Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
RECIT Introduction 1/3
Je suis très fier de nos trois familles qui ont si bien su nous accueillir dans nos évolutions personnelles et communes.
Fier de nous aussi qui avons su nous aimer et répondre à la question : "comment voulons-nous vraiment vivre ?" La poésie de ces instants adolescents dignes des plus beaux tableaux de peinture : illustration de Fabien
SALUT C'EST MOI MATTHIEU, J' AI 10 ANS Quand j’avais environ 10 ans, mes parents ont déménagé dans une petite ville de province. Nous nous sommes installés dans une maison à la périphérie, à la campagne. Mes parents étaient tous les 2 cadres supérieurs dans une grosse entreprise de la région, et ils cherchaient à se mettre au vert. Ils étaient assez stressés, et tout en gardant leur boulot, ils souhaitaient bénéficier d’un meilleur équilibre de vie.
Il n’y avait que 2 autres maisons à proximité. Les 3 maisons étaient 3 anciennes fermes qui partageaient une petite forêt et une vielle grange ainsi qu’un petit lac en copropriété. Le lac était un vrai havre de paix, coupé de tout, cerné par la forêt, avec suffisamment d’herbe autour, et des chemins d’accès vers chaque maison. Le premier été, nous sommes descendus pour nous baigner avec mes parents, et mon frère ainé Gilles, qui avait alors 13 ans. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que l’une des familles qui occupait l’une des autres maisons était déjà présente, et ce dans le plus simple appareil. Un couple jeune et souriant, avec un garçon de mon âge. Mes parents discutèrent comme si de rien était, et se déshabillèrent intégralement. Mon père nous dit alors :
— Les enfants, votre mère et moi avons choisi cet endroit pour que vous goutiez aux joies de la vie à la campagne et de la communion avec la nature. Ici, c’est la liberté. Vous pouvez rester tout nus autant que vous voulez
J'AI 15 ANS Julien me prit à part et nous trouvâmes un coin tranquille pour discuter. Julien me dit à quel point il avait éprouvé du plaisir[dans notre masturbation de ] la veille. Je lui répondis : « et moi donc ! ». Il ajouta toutefois :- J’ai un truc à te dire, pourtant. Ne te vexe pas, mais tu es avec Adrien mon meilleur ami, et je veux être honnête avec toi — Vas-y je t’écoute.— Eh bien, hier, c’est curieux, je ne pouvais m’empêcher de regarder ton frère. Sachant que Carine est ma sœur et je ne m’attendais pas à ressentir quelque chose pour elle, mais je trouvais ton frère très beau. Je me sentais très attiré par lui..
J'’étais interloqué
— Je… Je… figure toi, que moi aussi
— Vraiment, dit Julien, tout aussi surpris
— … et des fois je ressens la même chose pour toi, osai-je
Julien me posa la main sur l’épaule et déposa un baiser sur mes lèvres.
— Ça veut dire qu’on est pédés
— Sûrement, mais ça m’est égal. J’ai envie d’être ton petit ami...
Caresses adolescentes :
illustration de Fabien
...J'AI 16 ANS Mon petit ami m’avait pris, possédé et avait déposé son plaisir en moi.
Apres s’être penché pour m’embrasser longuement, Julien trépignait. « Je ne t’ai jamais vu comme ça. Je veux essayer moi aussi ». Il reproduisit ma position, jambes bien écartées et se livra. Son petit anus tout mignon, entoure de poils blonds s’ouvrit en forçant également. Apres une minute de douleur, il découvrit aussi ces sensations incroyables. De mon côté, je n’en revenais pas. C’était chaud. Incroyable. C’était vraiment serré. La pression du rectum de Julien sur ma queue me donnait un plaisir immense. Je pris ces chevilles dans mes mains, et le contemplais. Il bandait comme jamais. A chaque coup de queue bien profond, il se cambrait de plaisir, sur ses fesses et ses épaules, et ce plaisir, c’est moi qui le lui offrais. Apres quelques allers-retours, je me vidai en Julien.
C’était fait. Julien et moi étions radieux. Je le quittai sans bruit. Au moment où j’ouvris la porte de sa chambre pour regagner la mienne, je vis celle de la chambre où logeait Adrien se refermer tout doucement...(Nous avait-il vus ?)
A suivre…
A DEFAUT QUE LE MONDE SOIT COMME CA, EN HARMONIE, POUR NOUS TOUT BAIGNE. Dieu(?) fasse que l'humanité toute entière soit comme nous !
En nous voyant ainsi, Gilles ne put s’empêcher de déclarer :
— Tiens, tiens, nos deux amoureux ont l’air radieux… N’auraient-ils pas fait de nouvelles expériences ?
Nous rougîmes, et Carine et Gilles rirent de bon cœur. Julien ajouta :
— Vos petits frères ne sont plus si innocents maintenant.
Gilles et Carine étaient fous de joie pour nous, ils nous embrassèrent.
