Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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Max. Pour Thomas c'est "Maxou"
Tony termine sa réunion de chantier. Autour de lui, une dizaine d’hommes sont réunis pour l’écouter. C’est un homme respectable et respecté. Autant dans sa vie professionnelle que privée, il a su assurer. Lorsque sa femme est morte d’un cancer, il a pris seul en charge l’éducation de leur fils Thomas. Le gamin l’a toujours idolâtré et le voilà devenu un beau gaillard de 18 ans...
— Hé Tony, y’a ton fils qui est là!
Tony est assez surpris car Thomas ne vient jamais sur son lieu de travail. Ça l’inquiète un peu... Y aurait-il quelque chose d’assez grave pour le pousser à venir sur le chantier?
— Fais le entrer, Roger!
L’ouvrier a à peine le temps de s’effacer que Thomas entre dans la caravane. Plusieurs ouvriers n’attendent pas qu’on les invite à sortir et ils sortent. Avec Tony, il reste trois autres contremaîtres et amis qui finalement sortent à l'exception de Max.
— Il se passe quelque chose? demande Tony.
— Non!
— Je ne te crois pas! Tu as eu des problèmes au «bahut»?
— Puisque je te dis qu’il n’y a rien... Je ne peux pas passer dans le quartier et venir te dire bonjour maintenant?
— Tu vois Thomas, ton père imaginait le pire! dit Max, collègue et ami du père.
— Le pire ?!! C’est quoi le pire? demande Thomas.
— Ben, qu’t’es pédé et que tu fais le tapin rue Sainte-Anne! ajoute Max en guise de boutade.
— Tu as la moitié de juste, Max! répond Thomas.
Tony aurait pu recevoir une poutre à la figure qu’il n’aurait pas été plus sonné. Il se sent fondre de l’intérieur et hésite à regarder Max, son ami de toujours. Comme il n’est pas trop con, il discerne que Thomas ne fait pas la pute mais qu’il est pédé. Très vite, il essaie de se convaincre que le «gosse» se cherche et que... Putain, qu’est-ce qu’il faut faire?
— Je vais jeter un œil sur le chantier sud! dit Max en sortant. À bientôt, gamin!
Il donne une tape sur l’épaule de Thomas et les laisse en tête à tête. C’est le silence. Silence pénible qui s’installe entre le père et le fils.
— Tu es furieux? demande le fils.
— Je... je ne sais pas...
— Je suis désolé.
— Pourquoi maintenant et ici?
— C'est sorti comme ça...
— Et Max?
— Max est ton meilleur ami il est quasiment de la famille. Je ne veux pas que tu sois le seul à savoir.
— Thomas?
— Assieds-toi pa'. Ca t'a secoué je comprends.
— Je sais ce que je dois faire...
— Je ne pense pas, ‘pa! Tu es complètement paumé. Et c’est bien compréhensible!
— (s'asseyant) Sûrement, oui.
— ( la tête basse)Je te dégoûte?
— Non.
Tony regarde son fils au fond des yeux.
— Jamais tu ne me dégoûteras...
— Tu en es sûr?
— Et toi tu es sûr d’être...
— Gay?
— Oui, c’est ce qu’on dit maintenant... Thomas, tu te trompes peut-être! Moi, je peux te jurer que je n’ai jamais rien vu en toi qui...
— Y’avait peut-être rien à voir. Tous les gays ne sont pas des folles, ‘pa!
— Mais tout de même... Il y a des signes qui ne trompent pas... Tu as eu des copines...
— Des copines, oui! Juste des copines...
— Tu t’habilles normalement. Tu as des amis normaux. Tu fais du sport...
— Je suis normal, oui, je sais! Normal mais gay!
— Tu as déjà...
— Plusieurs fois, oui. Mais, là, ces derniers temps, je vis une histoire plus... sérieuse.
— Ne me dis pas ça, Thomas. Je ne suis pas certain de vouloir entendre ça.
— Je comprends. Essaie à ton tour de me comprendre. On ne choisit pas... ces choses-là!
-- Ce n'est pas tout à fait mon avis. Tu t'es laissé aller. Tu dois te ressaisir.
Le père resta muet un moment. Il était livide.
— Si tu veux bien, on continuera cette conversation à la maison.
— C’est essentiel, oui...
Thomas regarda la détresse de son père et quitta le chantier. Il marcha cinq minutes jusqu’à ce qu’une voiture s’arrête à son niveau. La vitre glissa: c’était Max.
— Monte! Il faut qu’on parle!
Thomas monta à bord de la voiture.
