Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
L'INTELLIGENCE...c'est pas que les maths ou l'école...ON DIT VIVRE EN "BONNE INTELLIGENCE"...ICI C'EST LE PARADIS EN PETIT...UN JOUR CE SERA VRAI POUR L'HUMANITE TOUTE ENTIERE ...AINSI SOIT-IL.
Recit 3/3 Matthieu, Adrien, Julien
Dans le cadre des échanges linguistiques du lycée et grâce à la maman de Julien, qui était prof, nous devions recevoir des "corres' " allemands comme on disait
Fin juillet, il fallait nous préparer à accueillir les Allemands. Adrien et moi parlions bien allemand également, ce n’est pas ça qui nous gênait. Mais deux points nous posaient problème. Allait-on pouvoir se mettre à poil facilement ? Au moins pour se baigner, par pitié ! Ensuite, il y avait peu de chance qu’ils soient homos, et Julien, Adrien et moi allions devoir jouer serré pour nous donner du plaisir.
Nous dûmes à regret nous rhabiller pour aller les accueillir, avec la mère de Julien, à la gare routière du village. Stefan et Patrik nous saluèrent cordialement. Mmmh, pas mal, en fait ces deux gars. Ils étaient tous les deux assez sportifs et faisaient de l’aviron. Ils étaient légèrement plus grands et plus musclés que nous. Stefan était blond aux yeux bruns, et Patrick brun aux yeux bleus. Belle complémentarité. Ils avaient l’air sympa et décomplexés, comme les nombreux Allemands que j’avais vus dans le centre naturiste de Gilles. Qui sait…
Une fois à la maison, la mère de Julien proposa que nous allions faire un tour au lac avec les Allemands et que nous leur fassions visiter le domaine. Ils furent enchantés par les lieux. Arrivés au lac, ils demandèrent à se baigner.
— Euh, oui, bien sûr, nous fîmes, ne sachant trop pour quelle tenue opter.
— Ah, au fait, dirent-ils. Comme beaucoup d’Allemands, on ne porte pas de maillot. Nos parents ont demandé de nous mettre dans une famille naturiste. On espère que ça a bien été transmis.
— Oui, bien sûr ! Dit Julien.
Quel cachotier, ce Julien ! Nous aurions dû nous y attendre aussi. Comment les parents de Julien auraient-ils pu faire autrement, eux qui ne portaient rien sur eux l’été non plus ?
— Tous à poil alors ! S’écria Adrien.
Nous nous dessapâmes rapidement et nous jetâmes tous à l’eau. Ce fut un après-midi super sympa. Nous avions également installé un filet de volley dans la prairie. Les matchs France – Allemagne furent très amusants.
Julien, Adrien et moi ne perdions pas une miette de nos amis. Il faut dire qu’on était gâté… Stefan était un beau blond déjà musclé (l’aviron) et avait de plus une bite de taille impressionnante pour son âge. Il portait un collier de surfer très sexy autour du cou. Patrick était brun, assez musclé également, avec des yeux bleus magnifiques.
Ils avaient tous les deux des cheveux en bataille et une légère barbe de deux jours. Ils faisaient un peu plus matures que nous, mais avaient le même âge. Ils nous expliquèrent qu’ils étaient naturistes comme beaucoup de gens en Allemagne. À Munich, là où ils vivaient, il était même possible de bronzer nu au milieu d’un jardin public en plein centre-ville. Le bonheur !
Inutile de dire que nous fantasmions déjà sur ces deux corps magnifiques. Ils étaient naturistes, c’était déjà énorme, mais homos, ce serait trop beau pour être vrai. On se contenterait de les mater, ça serait déjà ça de pris.
Comme les parents d’Adrien étaient partis en vacances cette semaine, Adrien dormait chez Julien. Stefan partageait la chambre de Julien et Patrik celle d’Adrien.
La soirée fut sympa, un diner sur la terrasse où des bières furent ouvertes. On avait 17 ans maintenant. La journée du lendemain fut agréable, pleine de sport. Cependant nous, Français, commencions à être frustrés de ne pas pouvoir nous isoler pour faire l’amour.