— Vous devez vous sentir fiers, et soulagés, comme nous la première fois !
Une forme de complicité et d’intimité se développa instantanément entre les deux couples, épanouis que nous formions, l'un hétéro, l'autre homo. .../...
ADRIEN ET BIENTOT LE TRIO...?
— À propos d’Adrien, demanda Carine, où est-il ?
Nous leur racontèrent les différents moments où il nous épiait, ainsi que le coup du DVD. Pour nous c’était clair : Adrien était homo, mais il ne l’admettait pas.
— Vous croyez ? dit Gilles.
— Ce n’est pas sûr, dit Carine, il est peut-être juste un peu voyeur, et il cherche sa sexualité...
J’étais sceptique… Une idée me passa par la tête. Je suggérai :
— Pourquoi ne pas faire un petit test ? Je suis sûr qu’Adrien se cachera encore dans la grange demain pour nous épier. Pourquoi vous deux n’iriez-vous pas vous y amuser un peu, tandis que Julien et moi prendrions un peu de bon temps dans la clairière ? On verra ainsi quelle sexualité l’attire le plus...
Julien éclata de rire. Gilles et Carine se regardèrent, à la fois amusés et un peu gênés de se retrouver mêlés à tout ça, surtout dans un rôle d’exhibitionnistes… Puis ils haussèrent les épaules. Après tout, pourquoi pas ?
Le lendemain après-midi, Gilles et Carine pénétrèrent dans la grange et commencèrent à se caresser doucement.
— Il est là, susurra-t-il à Carine, on va voir s’il reste.
Gilles et Carine s’allongèrent en 69 et se léchèrent tendrement. Gilles levait les yeux de temps en temps pour croiser ceux d’Adrien une fraction de seconde.
— Tu vois, je le savais, il reste, dit Carine.
Gilles et Carine étaient en fait très excités d’être matés. Ils étaient décidés à se lâcher vraiment devant Adrien. Gilles enfila une capote et pénétra Carine en levrette. Tous les deux regardaient maintenant fixement vers la cachette d’Adrien qui comprit qu’il était découvert. Il se leva donc doucement et ne cacha pas qu’il se branlait. Tous les trois souriaient. En observant Adrien, Gilles et Carine durent se rendre à l’évidence : Adrien était fixé sur le corps de Gilles, il ne prêtait aucune attention à Carine. Ils comprenaient maintenant.
Gilles se tourna vers Adrien et lui dit :
— Ils sont dans la clairière, rejoins-les !
Pendant ce temps, Julien et moi marchions nus dans la forêt vers la clairière, main dans la main.
— Oh Matthieu, mon chéri, je t’aime, donne-moi du plaisir avec ta langue…
Ce que je ne manquais pas de faire en léchant sa tige et son gland.
Soudain j’aperçus Adrien caché derrière un buisson. Au travers des feuillages, je devinai qu’il se branlait. J’étais ravi d’avoir gagné mon pari… mais encore plus de savoir qu’Adrien était homo comme nous.
NOUS CA VA. MAIS COMMENT DECIDER ADRIEN A SE REVELER ? Nous offrions à Adrien un spectacle superbe : deux beaux corps d’adolescents qui bougeaient l’un dans l’autre, en rythme. Julien était de plus en plus excité. Il semblait adorer cette nouvelle position. Je passai ma main sur sa bite et constatai qu’elle était dure comme du fer, alors qu’il ne se branlait pas et gardait ses mains sur le tronc de l’arbre. Il commença à bouger son petit cul de plus en plus vite, d’avant en arrière et parfois de gauche à droite. Je sentais qu’il contractait son anus sur ma bite : on aurait dit qu’il me branlait avec son sphincter.
JULIEN "SAIT" JOUIR DU CUL
la jouissance anale illustration de Fabien Lutteur :
J’étais moi aussi empli d’extase. C’était plus fort que les premières fois. Cette nouvelle position, l’excitation de Julien, l’amour grandissant que je ressentais pour lui, et surtout le contact du grand air sur ma peau nue, le fait que nous fassions l’amour dans la nature, tout cela se fondait en moi en un plaisir ardent. Julien accéléra alors la cadence et criait carrément maintenant : « Plus fort, Matthieu, plus fort, défonce moi ! » J’étais grisé de le voir aussi sauvage. Soudain son trou d’amour se contracta fortement et je le vis éjaculer trois jets puissants de foutre sur le tronc d’arbre en gémissant. À cette vue, je jouis immédiatement en lui.
J’étais stupéfait : il avait joui du cul, c’était un orgasme purement anal. Je ne savais pas que c’était possible, que l’on pouvait jouir de cette façon, sans même se toucher un peu la queue. On se retourna pour s’embrasser tendrement. Julien me dit :
— C’était génial. Tu m’as donné tant de plaisir.
LE COMING OUT Adrien était assis au bord du lac. Il pleurait à chaudes larmes. Il nous regarda et déclara en sanglotant :
— Je ne veux pas être pédé, je ne serai jamais heureux...