— Ça va? lui demanda Max.
— Ça pourrait aller mieux... mais je fais avec! Il faut avouer que j’ai le don pour me mettre dans des situations «galère»...
— Je te ramène chez toi?
— Je préfère qu’on roule un peu...
Max roula longtemps avant que Thomas daigne ouvrir la bouche.
— Tu en penses quoi, toi, de tout ça ?
— Il y a des choses vachement plus graves.
— Heureux de te l’entendre dire! Tu devrais l’expliquer à mon père.
— C’est inutile, Thomas! Ton père en sait long sur le sujet...
Silence.
— Tu essaies de me dire quelque chose, toi!
— Exact.
— Tu m’excuseras mais je suis assez secoué et... j’ai du mal à comprendre ce que...
— Ton père et moi, nous avons eu une passion... ensemble... autrefois. Ton père aurait tout fait pour que, de ce point de vue, tu ne lui ressembles pas.
— Quoi???
—Nous sommes restés amants jusqu’à ta naissance. Lorsque tu t’es annoncé, il a préféré qu’on arrête de se rencontrer... J'ignore si après il a continué à faire des rencontres mais je crois que oui.
Thomas était soufflé. Son père bisexuel ? Il se rendit compte que la voiture roulait sur une route de campagne...
— Je vais te montrer la bicoque que je retape.
Le silence s’était à nouveau installé dans la voiture. Max regarda le jeune homme. Il était aussi beau que son père à son âge... même plus ! La voiture s’arrêta devant une vieille ferme aménagée au fin fond de la campagne.
— Tu vas voir, c’est très agréable comme endroit... et la maison est chouette! Dans peu de temps, j’aurai terminé l’installation sanitaire. La douche est déjà fonctionnelle... Après le chantier j'en ai toujours un besoin urgent. Si ça te dit !
Thomas sentait ses muscles crispés et il aurait bien apprécié un jet d’eau tiède sur son corps.
— Pourquoi pas !
— Commence ! C’est la deuxième à droite, au premier!
Thomas monta rapidement à l’étage et trouva la salle de bains. Il se déshabilla et entra dans la cabine vitrée. Il actionna la manette et l’eau coula sur sa tête et ses épaules. Savourant ce plaisir régénérateur, il se laissa glisser dans un monde de douceur pour échapper à une réalité trop difficile à cerner. Il entendit frapper à la porte et il vit entrer Max.
— Ça t’embête si je prends ma douche aussi ?
— Euh... non!
Max se déshabilla. Thomas constata que Max, malgré ses 45 ans et les tempes quelque peu grisonnantes avait un corps bien fait et légèrement hâlé. Le regard de Thomas fut irrésistiblement attiré par son sexe, d'une longueur largement supérieure au sien. Max entra dans la cabine et son corps frôla celui du garçon.
— Tu as fait l’amour plusieurs fois déjà avec des garçons ? Qu’est-ce qui t’attire chez un homme ? La grosse bite ? (il rit)
Assez gêné, Thomas essayait de bredouiller quelques mots en réponse aux questions de Max.
— J’ai... enfin... je n’ai pas...
Il n’arrivait pas à se concentrer sur ce qu’il voulait dire, tentant désespérément de camoufler une érection qu’il n'arrivait pas à contrôler. Max passa sous le jet d’eau et proposa à Thomas de lui savonner le dos. Le garçon sentit les pognes vigoureuses lui masser le dos puis les fesses. Sa raie frémit lorsque les doigts de Max y glissèrent prestement.
— Ça te gêne?
— Un peu, oui!
— Pourquoi?
— Parce que je ne suis pas insensible !...
Il écarta les mains et se retourna.
— Tu me fais le même effet, Thomas ! Y’a pas de honte à ça... Tu es beau et ton corps m’excite. Je ne vais pas nier mon attirance pour toi...
— Je... je te trouve très sexy aussi.
— Y’avait longtemps qu’un beau petit mec ne m’avait pas dit ça... c’est très agréable. Mais il y a ton père et il penserait que j'abuse !
Thomas colla son corps d'éphèbe contre celui de Max et entoura son cou de ses mains. Etait-ce en manière de défi ? Leurs sexes érigés se frôlèrent puis prirent du plaisir à se frotter avec douceur.
Max à son tour saisit Thomas aux épaules et l’embrassa avec affection lui faisant de petits baisers dans le cou et sur les joues. Rejetant la tête en arrière il fixa le jeune au fond des yeux et baisa ses lèvres avec retenue.
