Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
conservé dans la catégorie RECITS GAY REELS
je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin...
Le feu de l'amour personnifié !
C'est LUI qui parle :
Ce mec, c’est le meilleur baiseur que j’aie jamais connu (et c’est aussi le moins salaud que j’ai connu jusqu'à aujourd’hui, malheureusement, nos domiciles sont légèrement éloignés aujourd’hui (bof environ 9000 kilomètres) dommage...
— Surprise!
— Wouah! Un billet aller-retour pour P-à-P/Paris! C’est pour moi?
— T’es content?
— Oh oui merci man! Ça fait des années que chuis pas parti en vacances! MERCI! SMACK! (Bisou très sonore! )
Je n’en croyais pas mes yeux, j’allais à Paris rejoindre mon frère de 21 ans (beau mais 120% hétéro... Il sait pas ce qu’il rate). Sans parents, rien que lui et moi, nous allons enfin pouvoir faire les 400 coups! Des fringues pas chères, des parcs d’attractions, une visite dans ce quartier que l’on appelle "LE MARAIS" et plein d’autres choses. Ma tête s’embrouille tant la joie est grande! Je ne suis pas encore parti que mon planning est déjà fait et à ce train là, j’aurais pas assez de mes deux mois pour faire tout ce que je voudrais!
D’ailleurs ça va me permettre de faire le point sur la relation que j’ai avec Cyril, cet apollon, ce dieu... Déjà casé mais qui me voit quand même, et quand je dis "vois", on ne se regarde pas dans les yeux pendant des heures! Et comme ça j’aurai plus à subir les attaques de son mec qui a tout à fait raison de défendre son territoire mais que voulez vous... j’étais fou amoureux, premier amour, premières folies, ça rend aveugle ce truc... bref!
Alors j’appelle Johanne, Nicolas, Amid et Freddy pour leur annoncer la bonne nouvelle!
— Quoi? Toi aussi Amid tu pars! Wouah!
Tout va de mieux en mieux! Qui n’ai-je pas encore prévenu? Mes cyber correspondants parisien bien sûr! Un mail rapide mais coloré, date et heure d’arrivées... demande de rendez-vous, tout s’enchaîne. Mais malheureusement, ils me répondent tous:
"Oh non! Tu sais il vaut mieux ne pas qu’on se voit parce que ça va tout gâcher, j’ai pas envie de perdre la cyber amitié que j’ai avec toi et patati et patata! "
Tous me répondent ça sauf un! Le meilleur en plus! Il est guadeloupéen également, a fait ses études là-bas et y est resté pour travailler! C’est cool! Ça fait au moins 6 mois que l’on chat sur le net on se connaît assez bien! Chuis tout excité! Croyez le ou non, je n’avais pas prémédité ce qui allait se passer!
Quelques jours et 8 heures de vol plus tard!
— Oh lala qu’est ce qu’il fait froid! C’est sûr qu’on est en été?
— Si si!
— STAN!
— Eh oui p’tit frère!
Embrassades fraternelles et tout, vous connaissez, et direction la banlieue. Je pensais que c’était la zone mais en fait ça va, y a pire en Guadeloupe! Sur le chemin je rencontre les premiers parisiens, oh lala! Plutôt pas mal! Ouais vous êtes plutôt pas mal! Et arrivé en banlieue, des noirs, des rebeu... Soit dit en passant, je rêve de sortir avec un beur, oh lala, il me font craquer! Leur belle gueule, leur façon de parler, leur virilité, tout! J’aime tout! J’en bande!
Arrivé dans l’appart, tout est cool, je m’installe et je veux me casser et aller visiter! Mais avant, je passe un coup de fil à Stéphane! On se parle, oh il a une belle voix dis donc! "Oui j’ai fait bon voyage merci!" et tout et tout, j’vais pas vous raconter, c’est pas intéressant!
