Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Les blogs...
Is Drugging a Guy Before Barebacking Him in Gay Porn Hot or Not?
This sequence was released a couple of weeks ago and after watching the trailer and learning more about the scene, I originally deleted the content and decided not to promote the scene at my blog but tell the story.. The reason for this is because the guys spike a vodka drink before giving it to Matt (Matthew Keading) and they make sure he drinks the entire contents of the cup. Once Matt has passed out, the guys pass him around and use his ass for their barebacking pleasure. I know that the guys involved in this scene consented to what went on prior to the filming taking place, but I was uncomfortable with the concept, because if this happened in reality, then there’s no consent for the guys to fuck, let alone discussing whether or not to have bareback sex.
The victim speculates that his acquaintance drugged him so that he would not resist sexual assault.
Although his memory is vague, the victim recalls startling and vivid images of the attack.
"I remember him pulling my pants down, and then he was saying how he was going to (ejaculate)," he says. "I don't know if I pushed him away or elbowed him, but I did something. I know that he left, and then he came back. I don't remember the time period, but then I remember wiping (ejaculate) off the floor."
" Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, et je m'étonne de cet enlèvement absolument pas nécessaire puisque j'aime la queue et j'aurais accepté soumission et gang bang..."
"...J'ai entendu des récits de mecs ou de filles droguées et baisé(e)s, mais ils étaient quasi incapables se se souvenir de ce qu'on leur a fait subir. Moi je sentais tout, je mémorisais tout Je trouve que c'est mieux. Par contre le poison qu'on m'avait inoculé m'ôtait toute volonté et m'empêchait de parler, crier, me plaindre"
J’ai rencontré Marc (on va l’appeler comme cela pour l’histoire car en fait je ne connais même pas son prénom) un matin en sortant de boîte pas très loin de la place Clichy, dans laquelle je venais de m’éclater pendant quatre heures à danser au rythme de la Techno et de la House. En sortant, alors que le jour commençait à poindre, un mec m’aborda au moment où je montais dans ma voiture. En lui jetant un coup d’œil, je me rendis compte que j’avais croisé son regard plusieurs fois dans la soirée mais sans plus. Il était quelconque, dans la quarantaine, avec un léger embonpoint, pas trop dans mon genre. Il me demanda si je pouvais le déposer à Asnières et comme c’était ma direction, je lui répondis oui. Il me guida alors pour arriver jusqu’à chez lui. Un pavillon de banlieue au fond d’une impasse. Au moment de le déposer, il me proposa de venir boire un verre chez lui pour me remercier. Moi je n’avais qu’une envie, c’était d’arriver le plus vite possible chez moi pour me pieuter, d’autant que j’avais déjà pas mal picolé. Malgré tout, et devant son insistance, j’acceptai son offre.
Il me fit entrer et m’installa dans un canapé. Le décor était sobre, sans trop de décoration. Il sortit alors une bouteille de whisky et me servit un verre. La discussion s’engagea sur des banalités et je sentais la fatigue monter de plus en plus, ainsi qu’une envie de pisser. Je lui demandais alors si je pouvais emprunter ses toilettes, ce qu’il m’autorisa. Après m’être soulagé, je revins dans le salon et nous reprîmes la discussion, jusqu’au moment où je me suis senti partir. Ma vue commença à se brouiller, mes oreilles à bourdonner et je ne sentais plus mes muscles, bien qu’entièrement conscient. Plus le temps passait et plus je me rendais compte qu’il m’était difficile de parler. Je comprenais tout ce que me disait le mec mais j’étais comme dans un état second. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que je me lève et que je parte mais c’est comme si mon corps ne répondait plus. Enfin presque car lorsque Marc me fit remarquer qu’il faisait chaud et que je ferais mieux de retirer mon pull, je lui souris béatement et m’exécutai.