C'est Thomas qui, ému aux larmes, prolongea et accentua ce baiser en pressant la nuque de son "oncle". Il vivait un orage affectif avec son père, doublé d'une révélation sur son passé. Etre avec Max ça le rassurait, ça renforçait sa position vis à vis de Papa. Le transfert se faisait automatiquement. Son besoin de soutien et d'affection se muait en désir sexuel.
La suite était scellée.
Avec ses amants de rencontre (et de son âge), ça se passait différemment. Leurs rapports étaient souvent fougueux et bestiaux. Avec Max il y avait des composantes multiples et bien plus riches à l'attrait mutuel
Leur baiser reprit de plus belle. Les mains de Max palpaient le corps brûlant du jeune homme complètement abandonné à ses désirs d’homme.
— Viens! dit Max en le tirant hors de la douche.
L’homme sécha le corps du garçon dans une grande serviette éponge puis il lui tendit un peignoir avant de l’inviter à boire un verre au salon.
— Tu as un peu de temps, non?
— Oui.
Thomas prit place sur le canapé, face à la cheminée. La grande pièce était ornée de poutres et de pierres apparentes. Max lui servit la bière qu’il avait demandée et, en discutant, il la sirota à la bouteille. Il était bien. La main de l’homme se posa sur son genou et son regard se planta dans le sien.
— Ce n'est pas l'envie envie de te faire l’amour qui me manque, Thomas ! Mais nous devons le respect à ton père. Toi en tant que fils et moi en tant qu'ami et amant, ancien ou non.
Pour toute réponse, Thomas écarta légèrement les cuisses et la main remonta vers son entrejambe. Le garçon écarta les pans du peignoir et se laissa aller en arrière sur le canapé, écartant encore plus les jambes... comme pour offrir ses trésors. La main effleura son sexe qui était toujours en érection.
Bon ! Tu l'auras voulu ! A ce moment Max passa ses bras sous le corps divin du "petit" et l'éleva pour le transporter. Debout devant la porte du salon, prêt à gagner la chambre avec son précieux fardeau, il planta son regard dans celui de son "neveu" et lui dit : --"tu es sûr Thomas ? il est encore temps !" Mais Thomas accroché des deux mains au cou de Max répondit par un baiser d'amant.
Il le déposa avec une précaution infinie sur les draps. Il le débarrassa du peignoir par les manches afin que Thomas repose sur le tissu éponge.
Tirant les couvertures sur eux, il s'allongea et suivirent des caresses d'une douceur infinie auxquelles Thomas répondait avec la fougue de ses dix huit ans. Le contraste devenait harmonie comme un violon et un piano qui se répondent.
Allant du sexe aux tétons dressés du garçon, les caresses de Max étaient envoûtantes et Thomas fermait les yeux pour mieux les apprécier.
Sa main glissa sous les fesses et caressa l’anus, ce qui fit pousser de petits gémissements à Thomas.
- Ah oui, que c’est bon! hurla le gosse excité.
- Mon chéri tu as faim !
- Oui Tonton Max. Je te veux dit-il avec détermination.
Thomas ferma donc les yeux et attendit un court instant. Quelques instants plus tard, il sentit un doigt humide rentrer doucement dans son anus. Max faisait ça avec beaucoup de délicatesse, lui tirant à chaque mouvement un soupir de plaisir.
- Tu as vu ça ? dit-il en exhibant un double dong souple très long et d'un diamètre très raisonnable.
- Ça te tente ? Tu devrais aimer. Ca peut faire partie de nos préliminaires.
Tout en parlant, avec du gel il poursuivait un savant massage de l'anus de Thomas visant, non seulement à l'élargir, mais à donner de "l'appétit" à son puits des délices. Thomas gémissait et se cambrait.
- Tu es toujours sûr de me vouloir Thomas chéri ?
- Oui Maxou je te veux. Prends-moi. Le garçon se donnait avec tendresse.
- Ok si tu le dis !
Max devait se douter que, sans précaution, son membre rendrait l'opération douloureuse et la peine pouvait dépasser ou anéantir le plaisir. Thomas ne pouvait que voir et sentir la raideur et la taille assez phénoménale de la verge qui avait fait la joie de son père avant sa naissance.
Ne voulant rien laisser au hasard et tout à son art, Max chatouillait maintenant l'orifice de Thomas avec le double dong. Il savait, pour l'avoir éprouvé, tout le plaisir qu'on peut retirer de ce merveilleux instrument à la surface satinée, au toucher délicieux. Il prit la main de celui qui était en train de devenir son amant et la plaça sur le godemiché. Sans rien lui imposer il souhaitait que ce fût le jeune qui l'enfonçât à son propre rythme.