Me voilà à Paris installé, malheureusement ma mère a appelé Stanley pour lui préciser de ne surtout pas me laisser seul avec qui que ce soit, ni même de me laisser prendre le RER tout seul (!) donc le Marais, j’pouvais faire une croix dessus!
Le quart de mes vacances se sont écoulées... Ça fait des jours et des jours que nous discutons par téléphone. Moi je commence grave à m’emmerder parce que mon frère me casse les couilles! J’en ai marre, je veux rentrer chez moi, en Guadeloupe! Tout ça pour une question de fric! Bref, un jour il nous invite à déjeuner, rendez-vous à l’opéra de Paris! Dans ma tête j’me dis: "Et si il était laid?" Et il y a un mec qui arrive. Oh non, j’espère que c’est pas lui, merde il arrive vers moi! Pourquoi il sourit comme ça? Merde c’est lui...
— Vous auriez l’heure s’il vous plaît?
— 14h30.
— Merci!
Pfuiiiiiiiiiii! Soulagé! Oh lui là! Oh comme j’aimerais que ce soit lui, regarde moi ces muscles, cette gueule, oh putain! Quelle bosse! C’est pas possible! Il a mis une balle de tennis! C’est pas vrai! Et non c’est pas lui! Finalement, le portable de mon frère sonne, je réponds:
— Regarde juste derrière toi!
Et là une voiture stationnée et je vois un mec tout à fait normal, monsieur tout le monde (j’avais pas encore fouillé dans son caleçon!), ni super beau ni super laid, normal et black! On bouffe, on rigole et tout le monde rentre chez soi.
Puis un autre jour, il m’invite à dîner chez lui. Moi tout seul ! On se fixe un rendez-vous et le lendemain on se retrouve. On va au resto, il me fait visiter ce que mon frère ne m’a pas encore fait visiter et la nuit tombe... Miracle, j’ai l’autorisation pour dormir chez lui. Maintenant, sors moi cette queue et astique toi bien, ça va chauffer et mon putain de cul aussi!
On rentre chez lui, on discute et je m’assoie par terre pour reluquer ses CD, géniaux, pendant que lui met la table. Il dépose une assiette puis tout d’un coup vient se placer derrière moi. Je suis maintenant entre ses cuisses et sur mon dos, je sens sa gaule. Pendant ce temps, il me suce le lobe de l’oreille (je lui avais avoué que cette caresse me laissait sans force) et il frotte et frotte encore sa queue pour que je la sente bien! Il me gruge les tétons à travers le t-shirt!
— Qu’est ce que ça te fait quand je te fais ca!?
—...(néant)...
Il se relève d’un coup et part vers la cuisine pour finir sa table... Moi je cuve la surprise de son geste car jusque là, il avait été correct, je veux dire tranquille et là pour l’instant, il me fait l’effet d’une bête de sexe en manque de cul à troncher! Mais là au fond de moi, je sais déjà que je vais me faire baiser.
Je continue de fouiller dans ses CD mais sur le carrelage au bout d’un moment, j’ai mal au cul! Et je m’allonge sur le ventre mais vraiment sans arrière pensée. Lui il sort de la cuisine et me voit. Il court vite poser ses assiettes sur la table, moi sur le coup j’ai cru qu’il se passait quelque chose de grave: un vase va tomber? Le chat va sauter par la fenêtre? Et non, c’est mon cul qui va prendre un coup de bite! Je m’étais un mis sur le côté et lui me plaque sur le sol face contre terre et se place de façon à avoir sa bite dans ma raie! Oh lo la! C’est pas un p'tit morceau! Il frotte encore plus fort, me maintient les hanches et me lèche la nuque, le cou oh putain, les oreilles; j’en bande d’un coup!
— Putain t’as vu comme tu t’es mis?
—...(néant)...
— Viens, j’en peux plus! Je vais te faire un câlin!
Il me tient par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me jette violemment sur son lit, m’enlève mes shoes et se jette littéralement sur moi. Pourquoi les mecs veulent-ils tout le temps me traiter comme une chienne en chaleur? Avec violence?
