Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

recit

 

 A l'âge de douze ans, j'étais tombé amoureux fou de lui, à seize ans, je lui avais avoué mon amour, puis avaient commencé nos premiers ébats, jusqu'à ce soir-là. Aujourd'hui, j'étais âgé de vingt-sept ans. Lui, avec trente ans de plus que moi, avait le charme et la beauté d'un homme approchant la soixantaine.

Ce soir-là, le petit chemin qui menait à sa villa de l'orée du parc était d'un calme surprenant. Les chiens des maisons voisines qui d'habitude aboient aux passants, étaient tous aux abris, sans doute à cause de la petite pluie. Seul le ronflement lointain des voitures sur l'autoroute et le cri des insectes venait briser ce silence quasi parfait.

Arrivé devant chez lui, le cœur battant, je poussai le petit portillon discrètement afin d'éviter tout grincement, puis la porte de la salle à manger qu'il avait à dessein laissée ouverte.

Je me trouvais dans son univers, l'univers de l'homme que j'aime le plus au monde. Je n'étais pas surpris de son absence car il profitait quelquefois de ses soirées pour des parties de bridge ou de poker. En attendant son retour, je feuilletai quelques albums photos de lui, puis allumai la télé. Allongé sur le canapé, je m'endormis...

Un baiser au goût alcoolisé me réveilla. Dans mon regard flou, j'aperçus le visage que j'affectionne tant de mon ami, l'amour était au rendez-vous. Un seul et long baiser de lui avait suffi à mettre mon corps en ébullition. Puis sans me parler, il m'embrassa de plus belle, avec beaucoup de douceur et beaucoup d'amour, tandis que mes mains fiévreuses et précises parcouraient son corps à travers sa chemisette bleu clair et son pantalon bleu marine. Nos corps s'épousaient parfaitement ce soir-là, tout était synchro et ça malgré nos différences.

Il avait dû boire quelques verres de whisky car je le sentais très détendu et peut-être même un peu éméché, ce qui n'était pas pour me pour me déplaire. Tout les ingrédients étaient réunis pour une séance de baise mémorable.

Prisonnier de ses bras, je massai délicatement ses fesses tout en lui léchant le cou de petits coups de langue. Je déboutonnai sa chemisette, laissai couler ma langue sur son torse velu puis son ventre, tandis que son corps dégageait une odeur des plus agréables, mélange de parfum et de miel. Il était complètement ivre du plaisir que je lui prodiguais, il était devenu léger telle une plume flottant dans le vent. Je l'aimais pour lui mais aussi pour moi, pour toutes ces années ou il avait contribué à faire de ma vie un paradis de plaisir.

Je poursuivis ma descente infernale vers la bosse dure de son pantalon, le massant, le caressant de mes mains pressées d'aller plus loin. Je sentais son regard posé sur moi, lui debout, moi accroupi devant lui tel un chien devant son maître. De ses mains douce et belles, il se mit à caresser mon visage et mon crane rasé avec délicatesse. La lumière tamisée de l'abat-jour créait des ombres sur son visage, dont je devinais les traits et le regard.

Je n'eus aucun mal à défaire la boucle de sa ceinture, pour laisser tomber le pantalon à ses pieds. La tension de son caleçon me laissait imaginer la puissance de son érection. Je devinai une bête en furie qui ne demandait qu'à être libérée. De ses bras puissants, il plaqua mon visage sur son caleçon tendu, puis commença un mouvement régulier du bassin, j'étais dans état d'excitation extrême.

Dans mon jean, ma queue frôlait l'explosion, mais je la laissai prisonnière, encore quelques instants, ne pensant qu'au plaisir de mon maître, de mon amour.

Le ballet que s'apprêtait à livrer nos corps se mettait tranquillement en place. J'étais heureux, amoureux et aimé, mais mon ami comme pour me punir, ou se sentant un peu moite à cause de l'humidité de l'air, décida d'aller prendre une douche. J'avais pourtant envie qu'il garde son agréable parfum naturel ! Mais lui n'a voulu rien entendre. Caressant la bosse déformée de mon jean, sur le canapé, je l'attendais...

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Au bout de quelques instants, poussé par ma curiosité ou par mon envie d'être avec lui, je décidai d'aller le rejoindre. Empruntant le long couloir obscur qui mène à la salle de bain, je m'arrêtai un moment car un grand miroir me renvoyait une image magnifique de lui. Je l'admirais et l'aimais encore plus, pensant à toutes ces années qui nous séparaient et à nos différences qui pour nous n'avaient aucune importance. Notre amour était au-dessus de tout.