Quand le plaisir commença à envahir le jeune homme, en prenant le relais, il lui permit de se masturber doucement tout en poussant la pénétration au plus loin. Il surveillait ces lèvres pincées, ces joues rougies, cette respiration haletante, ces fesses soulevées qui en demandaient plus...
On marqua une pose. Tandis que son souffle se régularisait,
Max lui montra une queue en latex de taille extrême.
— C’est trop gros! Mon cul ne prendra jamais un truc pareil dit il en prenant une grande inspiration !
— Détrompe-toi! Le cul d’un homme a des dispositions insoupçonnées pour la sodomie. Il suffit juste de savoir s’y prendre et de bien préparer le terrain...
Il sourit.
- Tu me fais confiance?
- Ouih.
- Et celle-là, tu la veux ? dit-il à genoux en exhibant son engin de terrassier !
- Ouihhh. Tu iras doucement ? implora-t-il.
Il n'y eut pas de réponse. Max sait qu'un peu d'angoisse et d'inconnu font partie du jeu.
Le dildo était toujours dans le fondement de Thomas. Max commença un lent retrait qui faisait émettre un léger sifflement au receveur. D'une main il positionnait son membre en parallèle, profitant lui aussi du glissement sensuel mais inexorable. Il guettait l'apparition du gland du gode pour lui substituer habilement son sexe bien lubrifié et prêt à faire des merveilles.
Ce n'est qu'au bout de quelques secondes et quelques centimètres que Thomas se rendit compte du changement. Il ouvrit les yeux. Max s'enfonçait en lui millimètre par millimètre. Sa chair s'écartait au passage dans une sensation de brûlure mêlée de plaisir. Appuyé au lit sur sa tête, ses mains battaient l'air à la recherche des flancs lisses de Max, tentant de lui témoigner sa gratitude. Ensuite, de sa main droite il toucha, évalua le sexe qui le pénétrait, sentant le bourrelet que formait maintenant son anus dilaté à l'extrême.
Bien sûr Max alla jusqu'au bout. Bien sûr il lima lentement dans le but de déclencher leur mutuel plaisir qui vint au bout d'un moment, royal et intense. Thomas pouvait comprendre qu'il venait de vivre sa vraie première fois.
Thomas se confia à Max, l’ami de son père. Il lui raconta comment il avait pris conscience de son homosexualité et comment il vivait ça.
— Je me sens à la fois pareil à tous mes potes et, en même temps, très différent. C’est comme si j’avais un lourd secret à garder...
— Tu ne ressens que des choses très normales, Thomas. Être gay, ce n’est pas une sinécure. Si les choses ont bien évolué ces 20 dernières années, être homo n’en reste pas moins un fardeau pesant, une différence si petite et si difficile à gérer... Pourquoi crois-tu que j’ai choisi de me marier et de vivre ça... en cachette! Je ne pense pas être quelqu’un de lâche mais...
— Je comprends. Un jour, il faudra que je choisisse aussi... que je choisisse ma voie... J’ai tellement peur de décevoir mon père!
— Tu ne le décevras pas, crois-moi! Pour lui, tu es un bon fils... un gars qui sait ce qu’il veut... Tu es beau - très beau ! - et intelligent... Ton père t’adore.
— J’aurais tellement voulu lui ressembler.
— Tu lui ressembles... en tout point!
Thomas expliqua aussi qu’il devait parfois lutter contre certaines pulsions qui le mettaient mal à l’aise.
— Il m’arrive d’être si... si chaud intérieurement... d’avoir une poussée de désir... et d’être prêt à faire des choses avec le premier venu...
— Tu es jeune et plein de force, de désirs... ça me paraît normal!
— Tu sais, je peux être très... très différent... de ce que je suis habituellement...
— Montre-moi ça!
Thomas planta ses yeux dans ceux de Max. Il allait lui montrer de quoi le fils modèle était capable. De plus en plus allongé sur le canapé, ses jambes étaient maintenant complètement écartées, sans aucune pudeur, ni retenue. Il passa sa langue sur ses lèvres humides et gémit doucement. Sa main droite glissa vers ses belles fesses rondes dont elle fouilla la raie duveteuse. Max sentit l’excitation revenir à toute vitesse. Ce petit gars était une bombe. L’homme disparut du champ de vision du garçon et passa derrière lui. Thomas enfonça son visage dans le gros coussin et attendit la suite. D’abord il y eut de longues caresses sur ses jambes, ses cuisses et ses fesses. Ensuite, une bouche explora son intimité et la lubrifia doucement. Thomas se laissa glisser dans le plaisir. Une langue râpeuse lui caressait le trou. Soudain, il sentit quelque chose de plus gros qui s'introduisait en lui, très lentement. Il comprit que Max venait de le pénétrer de nouveau. Il s’enfonçait et se retirait en cadence. Thomas jeta un œil par-dessus son épaule.