Puis il se leva et débarrassa la table basse qui se trouvait devant nous. Il me regardait en rigolant et en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble, tout en me resservant un verre que je pris inconsciemment. Il quitta la pièce quelques instant pour revenir avec un sac de sport qu’il déposa à côté de la table maintenant vide. Puis il s’approcha de moi et d’une voix basse, m’ordonna de retirer mon t-shirt, ce que je fis. Il se mit alors à me caresser les seins en malaxant mes tétons entre ses doigts. Je le laissais faire, incapable de réagir. Au fur et à mesure, ses caresses se firent de plus en plus brusques et son souffle devenait de plus en plus rauque. Son sourire s’était transformé en un espèce de rictus et ses ordres retentissaient dans ma tête.
— Lève et toi et allonge toi sur la table!
Docile, je m’allongeai le dos sur la table, comme un pantin. Celle-ci était assez grande pour que je puisse m’y installer de la tête aux reins. Il s’empara alors du sac et l’ouvrit pour en sortir des cordelettes, à l’aide desquelles il m’attacha les mains et les chevilles aux pieds de la table. Dès lors, j’étais vraiment devenu son prisonnier. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de moi et aucune résistance n’était possible. Il se recula et sortit un appareil photo de son sac. Il prit quelques clichés tout en se caressant la bite au travers de son pantalon.
Puis il attrapa ma ceinture qu’il défit prestement ainsi que les boutons de ma braguette. Il fit glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles, puis mon slip. Au fur et à mesure qu’il me déshabillait, il prenait des photos. Dans le silence de la pièce, on n'entendait plus que son souffle qui s’accélérait et le crépitement de l’appareil. Une bosse s’était formée au niveau de son entrejambe. Nu, attaché sur la table, je le regardais alors se mettre à poil doucement, le sourire aux lèvres. Lorsqu’il baissa son pantalon, une grosse queue jaillit. Elle est bien droite et bien grosse, couverte de veines, le gland bien décalotté. Il se masturba quelques instants puis s’approcha de moi et se positionnant au dessus de ma tête me présenta son cul.
— Lèche moi la rondelle! Enfonce ta langue dans mon trou!
Je fis ce qu’il me demandait sans réfléchir et lui nettoyai sa rondelle avec ma langue. Pendant ce temps, il attrapa ma bite et mes couilles et commença à jouer avec. Puis il se releva et disparut un moment pour revenir avec une bombe de mousse et un rasoir.
— Je vais te faire une beauté. Tu vas te retrouver avec des couilles de nouveau né!
A ces mots il répandit de la mousse sur mes poils pubiens et ceux de mes couilles et me rasa. Puis je sentis le rasoir remonter sur mon torse et sous mes aisselles, puis descendre sur mes cuisses. Il était en train de me raser entièrement et moi je ne disais rien, plongé dans cette espèce de léthargie consciente : objet indispensable à ce qui se passait et allait se passer j'étais cependant témoin et non acteur. Lorsqu’il eut terminé, il me détacha, finit de me déshabiller et m’ordonna de m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais de nouveau ligoté mais cette fois dans l’autre sens, ne pouvant lui refuser mon cul. Je sentis de nouveau le rasoir me parcourir pour éliminer tous mes poils. Alors qu’il me rasait la rondelle, je sentis un doigt s’enfoncer en moi.
— Putain, tu vas avoir un cul d’enfer! Le menthol de la mousse à raser me faisait un effet douloureux et excitant*à la fois sur la muqueuse rectale.
Lorsqu’il eut terminé, je l’entendis fouiller dans son sac. Il s’approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il me fit ouvrir la bouche et y enfonça sa bite.
— Vas-y, pompe moi la queue! Vide-moi les couilles!
Sa bite était énorme et j’avais bien du mal à écarter les lèvres pour la faire entrer. Il m’attrapa alors par la nuque et me baisa la bouche. Son gland venait buter au fond de ma gorge à chaque assaut. Après quelques va-et-vient, il se retira et je sentis son sperme s’écraser sur ma figure en de grands jets. Alors que je sentais le sperme couler le long de mes joues et sur ma bouche, il introduisit un objet entre mes lèvres. Au début je pensait que c’était de nouveau sa bite, mais bien vite je compris qu’il s’agissait d’autre chose quand je le sentis me fixer une lanière derrière la tête. J’étais complètement à sa merci, attaché sur la table, les yeux bandés et la bouche pleine, le cul bien offert.