L’opportunité se présenta en fin d’après-midi. Après d’intenses séances de volley, les Allemands demandèrent à pouvoir faire une sieste dans la chambre d’Adrien et Patrik. Oh, non, ça ne nous gênait pas. Nous nous échappâmes donc tous les trois dans la grange et nous jetâmes les uns sur les autres. Nous étions tellement frustrés de ces quelques jours sans sexe. Ce fut torride… Nous nous vidâmes rapidement les couilles dans les culs et les bouches des uns et des autres.
Nous revînmes tranquillement à la maison et nous installâmes dans la chambre de Julien pour souffler. Toutefois au milieu d’une conversation, Adrien nous fit taire.
— Chut ! Vous n’entendez rien ?
— Non !
— Si, des petits gémissements, en provenance de ma chambre.
— Tu déconnes ?
Nous avançâmes à pas de loup vers le porte et regardâmes par le trou de la serrure. Quel spectacle ! Patrik était en train de sucer Stefan dont la queue en érection avait une taille impressionnante. Elle devait être autour des 18 cm déjà. Nous n’en revenions pas. Elle remplissait vraiment toute la bouche de Patrik. Nous nous sommes relayés devant le trou de la serrure jusqu’à ce que Patrik se lève en un éclair pour ouvrir la porte.
— Vous n’avez pas perdu une miette, bande de salauds !
— Oui, on est pédés, ajouta Stefan, et alors ?
Nous nous excusâmes ; ils n’avaient rien à craindre car nous étions bien pédés nous aussi. Ils furent extrêmement surpris. Cela les calma quelque peu mais ils restaient assez mécontents d’avoir été espionnés. Ils eurent aussi l’air un peu soucieux en apprenant que nous formions un ménage à trois. Toutefois, cette mise au point avait du bon : il n’y avait pas de tabou maintenant pour s’isoler et faire l’amour ou se donner quelques gestes d’affection les uns devant les autres.
Patrik et Stefan devinrent même de bons amis. Ils se confièrent, nous avions des goûts communs. Tout le monde fut ravi d’avoir un couple (ou un trio !) d’amis homos pour la première fois. Nous pouvions aussi parler de sexe et de nos expériences. Seulement voilà, quand on est jeune, homo, toujours en quête d’expérience et qu’on passe ses journées à poil avec deux mecs canons en face de soi, la tentation est grande. Très grande…
La brèche est venue de Julien et Stefan. Julien trouvait Stefan craquant. Il était fasciné par la taille de son sexe. Stefan, lui, avait écouté les confidences de Julien sur les orgasmes anaux qu’Adrien et moi lui donnions.
Cela les démangeait d’essayer ensemble. Ils ne voulaient pas semer la zizanie, pourtant. Comme d’habitude, Julien voulait en parler avec nous et Stefan, qui formait un couple avec Patrik, ne voulait pas blesser son amoureux. Ils souhaitaient donc que cela se fasse librement, pourquoi pas dans le cadre d’autres expériences entre nous, à plusieurs.
À l’issue d’un match épique de volley, Julien et Stefan proposèrent donc, sans pudeur, sur un ton à moitié rieur, de prolonger le match France – Allemagne dans la grange ou dans la chambre de l’un ou l’autre.
Adrien et moi n’avions rien contre, mais Patrik se vexa fortement :
— Non les gars, désolé. Nous, on est un vrai couple. Stefan et moi, on ne se partage pas…
Stefan essaya de la convaincre :
— Amusons nous un peu. On n’a jamais la chance de rencontrer des mecs sympas, beaux et prêts à s’amuser. C’est unique…
Patrik était maintenant furieux.
— Ça va pas ? Tu m’aimes ou pas ?
— Ça n’a rien à voir, répondit Stefan.
Stefan et Julien étaient dépités. Même si Stefan était fou amoureux de Patrik, il lui reprochait de le mettre en cage à 17 ans seulement et de l’empêcher de faire son expérience.
— Tu nous fais vivre comme un couple de vieux, lui balança-t-il.
Patrik partit, fou de rage. Stefan dit :
— Laissez tomber !
