’ai plus qu’à tirer sur ce short avec mon autre main. Le tour est joué. Profitant de sa position je me glisse derrière lui tout contre le mur en me positionnant sur mes genoux, cuisses écartées, le soulève du matelas en passant mes bras sous ces aisselles et en calant mes mains derrière sa nuque, je le tire contre moi. Il se retrouve en position assise le dos collé contre mon torse, mes cuisses lui enserrant la taille et mes mollets calés à l’intérieur de ses cuisses. Il ne peut plus bouger, il essaye vainement de bouger son bassin pour se libérer, je vois très nettement le relief de son sexe sous le tissu de son slip. Un léger frémissement me laisse entrapercevoir un début d’érection ? Cela me fait tellement d’effet que mon sexe se tend sous mon training. De peur qu’il ne sente quelque chose, je le relâche. Aussitôt il se retourne, me fait face et profitant de ma gêne, tire sur le bas de mon training et me l’enlève.
Je me redresse à mon tour, on se regarde un long moment, son regard glisse sur la bosse qui déforme mon slip, mais il ne dit rien. Regardant son slip à mon tour, je constate que sa queue a encore pris du volume. Nous sommes face à face en position de lutte, le corps penché en avant, prêt à se jeter l’un sur l’autre. La tension est palpable, nos yeux ne se lâchent plus, tous nos muscles bandés dans l’attente d’un assaut. L’excitation est visible, comme le prouvent nos deux sexes tendant le tissu de nos slips. L’adrénaline monte dans nos muscles, tout mon corps se tend et frissonne d’excitation et d’envie. Et dans un même élan, comme si un gong avait sonné, on se rue l’un sur l’autre.
Nos deux corps s'entrechoquent... Immédiatement on se colle l'un à l'autre, bras et jambes se mêlent, nos têtes se collent l'une à l'autre. Chacun essaye de mettre la pression maximale sur l'autre... Je crois qu'à ce moment là, personne n’aurait été capable de nous séparer... C'est comme une fusion de nos deux corps qui s'établit... La lutte commence, elle s'annonce chaude et terriblement excitante... mais tellement incertaine...
Nos deux corps s'affrontent, nous sommes soudés l'un à l'autre. Je serre Marc contre moi le plus fort possible, mes mains sont croisées dans son dos. Les muscles de mes bras sont tétanisés tellement la tension est grande. Nos deux torses sont écrasés l'un contre l'autre, je sens la dureté de ses pectoraux contre les miens. Ses bras m'enserrent également de plus en plus fort, ses mains croisées au bas de mon dos m'attirent de plus en plus contre lui. Tout en poussant ses pectoraux contre les miens, Marc essaie de me faire plier en arrière. Mes abdos se raidissent pour contrer son attaque. Je sens son sexe se durcir encore sous son slip et venir se plaquer contre ma bosse entre nos deux ventres. Je manque arrêter le combat, tellement l’excitation me gagne, mais je me reprends car l'issue de ce combat est plus importante à mes yeux car je veux le vaincre, lui montrer ma supériorité. Mes mains glissent plus bas au niveau du haut de ses fesses et cette fois c'est moi qui pousse mon torse contre le sien tout en l'attirant contre moi pour pouvoir le soulever du sol. Je sens ses abdos trembler de plus en plus fort. Le point de rupture est proche... Je pousse encore un peu. Je sens son corps qui commence légèrement à se plier en arrière. Nos deux têtes sont l'une contre l'autre, toujours appuyées sur l'épaule de l'autre. Je l'entends râler et souffler de plus en plus fort. Mes muscles commencent également à trembler, il va falloir que Marc tombe au sol le plus vite possible, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps. Son étreinte se relâche un peu plus, son corps se cambre en arrière. Mon corps suit le mouvement et le contact entre nos deux bosses se fait encore plus fort. Je glisse un de mes pieds derrière lui et avec une dernière poussée je le sens enfin partir en arrière. Toujours accroché à moi, il m'entraîne dans sa chute. Il atterri sur le dos, mais très vite il noue ses jambes autour de ma taille et croise ses mains dans mon dos. Je me retrouve couché sur lui. emprisonné entre ses bras et ses cuisses. J'essaye de me libérer mais mes bras sont coincés le long de mon corps. Marc réussi à nous faire rouler sur le côté, tout son corps se durcit pour essayer de me faire rouler sur le dos, mais je résiste et on se retrouve couchés sur le côté, les yeux dans les yeux, le visage dégoulinant de sueur, nos deux paquets érigés l'un contre l'autre... Il faut que je me concentre car l’envie de mettre ma main à l’intérieur de son slip et de prendre sa queue raide devient irrepressible. Je ne sais pas ce qu’il en est de lui, il n’a jamais manifesté la moindre envie sexuelle envers moi, mais ce que je sens contre moi me laisse imaginer d’autres combats d’un autre genre... Coupant cours à mes idées, d'un coup de rein il arrive à me retourner. Il est sur moi... et son envie de gagner est grande...
