Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

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mouloud

J’ai mis du temps à l’accepter, mais, aujourd’hui, le fait d’être l’amant de mon frère ne me pose plus de problème de conscience. Certes, notre liaison reste secrète mais j’ai fini par tolérer pas mal de petites choses.

Par exemple : Mouloud m’a présenté plusieurs de ses amis et deux d’entre eux craquent littéralement pour moi (où pour ma bite). Ca m'a fait des ouvertures mais je tiens absolument à ce que les baisés ne communiquent pas entre eux et cela a entraîné quelques petits mensonges. Hier soir, nous étions couchés dans mon grand lit, lorsque mon frère m’a parlé de ses amis.

— Rachid est fou de toi! Il te trouve craquant.

— Arrête! (putain il fait chier !)

— Je t’assure que c’est vrai.

— Peut-être mais ça ne m’intéresse pas…

— Et ça, ça ne t’intéresse pas non plus…

Il a roulé sur le ventre et a claqué sa main sur ses fesses. J’ai souri.

— Ça n’a aucun rapport, Mouloud !

— Ah non?!

— Tes amis ne savent pas au moins… pour nous?

— Je sais garder un secret, mon frère! En plus, je veux te garder pour moi.

— Je finirai bien par me marier, Mouloud !

— Tu niques encore des filles?

— Tu n’as pas le monopole. Ma bite est libre, non ?

— Oui, mais… enfin… tu ne préfères pas les mecs ? (au fond il aimerait choisir ses rivaux !) 

— Je n’en ai baisé qu’un, mais il est plutôt pas mal!

 

Il m’a foutu un coup dans l’estomac et s’est rué sur moi pour m’embrasser. Je lui ai rendu son baiser. D’habitude, mon frère me suce longtemps pour commencer… Là, nous avions tout de suite envie de plus… Mon gland a caressé sa raie. Doux plaisir. Je n’en peux déjà plus et j’ai envie de le posséder. Je glisse la main vers une capote posée sur la table de chevet. Il retient mon bras et sans dire un mot dirige l’extrémité dure de ma bite sur son œillet serré. Je m’enfonce doucement en lui. Il gémit doucement. J’adore ce petit couinement doux et tendre qui me rappelle combien il est agréable de lui donner du plaisir.

— Oh oui, baise-moi…

Le temps s’effilocha doucement tandis que je le limais avec passion. Je sortais peu de lui et j’y rentrais avec sensualité. J’ai tourné sa tête pour voir la jouissance s'épanouir sur sa figure. Il a souri.

— Vas-y! Vas-y! Baise…

J’ai commencé à lui prodiguer des mouvements plus amples et, d'instinct, il s’est mis à calquer ses propres mouvements sur les miens. Il respirait de plus en plus fort et allait maintenant au-devant de mon sexe. Il gémissait en venant s'empaler sur ma bite prête à exploser. C’était bien trop tôt pour que je jouisse. J’ai calmé le jeu, mais mon frère ne l’entendait pas de cette oreille. Il donnait des coups de fesses lorsque je tardais à le pénétrer. Ses mains se posèrent sur mes reins, les saisirent avec force, guidant mon mouvement en lui. Il imposa son rythme fougueux et dynamique.

— Pas trop vite, chérie ! lui ai-je demandé.

— Déjà prêt?

— Si tu accélères encore, je jouis…

— Moi, je jouis déjà… du cul!

Je l’ai donc laissé monter vers un orgasme qui se devinait à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains sur mes hanches. Il perdait pied et son râle m’encouragea à bien le baiser comme il le désirait.

Les yeux clos, il cria son plaisir alors que l'orgasme l’envahissait. Il est difficile pour un « actif » de comprendre le plaisir extrême du sodomisé. Mouloud, lui, jouit plus fort du cul que de la bite. Sa jouissance déclencha la mienne et j’ai planté ma bite au plus profond de son cul dilaté. De puissants jets de sperme, brûlants et interminables, ont inondé son cul serré. Chaque jet semblait lui donner un nouvel orgasme. Dans un dernier sursaut d’excitation, je l’ai pilonné avec force. Il m’a exhorté de continuer. Enfin, je me suis effondré sur son corps bouillant. Nous sommes restés un moment, immobiles, profitant de notre plaisir.

Lui et moi aimons que bite et cul baignent longuement dans mon sperme.  

Il a fait rouler son corps sous le mien pour me faire face. Sa bouche a sucé la mienne et j’ai vu le bonheur dans ses yeux de braise.