L’atmosphère fut lourde les heures d’après, chacun s’occupant un peu de son côté. Puis vint l’heure du dîner. Patrik et Stefan se jetaient des regards courroucés. Julien, lui, continuait à regarder Stefan avec envie. C’était plus fort que lui. Il avait de l’affection pour Patrik, il trouvait que Stefan et lui formaient un beau couple, mais il ne trouvait pas cela incompatible avec de bons moments de plaisir… La bière coula fortement ce soir-là. Les parents de Julien étaient libéraux et buvaient pas mal de bière aussi. Stefan et Patrik noyèrent leur aigreur dans l’alcool. Tout le monde était bien chargé à l’issue du dîner. Je suis rentré chez moi tandis que mes quatre compères montèrent dans leurs chambres.
Stefan, sûrement ivre, demanda à Patrik, avec provocation :
— Je suppose que je ne suis pas autorisé à dormir dans la chambre de Julien, tu dois trouver ça douteux !
Patrik répondit :
— Fais ce que tu veux. De toutes les façons, je n’ai pas forcément envie de passer la nuit avec toi.
— Si c’est comme ça, alors… » répondit Stefan en se dirigeant finalement vers la chambre de Julien.
Une fois dans la chambre, grisé par la colère et l’alcool, Stefan se jeta sur Julien pour l’embrasser et lui dit :
— Julien, j’ai tellement envie de te baiser, depuis le premier jour.
— Moi aussi, répondit Julien. Je rêve de ta queue depuis le début.
Julien se glissa à genoux et enfonça la bite de Stefan dans sa bouche, le plus qu’il put. C’était très gros, Julien se régalait. Il la lâchait, faisait glisser sa langue dessus, s’attardait sur le gland.
— Tu suces comme un dieu ! Lui lâcha Stefan.
Ils se mirent ensuite confortablement sur le lit en 69 et Stefan s’attaqua au zizi de Julien. « Délicieuse, cette petite queue française », pensa-t-il.
Julien ne pouvait plus attendre d’avoir cette belle pièce dans son petit cul, même s’il appréhendait un peu la douleur. Pour inviter son partenaire, il se leva et se mit en levrette sur son lit, puis lui jeta un regard complice. Stefan le regarda avec envie. Ses fesses brunes et bien rebondies l’attiraient. Il se mit à genoux derrière Julien et commença à lui lécher la raie et la rosette délicatement. Puis il commença à le doigter.
— Ne t’inquiète pas, je vais bien te préparer le trou, tu n’auras pas mal, lui dit-il.
Stefan, effectivement, savait s’y prendre. Il allait doucement. Il inséra un doigt, puis deux. Au fur et à mesure que Julien se détendait et s’ouvrait, il ajoutait un doigt. Il restait tendre avec Julien. Il accompagnait son doigtage de baisers sur les fesses et de caresses sur le dos. Julien sentait le plaisir monter. D’un regard plein d’assurance, il indiqua à Stefan qu’il était prêt. Ce dernier approcha son engin et commença à forcer l’entrée. Julien soufflait et alternait les « Ah » et les « Oh ». Il serrait les dents.
Quand Stefan fut complètement en lui, il souffla à fond et tenta de se détendre. C’était vraiment plus gros. Petit à petit, comme à chaque fois, la douleur se transforma en plaisir. La sensation de se faire posséder pleinement et la pression sur la prostate, plus grandes que d’habitude, contribuaient à un plaisir plus intense. Un fin filet de sperme commença à s’échapper de la bite de Julien dès que Stefan fut en lui. Ce dernier démarra ensuite ses mouvements. La machine à plaisir commença à se déclencher en Julien : c’était si bon, une expérience plus forte en plaisir que jamais. Il prenait un pied énorme.
— Oh oui, c’est bon, vas-y continue, défonce moi !
Stefan accéléra la cadence. Julien bougeait bien les fesses pour accompagner les mouvements et accroitre son plaisir. C’était génial. L’orgasme vint très vite. Julien se déchargea rapidement sur les draps. Stefan sortit de Julien et lui jouit abondamment sur l’anus dilaté. Il repoussa ensuite le foutre avec son gland dans le trou béant. Ses petits coups de queue supplémentaires ravirent Julien.