Tout le monde tenta de le réconforter.
— On peut être homo et heureux, dit Julien.
— Il n’y a aucune honte, ajoutai-je.
— Ce que je veux, c’est me marier et avoir des enfants, » dit-il entre deux sanglots.
— Ce n’est pas du tout incompatible », répondit spontanément Carine.
— On ne choisit pas dans la vie. Moi, je sais que je ne gagnerai jamais Roland Garros, ajouta Gilles. Je vis ma passion autrement.
Adrien sécha ses larmes.
— Vous êtes gentils, dit-il.
Il semblait apaisé, mais toujours un peu contrarié. Il se leva, fit quelques pas, puis se retourna.
— Laissez-moi du temps. Ne vous inquiétez pas pour moi. Puis il se jeta dans le lac et disparut dans l’eau...
ADRIEN ...EST LE PLUS FAROUCHE...DU TEMPS PERDU...PAS POUR TOUT LE MONDE !!!
.../... un autre jour, je demandai à Julien de me prendre par derrière. Il ne m’avait jamais aimé dans cette position. C’était vraiment génial, chaque jour était prétexte à une découverte, à un nouveau jeu. Julien s’assit sur une meule dans la grange puis me fit assoir sur sa queue par derrière. Pour cela, je devais appuyer mes deux mains fermement sur ses cuisses et bien fléchir mes jambes. C’était physique ! Mais ça valait la peine. Julien m’encula comme jamais. Je le priai d’aller plus fort que d’habitude. Je voulais vraiment qu’il me possède, je voulais le sentir en moi. Cette sodomie était profonde. Des mots crus me venaient à l’esprit, alors que je n’étais pas le genre de garçon à jurer :
— Oui, Julien, vas-y, défonce moi le cul ! Déchire-moi ! Je veux sentir ta grosse bite en moi.
Je me surprenais moi-même. Les mouvements de Julien étaient amples, rapides et profonds. Sa bite venait toucher le fond de mon rectum, je sentais ses hanches claquer contre mes fesses. Je gardais mes mains sur ses cuisses et regardais mon pénis en érection.
Soudain je fus parcouru de frissons et j’éjaculai quatre énormes giclées devant moi. C’était une vague de plaisir, inconnue jusqu’alors, qui était partie de mon anus, avait déchargé mes couilles et avait parcouru l’ensemble de mon corps, des orteils jusqu’au doigts de la main. Les poils de mes mollets en étaient légèrement hérissés. Le spasme de plaisir avait été si grand que Julien était sorti de mon cul. J’entendis alors un gémissement de plaisir et sentis des gouttes tièdes tomber sur le base de mon dos et sur mes fesses. Douce sensation que de se faire jouir dessus par mon petit Julien.
— Waouh ! Criai-je.
Ivres de plaisir et de fatigue, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre dans la paille pour une tendre sieste.
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Les parents absents pour 2 mois, Julien, Adrien et moi avions le domaine pour nous tout l’été. Deux mois entiers nus au soleil sans interruption, à jouer, à se baigner, à faire l’amour. Quelle aubaine ! En apprenant la nouvelle, mes deux camarades furent ravis eux aussi.
Trois jours après, alors que Julien et moi préparions le déjeuner, Adrien arriva avec le courrier du jour des trois maisons qu'il avait collecté dans les trois boites aux lettres. Parmi les pubs et factures se trouvait une enveloppe épaisse adressée à Adrien. Il l’ouvrit devant nous. Elle contenait un livre, moyennement épais, avec un titre du genre : « Homo et heureux ».
Cela venait de Gilles et Carine. Ils y avaient joint une petite carte de dédicace où était écrit : « On te souhaite d’être aussi heureux que nous. » Adrien était un peu gêné, mais il ajouta :
— Ils sont adorables...
Adrien n’étant pas là, nous avions fait l'amour quatre fois ce jour-là et étions repus. Soudain Adrien apparut et s’avança tranquillement vers nous. La lueur des bougies se reflétait sur son corps d’adolescent, nu et intégralement bronzé. Il était superbe.
Il nous regarda en souriant :
— Le livre de Gilles et Carine m’a ouvert les yeux. Je sais que je peux être heureux, rencontrer l’homme de ma vie et fonder une famille.
Julien et moi fondîmes en larmes et serrâmes Adrien dans nos bras. Notre meilleur ami avait compris, il allait mieux, et comme nous, il était prêt à vivre son homosexualité sans complexe.
— En attendant, dit-il, je veux rattraper le temps perdu, je veux découvrir le sexe, et je veux le faire avec mes deux meilleurs amis. Apprenez moi, montrez-moi !
Julien et moi étions fous de joie. Nous ne nous étions jamais considérés comme un couple exclusif et nous attendions en fait ce moment depuis des semaines. Nous rêvions d’un amour et d’une découverte du plaisir à trois.
A suivre
vive la Vie