Je sentis alors qu’il me passait une crème sur le cul, jouant avec ma rondelle. C’était froid mais à priori, cela facilitait la pénétration car je sentais ses doigts me pénétrer un à un. Il était en train de me travailler le cul et devait sûrement utiliser un gel. Lorsqu’il décida que j’étais prêt, il retira ses doigts et je sentis s’enfoncer un objet. Le truc devait être énorme car malgré mon état de coma, je ressentais la douleur. Après quelques minutes, je sentis le gode (ou autre) glisser dans mes entrailles.
— Et voilà petite pute tu es prête! Ça va vraiment être ta fête et mes potes vont se régaler! Tu vas rester comme ça bien sagement le temps que je revienne avec eux. Et après tu auras intérêt à obéir. Tu feras tout ce qu’ils voudront!
Je l’entendis se rhabiller et partir. Il me laissa seul et, très fatigué, je finis par m’endormir sans m’en rendre compte.
Lorsque je me suis réveillé, j’avais complètement perdu la notion du temps et la première chose que je ressentis fut une sensation bizarre. J’avais beau essayer d’ouvrir les yeux mais je n’y voyais rien. Une douleur me lançait en provenance de mes fesses et je ne pouvais plus bouger les lèvres. Un moment de panique s’empara de moi et je me demandais alors si je ne dormais pas encore. Une douleur vive aux poignets et aux bras me fit comprendre que non. Je ne compris pas de suite la position dans laquelle je me trouvais mais je finis par comprendre que j’étais allongé sur une table, les poignets et les jambes attachés. Ma panique augmenta encore plus lorsque je voulus crier et que je n’entendis aucun son de ma bouche. On m’avait aussi rempli la bouche pour me bâillonner. Plus j’essayais de me débattre et plus la douleur était vive aux poignets. Je tentai alors de me calmer et de réfléchir. Où étais-je? Quelle avait été ma dernière destination? Et comment j’avais fait pour me retrouver dans cette situation. Petit à petit, les souvenirs mes revinrent en mémoire. Ce type que j’avais ramené et qui m’avais offert un verre.
Tout à coup, j’entendis une porte qui s’ouvre et des pas. Le bruit d’un interrupteur que l’on actionne mais toujours le noir complet pour moi. Et puis sa voix:
— Regardez les gars ce que je vous ai préparé! Vous allez pouvoir vous éclater.
Je l’entendis se rapprocher de moi et je sentis une main se plaquer sur mon cul et commencer à me malaxer les fesses.
— Putain de cul qu’il a. De le voir se trémousser hier soir en boîte, j’en ai eu la gaule toute la nuit.
En guise de réponse je tentais de bouger pour lui faire lâcher prise mais le salaud savait que je pouvais rien faire et se mit a rire.
— Bouge tant que tu veux, ça nous excite. Faut que je te dise que t’es bien accroché et que tu risques pas de te sauver. On a envie de ton cul et rien ne peut nous empêcher de jouer avec.
Sa main était toujours sur mon cul et ses attouchements se faisaient de plus en plus précis. Elle glissait le long de ma raie occupée par un gode pour passer entre mes jambes et venir me saisir mes couilles pour les malaxer. La douleur qu’il m’infligeait me forçait à resserrer les jambes, mais cela m’était impossible. J’étais impuissant et il en profitait. Son manège dura un moment. Son souffle s’accélérait à mesure que ses mains me pétrissaient. Mes couilles me faisaient mal d’être serrées de la sorte et plus je tentais de me dégager, plus il me pétrissait.
Je pensais qu’il allait alors ce calmer mais je fus surpris lorsque je reçus une claque sur les côtes. La douleur fut vive et vint se rajouter aux autres. Mais je n’étais pas à la fin de mon supplice et d’autres suivirent un peu partout. Je crois bien qu’aucune partie de mon corps ne fut épargnée. J’avais les fesses qui brûlaient à mesure que les claques pleuvaient. Je n’en pouvais plus, il dut le ressentir car tout s’arrêta aussi vite que cela avait commencé.
— Alors les gars, qu’est-ce que vous en pensez? Et en plus, il est entièrement rasé! Et le plug qu’il a dans le cul doit lui avoir ouvert la rondelle un max.
