Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
PROSTITUES DE MON COEUR
Je suis allé au restaurant dans ce beau petit trou de cul velu et, vierge,
Avaler est un choix, enfin, pas toujours, mais il marque moins une fin qu'une faciale ou autre, c'est seulement une transition pour la suite : on n'est pas embarrassé par l'essuyage, les mains gluantes et collantes ...etc
Jacques, 34 ans, Montreal :
Je n'ai rien contre la prostitution ou tout simplement la vénalité : payer le prix nécessaire pour avoir un jeune à baiser, ne me dérange pas
, très sportif, je fais des poids et haltères régulièrement, je mesure 178cm , 78kg taille 42, donc une belle poitrine et de beaux biceps, de même que des cuisses bien musclées, cheveux bruns très court, yeux noirs et un super beau gros et large 19 cm, non circoncis
C'est vrai que je suis difficile...et un peu discriminant pour le choix de mes partenaires (âge, sexualité, beauté)* .
je suis gai et j'aime sucer et enculer de beaux jeunes hommes de 16 à 19 ans, minces, imberbes et, un atout de plus, de préférence hétéro, car j'aime manger et bourrer un beau trou de cul vierge.
Rien contre la prostitution ou tout simplement la vénalité :
Payer le prix nécessaire pour avoir un jeune à baiser, ne me dérange pas, j'ai un beau travail et surtout un très bon salaire, j'habite un condominium* de 5 pièces, à l'étage inférieur, il y a une piscine intérieure, douches, bain sauna, salle d'entraînement. Le luxe, quoi!
Le retournement d'andré
Est-ce c'est pour que je veille sur lui ? mon grand patron m'a supplié de prendre comme colocataire son neveu de 19 ans, il y mettait tellement d'insistance et pour satisfaire à la demande de mon patron, j'ai donné rendez-vous à son neveu André chez moi. Je lui ai fait visiter le condo et les pièces communautaires, lui ai montré sa chambre s'il acceptait mes conditions, et des conditions j'en avais.
— 75.00 $ par semaine.
— Tu es là de ton propre gré.
— Tu te nourris toi-même.
— Tu fais toi-même ton lavage.
— Tu n'amènes aucune fille ici.
— Je suis aux hommes et tu dois accepter ça.
— Moi, je peux amener des jeunes ici.
Et beaucoup plus, j'ai mis les points sur les I j'ai même ajouté, fais-toi en pas, je les aime plus jeunes que toi. Sa réponse à toutes mes exigences fut:
— Ça ne me dérange pas que tu sois une t.., je veux dire gai, moi j'en suis pas, j'aime trop les femmes pour ça, j'ai bien compris que pour baiser une fille je ne peux pas le faire ici, et même si je me fais une amie régulière, je ne pourrai même pas l'amener.
— Sans, m'en parler d'avance, NON!
— Ok, Patron!
Je me suis vite aperçu que le cher André, buvait trop et surtout aimait bien un joint, trop souvent a mon goût, mais ça, ce n'est pas de mes affaires, moi qui me douche de 2 a 3 fois par jour, lui c'était une fois par semaine et encore. Par bonheur qu'il ne transpirait presque pas, ce qui évitait les odeurs de mâle pas lavé.
Un lundi soir, il est venu me voir, pour sauter sa pension, prétendant devoir de l'argent a un ami.
— Une dette de drogue, je suppose!
— Oui et non !
— Ne commence pas ça, lâche la drogue et paie ta pension.
— Ça, ça ne te regarde pas, dis combien tu paies, pour baiser un gars?
— Je donne jusqu'à 100.00$ pour un jeune et une baise totale!
— 100.00$, Intéressant, tu veux dire quoi par baisse totale?
— C'est bien simple mon gars, embrasser à pleine bouche, sucer, en 69 et te faire enculer, bien à fond.
— Te sucé et 69, ok, mais embrasser et me faire enculer, pas question.
— Alors, paie ta part, pour rester ici et on oublie tout ça!
Il m'a donné l'argent de sa part et est parti vers sa chambre, triste et de mauvaise humeur, comme il n'avait pas assez d'argent pour sortir, il est resté dans sa chambre à écouter de la musique. Trouvant que j'avais été austère envers lui, je l'ai invité à venir prendre une bière au salon. Après quelques bières, je lui ai demandé d'allé se doucher, lui disant qu'il puait, il a ri et à été se doucher.
Il est revenu après quinze minutes au salon, une bière à la main, nu comme un ver, bandé raide et il me dit:
— Tu paies combien pour ça?
Je n'en croyais pas mes yeux, il avait une queue large et de plus de 18 cm et des belles grosses couilles pendaient sous ce beau gros morceau, je regardais fixement cette superbe belle grosse queue, mangeable et bien plus et il me répéta :
— Tu paies combien pour ça?