Pendant ce temps-là, dans la chambre voisine…
Patrik était toujours en colère. Adrien était gêné. Il était partagé entre une attirance énorme pour Patrik et une compréhension pour ce qu’il éprouvait. Il cherchait le grand amour lui aussi. Il pensait que Patrik l’avait trouvé et qu’il avait peur de le perdre. Que ferait-il à sa place ? L’amour et le sexe sont-ils une seule et même chose ? Ça semblait étrange.
Mais bientôt les bruits délibérément forts et explicites de la chambre voisine résonnèrent comme une provocation. Patrik s’approcha d’Adrien et lui glissa :
— Je ne vois pas pourquoi je serai le seul à ne pas m’amuser, puisque cet imbécile de Stefan a décidé d’être infidèle.
Et il roula une énorme pelle à Adrien. Ce dernier n’était pas mécontent. Deux pipes plus tard, Patrik était allongé sur le lit, jambes écartées, avec la bite d’Adrien dans le cul. Il ne se gêna pas pour faire suffisamment de bruit afin de le faire savoir à la chambre d’à côté : « Oh oui, Adrien, vas-y, baise moi ! »
Le lendemain matin, Stefan et Patrik crevèrent l’abcès violemment. Patrik reprochait à Stefan d’avoir brisé leur couple en le trompant. Stefan lui faisait le même reproche et lui dit que contrairement à lui, il n’avait rien caché de ses intentions. Les mots étaient durs. Même avec nos bons niveaux d’allemand, nous ne comprenions pas toutes les insultes…
Patrik et Stefan se rhabillèrent, déclarant vouloir rentrer à Munich chacun de leur côté. Ils vinrent chez moi pour me l’annoncer, laissant Julien et Adrien dans le désarroi.
Je fus surpris de les avoir arriver, qui plus est tout habillés. J’eus droit au débrief de la veille. J’éprouvais un sentiment de gâchis énorme… Un couple superbe, qui s’aimait et semblait prêt à partager tout en ayant peur de se perdre, et nous, au milieu, prêts à nous joindre à l’aventure sans sous-entendu, en nous assurant qu’ils resteraient ensemble.
Je m’efforçai de les calmer. D’expliquer. De trouver les mots justes. Il fallait leur faire comprendre qu’ils pouvaient s’aimer, rester un couple, mais qu’ils pouvaient aussi tenter des expériences ensemble, qu’ils étaient encore jeunes et qu’ils pouvaient goûter d’autres plaisirs. Le tout était d’être transparent et ouvert l’un à l’autre, sans secret, sans jalousie. Ils m’écoutaient. Je les sentais tous les deux en pleine réflexion. J’argumentai de nouveau. Cela dura bien une bonne heure… Puis je les sentis progressivement évoluer. Ils me glissèrent :
— Donc, il s’agit que nous éprouvions tous les deux du plaisir en même temps, sans blesser ni l’un ni l’autre ? Prouve-le-nous !
Je m’avançai, mis une main sur la joue de chacun en même temps, et les embrassai tendrement l’un après l’autre. La démonstration pouvait commencer.
Je commençai à déshabiller Patrik. J’enlevai son t-shirt légèrement moulant et son short, laissant apparaitre un boxer Hugo Boss noir. Je m’attaquai à Stefan et le laissai dans son petit slip Diesel blanc moulant. J’attaquai les caresses simultanément sur les deux corps musclés. Quel délice ! Les peaux étaient douces, chaudes et déjà bronzées. Les muscles étaient plus saillants que chez Julien et Adrien. Sensation nouvelle ! Je fis glisser ensuite les sous-vêtements sur le sol, redécouvrant deux beaux pénis, cette fois au garde-à-vous.
Il fallait faire très attention. Donner du plaisir aux deux à la fois, en même temps, en même quantité. Ne pas donner à l’un l’impression que je portais plus d’attention à l’autre. Je massais leurs bites en même temps. Eux me caressaient les cheveux tout en s’embrassant longuement. La réconciliation était en marche.
J’attaquai les fellations. Je frissonnai. C’était ma première fois avec « d’autres », en dehors de Julien et Adrien. Les bites étaient délicieuses, dures. Celle de Stefan me remplissait la bouche. Je la dévorai tout en massant Patrik. J’adressai aussi des soins particuliers à Patrik, titillant son gland avec ma langue.