Je sens le poids de son corps s'alourdir contre le mien, ses bras sont toujours croisés dans mon dos. Je sens qu’il essaie de les déloger, alors je plaque mon dos au sol pour lui bloquer les mains sous moi. Son regard est planté dans le mien, ses yeux me disent je VEUX GAGNER. Nos visages se touchent carrément, et sa bouche frôle la mienne. Et là je sais que ce qui devra arriver arrivera, car son sexe de plus en plus raide écrase le mien tout aussi dur et gonflé de désir et sans le concerter je sens que nous ne voulons pas aller plus loin, pas encore du moins, car le combat se joue en ce moment même... Ses cuisses essaient d'immobiliser les miennes... J'arrive à replier un peu les jambes et prenant appui sur mes pieds j'élève doucement mon bassin, c'est épuisant car il se fait de plus en plus lourd et je dois le soulever comme si je voulais faire le pont. Marc essaie de contrer le mouvement en forçant avec son bassin à faire redescendre le mien. Son sexe écrase ma queue et me fait presque mal... Mais comme il n'a pas de point d'appui j'arrive à le soulever. On se regarde intensément, un sourire se dessine sur sa figure car il a toujours le dessus. Mais en y mettant toutes mes forces, j'arrive à le soulever encore un peu plus et nous sentons tous les deux en même temps le point d'équilibre se rompre. Dans ses yeux une lueur d'inquiétude, dans les miens un air de victoire. Dans un dernier effort, nous tombons sur le côté.
Avec l'élan, nous roulons l'un sur l'autre plusieurs fois, en nous étreignant, bras et jambes liés, chacun voulant reprendre le dessus. Le mur de la pièce nous stoppe... et, par chance, je me retrouve au-dessus de lui... Je l'écrase à mon tour de tout mon poids, essayant de le plaquer au sol définitivement... Je le veux, je veux le vaincre, mon sexe est tellement tendu qu’il me semble sur le point d'exploser, je sens d’ailleurs que mon slip est un peu humide. Le sexe de Marc comprimé par le mien est tout aussi dur et tendu...
Mes mains s'agrippent à ses poignets pour les lever au dessus de sa tête. Je suis complètement plaqué sur lui, nos visages s’approchent l’un de l’autre. Dans ses yeux une drôle de lueur se dessine, il me sourit et soulève un peu sa tête. Et là, ne réfléchissant à plus rien d’autre qu’à cette future explosion de plaisir ma bouche fond sur la sienne. Ses lèvres s’entrouvrent et je m’y aventure avec douceur. Tout d’abord timidement nos langues se caressent pour finalement se livrer un combat à l’intérieur de sa bouche, nos salives se mélangent. Ma bouche quitte la sienne et une envie subite me fait me redresser. Je m’assois sur le haut de ses pectoraux et je cale mes genoux de chaque côté de sa tête. La bosse humide et en forme de barre de fer qui déforme mon slip se tend vers sa bouche. Marc me regarde, il a compris. Sa langue sort de sa bouche et commence à suivre le contour de ma queue puis s’attarde sur le gland où une tâche s’étale sur le tissu. Tout mon corps se tend, quand je sens les dents de Marc commencer à mordiller légèrement cette protubérance. Je sens l’excitation monter encore d’un cran et si je le laisse faire, je vais finir par éjaculer. Je me recouche sur son corps en me plaquant à lui. Nos deux bouches se collent à nouveau l’une à l’autre, nos langues se mélangent, tandis que nos bassins se frottent furieusement et sans retenue l’un à l’autre. Nos langues se mélangent nous ne faisons plus qu'un, l’excitation est à son comble. Je sens les pulsations de son sexe à travers le tissu. Nos yeux ne se quittent plus, nos mouvements deviennent de plus en plus saccadés et je sens son sexe se tendre à l’extrême. Nous commençons à gémir, le rythme s’accélère et dans un dernier râle je sens son slip s’emplir d’un liquide chaud tandis que mon gland explose en se vidant à longs jets, souillant nos deux slips.
Nous sommes restés comme ça, couchés l’un sur l’autre, seules nos respirations faisaient bouger nos corps. Au bout d’un long moment, je me décolle de lui, le regarde, il est magnifique avec ses yeux brillants plantés dans les miens, un sourire qui en dit long sur ce qu’il vient d’éprouver. Les mots ne sont pas nécessaires pour l’instant, je l’embrasse amoureusement, lui caressant doucement le visage. Me relevant, j’enlève mon slip. Marc soulève le bassin pour que fasse la même chose avec le sien, le tissu glisse sur ses jambes et je le jette au loin. Je regarde ce sexe tant convoité, reposer au milieu d’une touffe noire tachée de sa semence. Une envie folle me prend...
(à suivre)