— Putain, le pied. Moi qui n’a pas eu de plan depuis une semaine, je vais lui faire sa fête. La salope, regarde moi ça. J’ai déjà la queue qui gonfle.
Je sentis alors des mains sur mes fesses qui se dirigèrent ensuite vers mes couilles et autres parties de mon corps.
— Retire lui son plug que je vois sa rondelle bien écartelée, et que j’admire son cul.
— Ouais et moi je lui vire son baîllon. J’ai trop envie d’y enfoncer ma bite.
— Allez-y les gars il est à vous. Moi je vais prendre quelques photos.
— T’inquiète, on va lui faire sa fête.
Je sentis alors que l’on me retirait ce que j’avais dans la bouche et pus alors respirer un grand coup. Le répit fut de courte durée car très vite, j’entendis descendre une braguette et un gland se positionner et forcer mes lèvres pour pénétrer ma bouche.
Je crus hurler de douleur lorsque l’on me retira d’un coup sec le plug que j’avais dans le cul, tellement la douleur fut vive. Mais de ce côté-là aussi le repos fut bref. Des doigts se mirent à me fouiller le cul et je les sentais glisser facilement. Je devais avoir le cul béant.
— Putain c’est plus un cul qu’il a c’est un hall de gare. Je viens de lui enfoncer quatre doigts sans problème et il y a encore de la place. Il va me bouffer la main cet enculé.
— Ouais et moi il est en train de me bouffer la queue entièrement cette salope. Un vrai trou à bite. Vas-y, fiste-lui le cul, j’suis sûr qu’il n’attend que ça.
— Tu m’étonnes, il me l’avale entièrement. Je suis en train de le défoncer avec le poignet et ça glisse comme dans du beurre. Putain Marc, tu nous l’as super bien préparé.
Je savais alors maintenant que j’avais entièrement la main de celui qui était derrière moi dans mon cul et qu’il m’enculait avec son avant bras. La douleur était forte mais je ne pouvais rien faire ou dire, toujours attaché et une bite me pilonnant la gorge, à la limite de l’étouffement.
— Marc, passe-moi la bouteille de whisky que je lui enfonce dans l’cul.
L’autre retira alors sa main de mes entrailles et je sentis alors le goulot se présenter sur ma rondelle et coulisser en moi. À mesure que la bouteille me pénétrait sans trop de problème, je sentais mes sphincters s’écarter pour laisser le passage à ce gode improvisé. Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, mais là c’était autre chose et je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverait. Et pourtant, après quelques minutes, je sus que la bouteille était bien en moi car celui qui me l’avait introduite était en train de m’enculer avec.
Je sentis celui que je suçais accélérer le mouvement et il ne tarda pas à avoir la bouche remplie de sperme. Après m’avoir forcé à nettoyer sa bite, il se retira et laissa la place qui fut de nouveau prise d’assaut. Mais cette fois, la bite qui se présenta était molle. On me força à ouvrir la bouche et je fus surpris lorsqu’un jet chaud se mit à couler. On était en train de me pisser dans la bouche et sur la gueule. Au milieu des rires, j’entendais le crépitement de l’appareil photo.
Ils jouèrent avec moi pendant un temps que je suis incapable de définir et je ne sais pas combien de mecs me sont passés dessus. Lorsqu’ils en eurent assez, ils me firent boire quelque chose et je retombai de nouveau dans les vappes. Lorsque je me suis réveillé, j’étais dans ma voiture. Mon corps n’était que douleur et j’avais bien du mal à remettre les choses en place. Petit à petit, j’essayais de reconstruire les dernières heures de ma vie. Après avoir récupéré un minimum de mes capacités, je décidai de rentrer chez moi. Je n’avais qu’une envie, prendre une douche pour faire le point.
Arrivé chez moi, je me déshabille rapidement et là je m’aperçois que je suis entièrement rasé. Ce que je pensais avoir été un rêve ne l’était pas. Cela se confirma quelques jours plus tard lorsque je reçus une enveloppe contenant des photos. Je me suis alors branlé comme un fou en les regardant... Cette aventure était devenue un fantasme
FIN
Matt