C’est toujours si bon avec toi!

— On n’aurait pas dû sans capote!

— Arrête! Il n’y a qu’avec toi que je fais ça… Tu le sais!

— Je l’espère, oui.

Il colla à nouveau ses lèvres aux miennes et me roula le patin le plus tendre et le plus passionné. C’était si excitant que mon sexe se raidit très vite. Il me sourit puis posa sa tête dans le creux de mon cou. Ce câlin était attendrissant. Il me fit fondre mais certainement pas débander...

— C'est merveilleux de baiser, non?

— Moi, je te fais l’amour, Mouloud! C’est avec tes amis que tu "baises"!

Il planta ses grands yeux au fond des miens et passa rapidement au-dessus de moi. Son cul se posa doucement sur ma queue déjà dure.

— Fais-moi encore l’amour!

— Tu es insatiable, toi!

— Tu n’aimes pas me faire l’amour? dit-il d’un air boudeur.

— Bien sûr que si! J'ai souvent envie de faire l'amour avec toi! Seulement, tu es très gourmand…

— Tu as dit «très»… pas «trop»!

J’ai ri. Je lui ai caressé le ventre et j’ai dit:

— Tu es adorablement excitant quand tu fais l'amour, c'est très bon et doux, et j'ai joui très fort en toi!

— Quand tu entres en moi, c’est trop bon!... Rien qu’en te sentant entrer, je jouis! J’ai presque tourné de l’œil tellement c’était bon… J'ai repris conscience quand j'ai senti que tu jouissais en moi. J’adore te sentir gonfler dans mon ventre et coulisser jusqu’au fond. Putain, tu m'as rempli de sperme chaud. Hummm... Je suis plein de toi!

— Je ne sais pas si c’est bien prudent.

— Nous avons fait le test, mon amour. Je te jure que tu es le seul à qui je permets ça… J’en ai trop besoin de ton jus… Je te veux encore dans mon cul ! Ce que tu es raide!

Je sentais à nouveau ma bite palpiter contre ses fesses. Saisissant mon membre raide, il le caressa doucement, amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction. Il s’abaissa et le suça avec application.

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— Il n’y a pas que moi qui suis très gourmand…

Nous étions repartis pour un tour. La main de Mouloud caresse ma bite tout humide de ma dernière jouissance et il la manipule avec tant de douceur qu’elle gonfle à vue d’œil. Elle se tend et j'ai vraiment envie de le… baiser. J’ai beau lui dire et lui répéter que c’est de l’amour que je lui prodigue, il y a des moments où il me rend «animal».

— Mets-toi sur le ventre!

Il s’exécute et j’admire la rondeur de ses fesses brunes. J’écarte ses lobes et j’embrasse sa rosette palpitante qui a un léger goût de sperme. Mon sperme! On n'est pas pour rien les fils du même père : même odeur (parfum !), même aspect. Je devrais trouver ça dégoûtant, mais l’excitation rend tout différent. Nous nous plaçons en 69. Moi, je m’occupe de son trou et lui de ma bite. Ma langue titille le pourtour plissé de ce qu’il appelle son "puits d’amour". Hum, en effet c'est une vraie pâtisserie !  Ma bite coulisse dans sa bouche et enfle à faire mal. J'halète de plus en plus fort et il découvre ainsi le plaisir qu’il me donne. D'une main, il me masturbe doucement en continuant à me sucer. La pointe de ma langue s’enfonce délicatement dans son trou serré. Je me demande parfois comment il peut être encore si serré à force de pénétrations. Lui aussi commence à respirer plus fort, l'excitation le gagne et il gémit. Ma bite touche le fond de sa gorge et il reste ainsi quelques instants, savourant les palpitations de mon sexe dur. Sa langue joue autour de ma bite, augmentant encore mon plaisir. Ma bouche suce son trou et aspire et ma langue darde en alternance. Nous nous connaissons si bien qu’il nous est facile d’amener l’autre là où nous désirons l’amener. Mouloud sort ma bite de sa bouche et la lèche, la suce, trouvant rapidement les endroits où je réagis le plus vivement. Il caresse tout son visage avec mon sexe, puis l'avale à nouveau. Je regarde un instant la rosette brunâtre qui palpite en attendant l’estocade. Très vite, mon frère va me supplier de le pénétrer et je vais le satisfaire illico. Le plaisir monte en moi, je retiens difficilement mon orgasme. Pourtant, il le faut. Mouloud veut que je l’encule. C’est un besoin, une nécessité… Ce qu’il a avec moi il ne va pas le chercher ailleurs et c’est, pour moi, une satisfaction.