— Tu aimes? lui demanda l’homme.
— C’est délicieux!
— je viens quand tu veux. Avertis-moi !
— Vrai?
— On va y aller en douceur. D’accord?
— C’est toi le maître...
Max lubrifia l’engin avec du gel et le caressa comme pour une vraie queue. Les jambes sur ses épaules, Thomas vit approcher le gode de son anus et commencer à s'introduire. Au plaisir d'être rempli peu à peu par un sexe de belle taille s’ajouta celui de regarder ça comme une personne extérieure. Max avait raison. Le gode qui lui paraissait impossible à ingérer s'enfonça sans problème, sûrement parce que la préparation avait été bien faite.
— Si tu as mal, tu le dis, hein?
— Au contraire, JE SUIS AU CIEL...
— C’est vrai que tu peux te transformer en petit vicieux! Tes yeux brillent, mon mignon. Tu es chaud, hein?
— Prêt à aller très loin!
— Alors allons-y...
Après quelques minutes d'une lente introduction, la bite en latex était complètement en lui. En serrant les fesses, Thomas le sentait sur toute sa longueur. Le gland butait contre sa prostate, lui procurant de divines sensations... presque de minuscules orgasmes. Max qui sentait le garçon réceptif et très à l’aise avec le gode dans le cul se mit à faire des va-et-vient d'abord lents, puis de plus en plus rapides et de plus en plus amples
— Tu crois qu’il existe des vrais bites aussi grosses? demanda Thomas.
— Bien plus grosses encore!
— Vrai!? Oh, putain, qu’est-ce que j’aimerais en essayer une...
Max sourit. Ce garçon était un mélange de naïveté et de perversion. C’était jouissif. Thomas ferma les yeux pour s’imaginer avec une vraie grosse bite dans son fondement. Les sensations que cette idée lui procurait le rendaient absolument fou. Avec sa main libre, Max lui caressait les fesses, les testicules, les cuisses...
— Tu en veux une vraie... bien chaude?
— Oh oui, Max, baise-moi encore.
L’homme retira le gode avec délicatesse et le posa sur le ventre du garçon. Celui-ci caressa la bite factice pendant que son enculeur se lubrifiait encore malgré tout le sperme qu'il avait dans son ventre. Le désir était si fort que Max s’enfonça très vite entre les fesses du garçon. Thomas se cambra un peu mais ne se plaignit pas. Il aimait trop ça. L’enculeur s’enfonça jusqu’aux couilles et puis ressortit presque. Ses mouvements étaient brefs et il marquait bien les deux positions: au fond puis au bord.
— C’est trop bon! C’est trop bon! Vas-y, Max... Lime-moi, lime-moi comme une chienne...
Thomas le rendait fou avec son comportement de Mister Hyde, presque hystérique. Max commença à gémir, il s'enfonça complètement dans le cul avec un grognement d’animal.
—je ne vais pas pouvoir me retenir...
— C’est rien! Vas-y. Jouis, Max... Jouis, mon petit papa...
Les choses étaient on ne peut plus claires dans l’esprit de Max. Il était un substitut au père de Thomas. Ce gosse était amoureux de son père ou de l’image virile du père. Ce lapsus - mais en était-ce vraiment un? - était révélateur.
— Prends ça, fiston! Prends la grosse bite de ton tonton papa!
Revenant aux actes d'une génération en arrière, avec le fils de Tony , Max était entré dans le jeu. Le regard de Thomas brilla de mille étoiles. Il soupira d’aise. Le baiseur épuisé se vida dans son intestin. L’enculé ressentit comme une onde de chaleur et cette sensation le fit éjaculer à son tour.
— Bon sang, qu’est-ce que j’ai pris aujourd’hui... Deux godes, ta bite... J’en suis vraiment une, hein?
— Une quoi?
— Une salope!
— Un beau petit mâle salope sûrement, oui! Tu n’as pas fini de mettre le feu aux hommes, toi!
— Tu crois?
— J’en suis certain.
- Papa saura ?
- ça c'est toi qui décides...dit Max en riant et en le couvrant de petits baisers
alors qu'il fermait les yeux une onde lumineuse le pénétrait. Il était hors de lui-même, en pleine extase.