— Tu le sais combien!
— Sans embrassade et enculage, combien?
— Rien, le total ou rien!
Il s'est assis, penaud de ma réponse, buvant sa bière, sans rien dire, je suis allé prendre ma douche à mon tour, à mon retour au salon, il me dit :
— Tu demandes toujours que je fasse tout?
— Oui tout!
— J'aurai le goût de me faire sucer, même de te sucer sans avaler, mais pas embrasser un homme et encore moins de me faire enculer, ça doit faire mal et sacrément!
— Écoute-moi bien André, je ne veux surtout pas te blesser, je veux jouir et te faire jouir autant que moi, oui, une queue dans le cul ça fait mal les premières minutes et après tu découvrirais une jouissance inconnue à de toi jusqu'à ce jour.
— Minute là, je suis persuadé que tu as une grosse queue, large et longue en plus!
— Oui, j'ai un gros 19 cm "uncut" et dis toi, qu' un beau trou de cul bien mangé, accepte facilement une queue après.
— Uncut, ca veut dire quoi?
— Ca veut dire que j'ai un long prépuce qui recouvre mon gland.
— OK, comme moi et tu disais que tu manges un trou de cul!
— Oh, oui, j'adore lécher, manger un beau cul, y entrer ma langue bien à fond.
— T'es sérieux tu mettrais ta langue dans mon cul, WOW... et... si je décide d'arrêter, vas-tu arrêter ?
— Promis!
— D'accord, je veux bien essayer!
— Approche-toi de moi!
— Ferme la lumière, ça me gêne!
— Va chercher deux bières et à ton retour, ferme la lumière et viens t'asseoir près de moi!
Il revint, il ferma la lumière et il s'est assis près de moi, doucement je me suis mis à le caresser, passant ma main sur ses mamelons, lui pinçant le bout, il a gémi, j'ai descendu ma main pour voir l'état de sa queue, qui étais déjà bandée raide, je me suis mis à lui manger les oreilles, le cou et doucement mes lèvres sur les siennes, lui mordillant la lèvre inférieure, tout en lui caressant les couilles et la queue hyper bandée, j'ai osé essayer de pousser ma langue dans sa bouche, incroyable mais sa bouche s'est ouverte immédiatement, il me mangeait la langue, il se mit à m'embrasser comme rare jeune mec embrasse.Il s'ensuivit un échange extraordinaire de salive, puis il me poussa sur le divan, embarqué sur moi, il se mit à me manger les mamelons, me les mordant fortement,
le goût du sexe l'emportait soudain sur ses préjugés,
puis carrément, il est descendu à ma queue, il engouffra au complet mes 9 pouces dans sa bouche chaude, chaude, il suçait comme un dieu grec, j'ai du me retenir 3 a 4 fois pour ne pas éjaculer, je me suis ressaisi pour lui dire de venir s'étendre dans mon lit.
Toujours un peu réticent, en pleine lumière maintenant, il a ouvert la bouche pour laisser pénétrer ma langue et recommencé un baiser à pleine bouche comme un vrai pro, pour finir cela en bon 69, se suçant avidement nos queues bandées raides, moi je lui mangeais ses belles grosses couilles, il en fit autant, je lui ai relevé les jambes pour pouvoir lécher son beau trou de cul velu, il se mit à gémir et, à ma grande surprise, il me faisait tout ce que je lui faisais, il était très bon élève, avec un professeur d'expérience lol. Il suçait comme s'il avait toujours fait ça, tellement bien que je sentais arriver l'orgasme. Avaler est un choix, enfin, pas toujours, mais il marque moins une fin qu'une faciale ou autre, c'est seulement une transition pour la suite : on n'est pas embarrassé par l'essuyage, les mains gluantes et collantes...etc Je lui ai éjaculé dans la bouche, il ne s'y attendait pas, mais je le sentais avaler aussi vite qu'il le pouvait et lui-même, il se vida dans ma bouche, moi à mon tour j'ai dégusté son sperme, en gardant dans ma bouche, pour lui faire goûter au sien, l'embrassant à pleine bouche pour aussitôt, lui relever les deux jambes sur son beau torse. Je suis allé au restaurant dans ce beau petit trou de cul velu et, vierge, plus je lui mangeais, plus je sentais son sphincter s'ouvrir et lui gémissant fortement, mon index à vite trouvé son chemin et deux doigts bien lubrifiés qui l'ont fait crier, je lui ai bien remangé son trou et je me suis positionné à son cul, il m'a dit:
— Fais-moi pas mal!