Puis je m’allongeai sur mon lit et déclarai : « Patrik, Stefan, prenez moi maintenant. Faites-moi l’amour par tous les trous ! » Je frissonnai de nouveau de plaisir. J’avais déjà fait l’amour avec Julien et Adrien dans ma chambre l’été dernier. Le faire de nouveau, au milieu de mes livres et posters d’ado, avec deux mecs différents, me faisait tripper. Les deux Allemands s’approchèrent pour me couvrir le corps de baisers et de caresses. Ils inspectèrent mon entre jambes. « On préfère les petits culs bien lisses, sans poils, on va arranger ça. » Je compris que même si ma pilosité demeurait modeste, c’était trop pour eux.
Ils fouillèrent dans la salle de bains et revinrent avec des ciseaux et un rasoir électrique. Patrik me coupait les poils des couilles, tandis que Stefan me rasait l’anus et l’entre jambes. Ça chatouillait et c’était excitant de les voir s’affairer autour de mon trou.
Quand ils eurent fini, ils me passèrent de la crème Nivéa pour adoucir le feu du rasoir. C’était agréable. Ils en profitèrent pour me passer un ou deux doigts dans le cul. C’était frais.
— Voilà ! Ton petit cul sera meilleur comme ça, conclurent-ils.
Stefan commença à me lécher l’anus tandis que Patrik s’allongeait sur le lit à côté de moi pour me sucer. C’était bon. Ils étaient doués. Des amants exquis. Ils échangèrent leurs positions. Ils rimmaient et suçaient aussi bien l’un que l’autre. Je les voulais maintenant en moi, je voulais leur donner du plaisir à tous les deux, au même moment. Leur offrir mon corps.
Patrik me fit lever les jambes et s’introduisit en moi. Je pensai : « J’ai encore une bite dans le cul. Une bite nouvelle. C’est génial, mais toujours différent. Nouvelle taille, nouvelle forme, nouvelle façon de se faire prendre. » Stefan fit glisser son membre dans ma bouche. J’étais au paradis. J’étais pris par devant et par derrière par deux mecs canons qui s’aimaient. J’étais le jouet de leur couple. Je gémissais.
— Oui, oui, prenez moi tous les deux. Allez y profond !
Eux aussi prenaient un pied énorme. Patrik lâchait de temps en temps une de mes chevilles pour attraper la tête de Stefan avec sa main et l’embrasser longuement ou titiller sa langue avec la sienne. Ils se jetaient des regards amoureux. Ils comprenaient. Ils prenaient du plaisir ensemble, avec un ami. Ils s’aimeraient encore après, en tant que couple.
Puis je demandai à Stefan de m’éclater le fion et à Patrik de m’offrir sa bite à lécher. Patrik m’avait bien dilaté, j’étais prêt à recevoir Stefan. Cela fit un peu mal quand même, mais c’était fabuleux. Mon cul brûlait de plaisir. Cette queue était merveilleuse. Ses saccades précipitaient ma tête vers la bite de Patrik. J’étais prêt à accueillir leurs semences.
— Donnez-moi votre jus ! Remplissez-moi !
Je les sentis se vider en même temps. J’avalai l’intégralité du sperme de Patrik pendant que celui de Stefan s’écoulait dans mon rectum. Ils étaient radieux. Ils me remercièrent. Je leur avais ouvert les yeux. On se reposa un peu.
Ils voulurent me remercier, surtout Patrik.
— Merci Matthieu, tu as été formidable. J’ai compris que tu cherchais à nous faire plaisir, rien de plus. Pour te remercier, et pour mon plaisir aussi, je t’offre le cul de Stefan.
Je commençai donc à prendre Stefan par derrière, alors qu’il se tenait debout au milieu de la chambre. Patrik, tout en se branlant, jetait des regards amoureux à Stefan qui lui rendait des sourires. Le cul de Stefan était agréable, chaud. Comme celui de Julien, on sentait de l’expérience, de la souplesse. J'invitai ensuite Patrik à nous rejoindre et lui demandai de me sodomiser. Je voulais être en sandwich entre deux tranches de pain allemand. Patrik s’approcha, me caressa doucement le dos puis me pénétra. Je m’agrippai à la taille de Stefan tandis que Patrik lui attrapait les épaules par-dessus les miennes. Nous étions bien collés. Les pénétrations étaient bien profondes. La chaine était parfaite, bien synchronisée.