 

Le miroir qui reflétait son image me donnait l'impression d'un écran sur lequel était projeté le film de notre histoire. À l'âge de douze ans, j'étais tombé amoureux fou de lui, à seize ans, je lui avais avoué mon amour, puis avaient commencé nos premiers ébats, jusqu'à ce soir-là

 

À nos débuts ...30 ans d'écart...

   coffee Daddy?      Aujourd'hui, j'étais âgé de vingt-sept ans. Lui, avec trente ans de plus que moi, avait le charme et la beauté d'un homme approchant la soixantaine.

Le spectacle pour moi était magnifique. Je me libérai de mes vêtements, et me retrouvai totalement nu et à l'aise dans le couloir, drogué et excité par son image. Mon sexe soulagé était plus gros, plus fort que jamais. Je me caressai, me branlai, tous les plaisirs étaient au rendez-vous: plaisir du corps, plaisir des yeux, plaisir d'aimer.

Mon regard s'arrêtait sur sa bouche mince, généreuse en baisers qui font décoller, sur ses pectoraux velus d'un beau poil couché par le jet de la douche, sur son ventre, sur ses belles fesses, sur son sexe ni trop gros ni trop petit, scalpé par une circoncision parfaite, sur ses cuisses et ses mollets dignes des plus grands footballeurs, sur ses pieds grecs magnifiquement dessinés. Je partis m'allonger dans le grand lit. Le bruit de la douche fut remplacé par de la musique classique.

Mon attente .

 

Puis mon bel amant apparut dans la chambre, se coucha sur moi. Son corps nu dégageait une agréable fraîcheur, son poids n'existait plus, il flottait dans l'air comme de notes de musique. Mon corps était conquis par sa bouche parcourant chaque centimètre carré de ma peau; il s'attardait longuement sur mes tétons, avec un style et un engouement qui lui étaient propres; sa main parcourait ma grosse bite dressée, tel un soldat prêt à tous les combats, tandis que sa langue se glissait sous mon cou jusqu'à mes oreilles.

Des frissons s'emparaient de mon corps qui luttait sur tous les fronts. Les assauts de ses caresses faisaient de moi son instrument, qu'il jouait à la perfection. Sa bouche experte et chaude suçait mon gland. Une main malaxait mes couilles, pendant qu'un doigt délicat s'enfonçait dans l'intimité de mon cul. Il maîtrisait son art parfaitement, tous ses gestes n'étaient qu'amour pour moi! Moi, jeune black, grand sportif, aux dires des gens, très beau, j'étais devenu aussi léger que mon ami sur ce fond musical. Il n'eut aucun mal à me mettre sur le ventre, de manière à avoir une vue imprenable sur mes fesses qu'on dit magnifiques. Pendant un long moment, il me massa, me faisant sentir de temps en temps sa pine dressée pour moi. Mon derrière lui était offert, mon trou ne demandait qu'à épouser sa queue lubrifiée par le precum qui coulait de son gland. Il m'enfila d'un coup sec, une petite douleur agréable me fit serrer les fesses, dures comme du béton. Ses va-et-vient dans mes entrailles étaient rythmés par la musique.

À ce moment-là, lui et moi ne formions qu'un seul être: le blanc, le noir, combinaison magique dont seul l'amour a le secret... Les petits cris qu'il ne pouvait s'empêcher de lâcher me laissaient imaginer le plaisir qu'il prenait, ses coups de boutoir devenant de plus en plus énergiques. Pourtant, il se souciait de mon confort, me demandait si je n'avais pas mal. Sa chaleur et ses mots doux faisaient de moi l'être le plus heureux de la terre.

__________si je n'avais pas mal...________

Il était là en moi, enfoui au plus profond de mon être; il m'aimait, tout simplement. Ses mains me serraient, me massaient, me caressaient et me palpaient de plus belle. Sa bouche parcourait mon cou, ma nuque, mordillait mes oreilles. Je tremblais de plaisir sous les assauts de mon amour. Dehors, la pluie avait cessé, un rayon de lune, indiscret peut-être, glissait sur nos corps allumés d'un seul désir.

Puis il y eut ce petit moment de répit dont il profita pour aller se désaltérer. Allongé, je le regardai s'éloigner, le sexe raide et les fesses magnifiques. Il m'excitait toujours autant. C'est la queue entre les mains que j'avançai sur la petite terrasse de sa chambre pour prendre un peu le frais. Mon cul, élargi par tant de coups de pine me semblait bien vide. Sous le scintillement des étoiles et les caresses du vent, ma branlette continua encore. Mon dard enduit de gel renvoyait un joli reflet de lune.