— Sois sans crainte, les deux, trois premières minutes, tu vas avoir une certaine douleur, car ton beau cul est vierge, je vais y aller doucement sois sans crainte, surtout qu'après, tu vas connaître une jouissance inespérée, quand ma queue va te frotter ta prostate.
— D'accord, mais si je dis d'arrêter. Tu arrêtes, OK ?
— Promis mon beau!
Doucement je lui ai poussé ma grosse queue de neuf pouces dans le cul, il criait; plus il criait, plus ça me rendait sauvage pour lui défoncer son beau petit trou de cul vierge. Il en pleurait, je ne me suis pas arrêté, il cessa ses larmes, pour lâcher des petits gémissements de jeune mâle en chaleur, découvrant le sexe chaud entre hommes, la vraie jouissance, il en à bandé raide, je me suis mis à vraiment lui défoncer son beau trou de cul si serré et si chaud, il se mis à se la masturber, pendant que je l'enculais a fond et il lâcha un cri OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH JE VIENS, il lâcha une quantité de sperme incroyable, de l'abdomen a sa face, il en avait partout, j'ai accéléré mon va et vient viril, pour lui remplir les entrailles de mon sperme épais et abondant, pour aussitôt lécher son dégât, sur ce si beau corps, et sa face, pour le prendre par surprise et l'embrasser à pleine bouche, lui faisant goûter son propre sperme.
Je n'ai pas demandé plus, pour sa première fois, voulant le laisser libre de réfléchir et de prendre sa propre décision, je ne pouvais le forcer plus. Rien n'à sorti durant la semaine de cette soirée là, sauf que le vendredi soir suivant, au moment de payer sa pension pour la semaine, il vint me voir et me dit :
— Jacques j'aurais une proposition à te faire !
— Quoi mon bel André?
— Bien, disons que, que...
— Que quoi, si tu baises avec moi ?
— Oui, c'est ça, ça voudrait dire que je n'aurais plus de pension a te payer ?
— Si tu fais tout, tout comme convenu, j'ai bien dit tout!
— Je sais, t'embrasser, te sucer en 69, me faire pénétrer par derrière, je le sais!
— Exactement et alors!
— Un soir par semaine!
— Une nuit complète dans mon lit!
— La nuit complète ?
— Oui, mon coeur !
— eh ben d'accord Jacques!
— André, je vais te poser une question directe et je veux, que tu sois franc, très franc!
— Va-y, Jacques!
— As-tu aimé ça ou tu le fais juste pour l'argent...
— C'est gênant de répondre à ça!
— Dis la vérité, c'est tout.
— L'argent entre en ligne de compte, pour faire les paiements sur mon automobile, mais je dois te dire, que je n'avais jamais autant joui de ma vie et cette semaine je me suis masturbé, tous les soirs, en me revoyant dans ton lit, tu suces tellement bien et avales en plus, il n'y pas de fille qui suce si bien, me faire enculer, ça a été douloureux, mais suivi d'une super jouissance...
— Alors tu as aimé ça, dis-le!
— Oui, oui, j'ai aimé ça.
le deal
— Je vais te faire un marché, tu changes de chambre, tu couches avec moi tous les soirs et tu n'auras plus de pension à me payer, tu sera nourri, lavé et même vidé...
— Sérieux, tu vas laver mon linge et je serai nourri ?
— Exactement et même te laver personnellement de la tête aux pieds, massage compris et en plus comme tu le sais, je rencontre plusieurs jeunes mecs, tu pourras même les enculer. Mais si tu te permets des sorties hors d'ici, tu dois me le dire et toujours te servir de condoms.
— Marché conclu, je change mes affaires de chambre tout de suite, car j'ai les couilles bien pleines et je n'ai surtout pas le goût de me masturber et en plus tu pourrais louer la chambre que j'occupe à un jeune gars de 17, 18 ans. Que nous pourrions enculer tous deux.
— Il y a bien mieux que ça, à faire, le prochain jeune que je vais amener ici, nous finirons à trois, tu l'encules et je t'encule en même temps, tu va avoir le plus grande jouissance de ta vie.
Il a couché dans ma chambre, nous nous sommes endormis très tard et crevés, surtout les couilles vides à sec. En peu de temps, c'est lui qui prenait l'initiative, en m'embrassant et qui en voulait encore et encore plus.
Quelques semaines plus tard, je louais de nouveau la seconde chambre à un nouvel apprenti, beau grand blond de 18 ans, encore straight (hétéro), pas pour longtemps. Car André le voulait autant que moi, si non plus et nous l'avons eu son beau petit trou de cul vierge et très velu de beaux poils blonds. Mais cette nuit à trois mérite un récit complet, à venir ci-dessous...
* je sais que c'est injuste pour les auitres...