Les Allemands n’avaient pas encore gouté le foutre français. Nous nous désemboîtâmes donc. Ils se mirent à genoux pour lécher mes couilles bien rasées et lisses. Je me branlai sur leurs visages. Ils se léchèrent copieusement les joues et raclèrent tout le reste avec les doigts. En échange, ils m’offrirent une superbe douche de sperme sur la face. A eux deux, ce furent six jets crémeux que je reçus. Le nectar fut léché par tout le monde et circula de bouche en bouche en ultime remerciement pour cette baise mémorable.
Nous prîmes ensuite une bonne douche (ensemble, un peu serrés) et rejoignîmes Julien et Adrien, tout sourire.
— Tout est arrangé. Je vous expliquerai, glissai-je dans un sourire. Allez, tous dans le lac !
Ils étaient bluffés…
Après une baignade dans le lac ponctuée de batailles d’eau, nous bronzâmes dans la prairie. Beau spectacle, cinq ados tout nus et tout bronzés allongés dans l’herbe, offrant leur corps au soleil. Nous avons ensuite joué au volley dans une ambiance joyeuse. En fin d’après-midi, Stefan glissa cette phrase énigmatique : « Le match France-Allemagne continue ce soir dans la grange. »
Nous nous réunîmes donc dans la grange le soir venu. Nous avions amené quelques lampes à huile pour créer une lumière tamisée. Les reflets sur les peaux nues étaient magnifiques.
Patrik déclara :
— Au volley, on peut dire que c’était match nul. Nous allons maintenant voir quel pays est le plus fort en baise. Cependant il nous faut un arbitre.
Ayant déjà fait l’amour aux quatre joueurs, et étant d’humeur voyeuse, je me sacrifiai donc.
Stefan et Patrik se levèrent et s’enlacèrent pour se couvrir de caresses et de baisers. Julien et Adrien firent de même. Deux belles équipes l’une contre l’autre. Les Français prirent l’initiative. Julien descendit à genoux et délivra à Adrien une fellation lente, tendre et méticuleuse. Il sculptait le corps d’Apollon d’Adrien avec ses mains qu’ils passaient sur ses fesses, son torse, ses cuisses et ses mollets. Stefan releva le challenge et assit Patrik sur un ballot de paille. Il lui embrassa les cuisses puis lui lécha les couilles. Il le prit ensuite en bouche et lui pompa la queue par d’amples mouvements de tête. Patrik passait sa main dans la crinière blonde de Stefan.
L’arbitre était ravi. Je m’assis dans un coin pour observer les deux couples et me branlai doucement.
Changement de tactique des deux équipes. Stefan s’allongea dans la paille et Patrik vint s’allonger sur lui pour faire un 69. Les Français en firent autant à même le plancher en bois de la grange, Julien au-dessus d’Adrien. Les deux bruns firent aussi descendre leur petit cul sur le visage des deux blonds pour se faire rimmer et doigter comme il se doit.
Les deux équipes étaient douées et maîtrisaient bien tous les compartiments du jeu pour l’instant.
C’était tellement beau que je ne pouvais pas rester sans rien faire. Je passai d’un couple à l’autre caressant les dos lisses, imberbes et bronzés. J’offrais aussi ma queue à toute bouche ouverte qui se présentait.
Puis vint l’heure d’exercer les talents d’actifs et de passifs. Les bruns allaient enculer les blonds. Après les anulingus de rigueur, Julien fut pris allonger dans la paille tandis que Patrik enculait Stefan par derrière, debout, agrippé à une poutre en bois. Les deux équipes y allèrent fort. Les actifs éclataient les passifs. Ces derniers rivalisaient entre eux de gémissements et de petits mots crus : « oh, oui, baise moi, éclate moi le fion !» Tout le monde était à fond dans le trip. Je continuai à passer d’un couple à l’autre, les encourageant à coups de baisers, caresses… et bites dans la bouche.