Cependant, des mains douces m'étreignirent: il était là, debout derrière moi. Les doux poils de son torse chatouillaient mon dos de manière très agréable. Nous restâmes enlacés un long moment, regardant la lune, les lumières des villes qu'on apercevait de l'autre côté de la mer. En contrebas, quelques lucioles nous renvoyaient leur lumière clignotante tandis que les grenouilles et les insectes de nuit y allaient de leur musique effrénée: le romantisme à l'état pur...

Je fus agréablement surpris lorsqu'il laissa échapper: "Je t'aime!" en me serrant très fort contre lui. Surpris, j'étais vraiment très surpris, car même si durant toutes ces années il avait fait bien des efforts sur ce point, ce n'était pas son genre de m'affirmer son amour. Quand je lui disais "je t'aime" ses petits yeux s'illuminaient d'un sourire puis il me répondait "Moi aussi". Il avait une façon bien à lui de me témoigner son amour par des gestes ou des attentions qu'il avait à mon égard, et ça, c'était plus fort que tout.

Il me retourna puis recommença à m'embrasser. Nos langues s'entremêlaient, je devenais fou. Mon corps devenait une âme qui s'élevait au-dessus de nous. Nos sexes se dressaient, fiers pour de nouvelles luttes. Sous l'effet des caresses divinement pensées que nous nous prodiguions, je m'agenouillai devant lui pour déguster son gland moelleux pendant que mes mains s'occupaient de ses couilles et de son trou. Il écarta ses jambes, fléchit pour avoir plus de plaisir. Ma bouche quitta son gland pour descendre dans son entre-cuisses. Là, je léchai et gobai ses boules. Il se laissait faire, son corps et son âme étaient vaincus par le plaisir. Ma langue vicieuse, lécheuse, remplaçait maintenant mon doigt dans son cul, pour moi l'endroit le plus doux de la terre. Je n'ai pas connu beaucoup de culs dans ma vie, mais après le sien, l'envie d'en découvrir d'autres ne m'enchante guère.

Accoudé sur le balcon, les jambes écartées, son corps m'était offert ainsi que toute son intimité. Son corps qui m'était si familier pour l'avoir parcouru des centaines de fois, me rappelait toujours nos premiers ébats. Je lui léchai la raie de haut en bas; ma langue s'attardait dans son trou et les mouvements qu'il faisait m'enfonçaient encore plus.

Je n'en pouvais plus. Ma tige était dressée en arme fatale, rien que pour lui! L'être le plus merveilleux qui existe à mes yeux... Délicatement, mon gland passa la porte du paradis.  

   

 

À aucun moment de mon existence je n'avais été aussi bien. Ce mélange de chaleur et de douceur me faisait frémir. Il se redressa, moi en lui, son corps n'était que plaisir. Très excité, il remuait ses fesses avec aisance et régularité, ce qui faisait coulisser facilement ma queue. Ma main droite caressait son sexe dur; je le masturbais de plus en plus vite. Nos corps s'enflammaient, l'extase était proche. Je l'attendais, accélérant puis ralentissant mes coups de boutoir. Pris dans son étreinte, prisonnier du plaisir, je partis en lui tandis que son foutre chaud coulait entre mes doigts. Je me vidai dans son corps, longuement. Les spasmes nous faisaient presque perdre l'équilibre. En fermant les yeux, j'imaginais les étoiles tomber autour de nous, telles des confettis, comme pour nous remercier du spectacle qu'on venait de leur offrir. Il m'entraîna dans la chambre, m'allongea à côté de lui, nos corps fatigués de ce magnifique combat; blottis l'un contre l'autre, on s'endormit.

À 4h 30 du matin, moment que je déteste le plus, le réveil me rappela qu'il fallait partir. Le temps d'un gros câlin et de quelques mots doux, et je quittai discrètement la maison.

Le petit chemin qui m'éloignait de son corps nu abandonné sur ce grand lit avait perdu de son calme: le chant des coqs au lointain annonçait la venue du jour et le connard de chien du voisin ne manqua pas d'aboyer lorsque je fus à sa hauteur. Et moi, marchant fièrement tel un soldat revenant d'une écrasante victoire, je pensais déjà à ma prochaine bataille.

PS: Petite pensée pour l'homme que j'aime le plus au monde et qui, je l'espère, se reconnaîtra.

 

 

 

Jeu 23 jan 2014 Aucun commentaire