Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
NICOLAS ne se fait pas mettre
Comme Aurélien Hervé fait des rencontres multiples mais lui c'est en plein air. Il n'est qu'actif. A ce titre il intéresse probablement plus d'une bonne moitié des gens qui draguent dans la pinède, mais voici Nicolas et...
-"Je ne sais pas si cela vous arrive aussi cette sensation bizarre en fin de journée, que l'on a dû rater quelque chose? Certaines fois c'est le matin au réveil où je ne sais pas si j'ai rêvé ou... Bref dans les deux cas, je me sens mal à l'aise, une impression de rêve inachevé, d'un orgasme non consommé, et toute la journée qui suit je ne pense qu'à cela.
Aujourd'hui encore ce mec me hante. Il m'est apparu hier après midi, comme un rayon de soleil dans cette grisaille hivernale. Un véritable esthète dont la splendeur n'a d'égal que sa gentillesse. Bref un mec qui semble exister que dans l'imaginaire. Quand à l'orée du bois de pins, lieu privilégié pour la drague régionale (d'ailleurs répertorié sur GBR), j'ai vu arriver la Renault (dont par discrétion je ne donne pas le modèle) j'ai senti un tremblement irrésistible dans mes jambes. Puis, une douleur au combien salutaire, se manifeste aussitôt dans mon slip. Popol est déjà en forme, prêt au combat. Je dois user de toute ma force de persuasion mentale pour lui intimer l'ordre de revenir au repos car ce pauvre Popol n'a pas compris qu'un mec comme celui qui arrive n'est pas pour lui. Donc il débande aussi vite et j'admire avec un regard soutenu le beau mâle s'approcher de moi.
— Salut! me dit-il. Comment tu vas?
Un moment j'ai cru que j'avais fumé un pétard ou un truc pareil et que je devais halluciner. Cette situation n'était pas vraisemblable! Mais comme je ne touche pas du tout à ce genre de choses, j'ai rapidement déduit que je ne rêvais pas. J'ai dû répondre une banalité et, mon homme se plante là devant moi. Son souffle chaud embrume mon esprit et me berce. La discussion part dans tous les sens, et je trouve le temps long. Mais, moi d'habitude si preste à proposer une partie de jambes en l'air, je suis scotché contre ma voiture par cette beauté qui me subjugue. Va-t-il me proposer quelque chose? Va-t-il rester là à discuter jusqu'à la nuit?
Je n'arrive pas à détacher mon regard de sa braguette qui me semble bien gonflée et pourtant j'ai l'impression qu'il ne bande pas. Serait-ce la grosseur au repos de son chibre qui gonfle autant le pantalon? Cette idée m'obsède. Quel engin il doit avoir? Porte-t-il un slip, un caleçon, un boxer ? Les dessous masculins m'excitent énormément surtout quand j'imagine que la marchandise est de qualité. Bon, la plaisanterie a assez duré, je me jette à l'eau:
— Une pipe ça te dit? que je lui lance avec désinvolture.
— Ben. Pourquoi pas! qu'il me répond.
Nous nous enfonçons (n'allez pas imaginer ce qui n'est pas) dans le bois et me voilà rapidement occupé à déboutonner son pantalon de commercial, vous savez, ces pantalons en Tergal infroissables. Là, un superbe slip bleu marine, dont je ne citerai pas la marque, apparaît, avec une bosse phénoménale. Je lèche au travers du tissu, l'odeur qui se dégage du corps est tout simplement somptueuse. Une fraîcheur subtile me flatte les narines, un mélange parfait de mâle, de sperme, de déodorant, tout cela précisément dosé. Je prends un temps fou pour faire glisser le tissu et, quand j'y arrive, je libère une queue dont, jusqu'à présent, je n'ai jamais trouvé un exemplaire semblable. Et pourtant, si j'avais autant de pièces de 1 euro que de queues que j'ai vues, touchées, sucées, je pourrais arrêter de bosser maintenant.
Je suis "out", ma bouche n'ose pas s'ouvrir pour engloutir une bite d'une aussi grande beauté. Je regrette de ne pas avoir avec moi un appareil numérique pour immortaliser cette oeuvre d'art. Quand enfin, mon esprit et mon corps décident d'être en harmonie, je prends en bouche ce morceau auquel j'applique une séance de succion scientifique. Le corps de Nicolas se met à frémir comme parcouru par un courant électrique alternatif soutenu. Sa respiration s'accélère, et je devine que la purée monte dans le tube rose de mon partenaire. Je décide alors de stopper là mon entreprise d'extraction et empoignant fermement les hanches de mon homme, je lui fais faire demi tour pour avoir ses fesses face à ma bouche.
Je vous assure que le recto n'a rien à envier au verso. La courbure, la consistance, bref l'ensemble des fesses est une pure merveille. Je force Nicolas à se pencher en avant et je l'entends dire:
— Je suis seulement actif, je ne me fais jamais sodomiser.
-- Oh, tu sais, il ne faut jamais dire jamais, un jour on trouve son maître...
-- ....ben toi non plus on dirait...
Nicolas et moi sommes parfaitement égaux. En ces lieux nous cherchons tous les deux "des proies" et, pendant ma fellation, je sens que ses regards circulaires cherchent quelqu'un à "victimiser"! Ma déception est à la mesure des fantasmes que j'ai nourris en l'abordant. Ainsi, je ne peux pas goûter à cette rondelle rose et luisante qui est là, à portée de langue. Mais j'ai perçu une légère hésitation de ce Don Juan...
Ainsi je ne résiste pas à glisser ma langue sur ce magnifique bonbon, son goût étrangement sucré me remplit de joie et mon doigt malicieux s'introduit dans ce canal étonnement humide et chaud. Cet instant est décisif, j'en suis sûr. M'a t-il menti ? L'ouverture me semble aisée et je continue à penser que mon popol n'aurait aucun mal à fouiller ce cratère fumant. Car vous ne le savez peut-être pas, ce n'est pas pour me vanter, mais mon popol est doué d'une faculté de pénétration exceptionnelle, sans douleur, tout en plaisir, je me régale de voir les mecs se pâmer,leurs yeux se renverser quand je les visite en profondeur.
-- "laisse-toi aller,c'est bon, tu vois..."
en voici un qui succombe
Mais non, le voilà qui, de sa main, repousse fermement mon front et mon poignet...Le charme est rompu.
Alors, mon Nicolas, si tu lis ce texte (et je pense que tu le liras), dans quelques temps au hasard d'une nouvelle rencontre, n'hésite pas à profiter d'une démonstration gratuite, résultat garanti, et finissons ensemble, ce RÊVE INACHEVÉ qui a mis le feu à ma mémoire..."¤