Patrik sortit alors de Stefan pour éjaculer sur son dos et lécher le tout. Adrien éjacula juste après sur le ventre de Julien qui lui donna son sperme à manger avec les doigts. Les deux blonds se vengèrent alors en jouissant sur le visage de leurs compatriotes qui effacèrent toutes les traces et nettoyèrent les pénis avec leur langue.
Pendant ce temps, je jouis et me suçai les doigts couverts de sperme.
— Alors, qui gagne ? demandèrent tous les joueurs.
— Je crois que c’est un match nul… mais pas un zéro – zéro ! répondis-je.
Tout le monde rit et s’affala dans la paille. On avait amené quelques bières, on plaisantait, on se sentait bien, tous à poil, entre homos. C’était bon. Les yeux et les corps brillaient.
— Et si on changeait les équipe ? Proposa Stefan, qui fantasmait sur Adrien.
— Qu’en pense l’arbitre ? demandèrent les autres.
— Je pense que c’est une bonne idée… pour la beauté des échanges. Mais l’arbitre souhaiterait pouvoir intervenir de temps en temps pour pimenter le jeu, répondis-je.
— Accordé !Dirent les joueurs à l’unanimité.
Stefan se leva et prit tendrement Adrien par la main. Il admirait son corps d’adolescent naturiste. Il était toujours aussi beau. Stefan lui susurra à l’oreille : « Tu es le plus beau mec que j’ai jamais vu, je vais te donner beaucoup de plaisir. » Ils s’embrassèrent. Stefan se baissa légèrement pour lécher les tétons d’Adrien du bout de la langue. Ce dernier gémissait et sa queue raide s’inclinait davantage à la verticale, à chaque coup de langue. Pendant ce temps, Julien et Patrik avaient déjà attaqué un 69 et se bouffaient les bites goulûment. Adrien gouta à son tour la grosse bite de Stefan. À genoux devant cet énorme pieu, il semblait apprécier l’engin qui lui remplissait la bouche et se touchait avec sa main libre.
Moi, je passais de couple en couple, roulais des pelles, glissais un doigt par-ci par-là… Il était maintenant temps de s’enculer.
Adrien avait peur. Même si Stefan l’avait pourtant bien léché et doigté, il s’attendait à avoir mal. Il sollicita notre aide. Stefan s’allongea par terre, avec son pieu à la verticale. Julien et moi portâmes Adrien, en position assise, jambes bien écartées, pour l’empaler doucement. Il respirait profondément pour se détendre. Nous le calmions par des bisous. Nous le fîmes doucement glisser sur la queue dressée de Stefan. Patrik nous observait. La queue rentra plus facilement que prévu. Adrien grogna, mais nous le portions toujours pour le faire légèrement monter et descendre sur le pieu de Stefan. Adrien se transforma d’un coup :
— Ah c’est trop bon, c’est énorme, continuez !
Julien nous abandonna pour aller croquer le cul de Patrik qui l’attendait telle une petite salope, légèrement penché en avant, écartant ses fesses des deux mains.
— Oh oui, bouffe le moi !
Julien savourait cette raie complètement épilée et le petit trou rose au milieu.
Stefan faisait maintenant rebondir Adrien sur lui ; la bite coulissait. Adrien ressentait énormément de plaisir. La douleur avait complètement disparu. Il se penchait régulièrement sur Stefan pour l’embrasser.
De mon côté, j’enjambai Stefan pour offrir alternativement ma bite et mon trou de balle à lécher à Adrien. Je fis faire à ma bite un petit crochet par la bouche de Stefan, avant de me diriger vers Patrik qui était en train de défoncer Julien par derrière.
Patrik avait un large sourire sur le visage. Il n’avait jamais enculé un passif comme Julien. Son trou était souple, il se contractait à merveille sur sa queue. Patrik exprima le désir d’être pris en sandwich entre deux Français. Je réalisai que je n’avais pas encore enculé ce beau brun. Deux secondes après, j’étais en lui et y allais fort. Il reportait intégralement mes saccades en coups de boutoir dans le cul de Julien. Nos couilles oscillaient en rythme.