— Arrête! Je sens que je vais te jouir dans la bouche! C’est ce que tu veux?

— Non! Prends-moi… Vite, vas-y…

Nous changeons rapidement de position. Couché sur le dos, il guide ma bite à l'entrée de son cul. Il respire fort. Moi aussi. Je le sens fondre sous moi, s'ouvrir pour laisser le passage à ma bite tendue comme un arc. Il attrape ma nuque et me plie vers lui. Il pousse sa langue dans ma bouche au moment où mon gland pénètre son trou. Il se cambre, augmentant brutalement ma pénétration. Mouloud est devenu un expert du sexe. Il connaît le moindre geste qui permet d’améliorer, d’augmenter une sensation divine. Il respire un grand coup.

— Tu as mal?

J’ai toujours tellement peur de le blesser.

— Tu rigoles?! C’est délicieux, oui!

Je sors un peu ma bite, la regarde au bord des plis de son anus maintenant ouvert et ourlé, puis je la replonge avec tendresse. Mouloud me veut en lui et lorsque j’essaie de sortir à nouveau, de ses fesses il suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en lui.

— Reste! Tu es bien dans moi, non?

— Très bien!

Les reins cambrés, la tête rejetée en arrière, tout son corps se tend vers mon sexe qui le pénètre. Je m'enfonce dans son cul parfaitement lubrifié.

— Reste comme ça, ne bouge plus! me demande-t-il.

— Possessif, hein?

Je l’embrasse. Planté en lui, je ne fais plus un mouvement. Je lui donne ce qu’il désire. Nous restons ainsi un long moment.

— Baise-moi… Ne me fais pas l’amour… Baise-moi!

Sa supplique est convaincante. Je le tiens par les hanches et je commence à lui donner des coups de reins. Il se contracte chaque fois violemment et 

se met à commenter ses sensations, ses désirs, sa jouissance. Je sens que mes coups de bite l'amènent très vite à la jouissance. Je voudrais faire durer longtemps ce moment, mais son plaisir paraît tellement imminent que je ne peux pas le lui refuser. Mes yeux captent dans les siens un:

— Baise-moi à fond! Défonce-moi!

— Putaaaaaaaaaaaain que c’est booooon!

Toujours planté en lui, je le soutiens pendant qu'il reprend ses esprits.

— Fais comme l'autre jour, vide ta vessie en moi s'il te plaît ! 

— mmmmm je renâcle...booooon... Pour lui faire plaisir j'attends de pouvoir uriner...Je n'y pensais pas et puis ça m'excite à mort.

Mon urine bouillante se rue en lui.

Tu veux tout ? Tu vas tenir ?

— Ouihhh, oh mercihhhh. C'est bonhhhhhhhh.

Il gémit de contentement. Comme un con j'ai du plaisir à soulager ainsi mon envie de pisser serré ainsi dans son anneau.

Il se redresse, ma bite humide sortant doucement de son trou.

— Serre fort, ne salis pas !

— ça vahhhh.

Il cherche mes lèvres et me roule un baiser d’enfer. Il se tait, mais ses yeux ont l’éloquence du plus beau des discours. Je vais avec lui aux toilettes. Assis, pendant qu' il évacue il m'attire à lui et me suce encore. Je ne pense pas pouvoir  autant faire reculer les tabous avec un autre que Mouloud qui en fait, avec sa totale liberté, conduit nos intenses rapports

Je n’ai pas joui cette  fois mais j’ai le cœur rempli de bonheur. Mon frère

 a changé ma vie, l’a bouleversée et je lui en suis si reconnaissant.

...PS : j'ai idée que nos amours vont se poursuivre tout aujourd'hui...what else ? 

"Je continue à m’agiter en lui et soudain il jouit avec un grand cri".

son regard de braise....ses yeux qui pétillent....

charles be.

 

Sur l'urine  je projette un article

si vous avez des idées ne vous gênez pas

pour m'en faire part. Je trouve, en me forçant à y réfléchir,

que nous avons, à ce sujet, des répulsions  inculquées par

la notion occidentale et anglo-saxonne de l'hygiène. Nos mères

aussi avec cette manie de propreté des bébés (justifiée) qui a fait, dans notre inconscient de tout ce qui sort du corps, un objet de rejet.

Comme de tout ce qui est humain il y en a à prendre et en laisser !

claudio

Sam 21 déc 2013 Aucun commentaire