Puis il me vint une super idée. Je positionnai un ballot de paille à coté de nos deux amis et grimpai dessus. J’avais ainsi une vue magnifique, de haut, sur les deux amants. J’agrippai une poutre du plafond d’une main et de l’autre guidai ma bite tour à tour vers leurs bouches ouvertes.
Adrien n’en pouvait plus de plaisir. Au moment où Stefan expulsa son sperme dans son cul serré, Adrien lui jouit sur le torse et le visage. Les deux amants partagèrent ce festin crémeux avec les doigts. Je balançai alors ma purée sur les langues pendantes de Julien et Patrik. Je vins ensuite me placer entre les jambes de Julien pour le sucer. Patrik ne tarda pas à lui donner un orgasme anal. Julien se vida dans mon bouche et Patrik dans le cul de Julien.
Fin de la deuxième mi-temps. Quel match !
Nous fîmes une nouvelle pose dans la paille. Nous rigolions. Adrien raconta à quel point avoir Stefan en lui avait été fort. Il comprenait maintenant le fantasme sur les grosses bites…
Il se faisait tard. Nous étions encore électrisés, sans envie d’aller nous coucher. Julien n’avait encore enculé aucun des deux Allemands et cela le démangeait. Il dit :
— Je crois qu’en cas d’égalité, on procède aux tirs au but, n’est-ce pas ?
Je compris et déclarai :
— C’est l’équipe qui reçoit, la France, qui tire en premier.
Je fis installer Stefan et Patrik à quatre pattes, côte à côte, au milieu de la grange. Adrien décréta qu’il fallait préparer les buts et commença à lécher et doigter Stefan. Julien fit de même avec Patrik. Une fois les buts préparés, les sodomies commencèrent. Les Allemands furent bien labourés, en profondeur. Ils aimaient ça, se faire prendre ensemble. Ils mettaient à profit les quelques secondes libres entre les saccades françaises pour se rouler des pelles. Et Julien fourrait le cul de Patrik pour la première fois.
Je décrétai qu’il était de changer. Les buts se changèrent en buteurs et inversement. Les cages furent bien léchées et Patrik apprécia le cul d’Adrien qu’il pénétrait pour la première fois. Julien et Adrien gémissaient. Patrik et Stefan me regardaient. Qui avait gagné les penalties ? Je ne savais que répondre. Je déclarai :
— Match nul !
— Match nul ? répétèrent-ils, déçus. Aux chiottes l’arbitre ! Crièrent-ils tous en cœur en se jetant sur moi.
Ils me balancèrent dans la paille en riant. Ils étaient maintenant à quatre sur moi. Je fus consciencieusement sucé, léché, doigté par leurs mains et leurs langues. J’étais en extase. J’avais quatre mecs qui me faisaient l’amour. Il m’avait allongé, jambes écartées. Les bites défilèrent dans ma bouche et dans mon cul sans répit. C’était fabuleux. Chaque parcelle de mon corps était sollicitée.
Puis la tournante se figea alors que j’avais Stefan dans mon cul, Patrik dans ma bouche, la bouche d’Adrien sur ma queue et que je branlai Julien de la main. Nous jouîmes tous ensemble : les Allemands se déchargèrent en moi, les Français m’aspergèrent le visage et je me jouis dessus. J’étais heureux, comblé. J’avais vécu une nouvelle expérience dans ma vie de petit pédé. J’avais été le centre d’attention de quatre mecs qui m’avaient fait l’amour tous ensemble.
Nous nous endormîmes dans la paille, tous ensemble, les uns sur les autres, épuisés…
La fin du séjour arriva vite. Il fallait se quitter, à regret. Nous célébrâmes le départ des Allemands par notre première vraie partouze. Autant la première fois, il s’était agi de jeux à deux ou trois, autant cette fois nous fîmes l’amour à cinq, tous ensemble. Tous les corps se touchaient les uns les autres ; les doigts, les bites et les langues pénétraient les orifices qui les entouraient avec passion. C’était une vision de rêve pour chacun d’entre nous. C’était le sommet de notre jeunesse. Cinq corps superbes d’adolescents, nus, bronzés, entrelacés, se léchant, se pénétrant et se jouissant les uns sur les autres sans limites.
Les adieux, et la fin de l’été, furent tristes.
Vivement l’été prochain !