Et il vient se coucher sur moi, mais avant il me frotte sa queue emprisonnée dans son jogging sur le pied, remonte sur la jambe pour que je sente bien sa gaule; elle me semble énorme, elle gesticule toute seule, de part et d’autre de ma jambe et ça l’excite le cochon à l’entendre gémir virilement. Enfin il m’embrasse quand sa bite vient se presser sur la mienne et, il se frotte ainsi, en nous branlant tous les deux dans nos boxers. Il se relève et avec fureur, fait sauter les boutons de mon 501 et me l’enlève comme un fauve. Il est très violent, il a pris dans chaque main une extrémité des jambes et tire dessus mais fait aussi un mouvement de rotation de sorte qu'une fois, je me retrouve sur le ventre, une autre sur le dos. Il me fait littéralement peur en faisant ça! Enfin il enlève complètement le jeans et se déshabille complètement dans le noir en deux temps trois mouvements. Je ne peux voir que les contrastes que la faible luminosité crée sur sa peau mais sa queue m’est encore inconnue... à la vue!
Ce super baiseur alterne le chaud et le froid. Suite à cela, il se couche tranquillement sur moi en passant son gland entre mes cuisses puis remonte avec sa queue, laissant une trace humide de limace, du précum aussi abondant, c’est un vrai mâle! Quand il arrive au niveau de mon cul, sa queue se glisse entre mes fesses et le léger slip moulant blanc, et là il fait des va-et-vient doux comme si il me baisait. Moi je gémis comme si il me baisait car il me fait un effet monstre! Je jette un coup d’oeil derrière moi et déjà, il est en sueur et je vois une tente sous mon slip qui monte et qui descend, qui monte et qui descend, laissant à chaque fois une tache humide un peu plus grande sur mon pauvre slip qui risque bien de craquer tant il est plein! Puis c’est de nouveau Stéphane le sauvage! Il se relève, attrape les échancrures de mon slip et me les enfonce dans le cul comme si c’était un string et il secouait ce fil sur mon anneau qui s’échauffe grave. Tout en faisant ça, il me frappe le cul:
— T’as un cul, mon poussin, tu vas tout prendre hein pas vrai? T’es tellement bon! T’as l’air tellement bon! Un tout petit peu de gras sur le cul! Il est bien bombé, t’as un cul à te faire baiser, c’est moi qui te le dis !
Moi je ne peux rien faire d’autre que de me laisser diriger par cette ficelle improvisée qui glisse dans ma craque, en gémissant sur les claques qui me cuisent le cul et en plus de ça, cette pression qu’il exerce sur ma pine qui n’a jamais été aussi dure! Ouch! Je pourrais envoyer la sauce comme ça!
Puis il se fait de nouveau doux et me refroidit le cul avec sa langue en léchant, doucement gentiment et badaboum! Il écarte brusquement la ficelle sur un côté, dévoilant totalement ma raie et il y plonge sa langue; qu’elle sensation, c’est une première pour moi je tourne de l’oeil et cette fois-ci, je hurle tant il me fait du bien ! Cette langue qui s’agite si vite, si vite, si sauvagement sur mon trou, avec en plus la sensation que sa barbe mal rasée provoque sur les parois de mon cul! L’avant de mon slip est vraiment super humide! Et tout d’un coup il le déchire violemment ; je suis nu et lui aussi!
Il va me prendre maintenant, j’en suis sûr! Il va me la mettre sa putain de queue et je n’attends que ça! Putain, nique moi Stéphane! Bourre moi! Mais avant, il passe devant et me la fourre dans la bouche. Je n’en crois pas mes lèvres, qu’elle est grosse! Je n’ai pour l’instant que son gland dans la bouche, son gland mouillé, sucré et qui me remplit les joues. Lui il s’amuse à l’enlever et à le remettre dans ma bouche, à le faire passer sur mes lèvres, il veut que je le supplie de me la laisser à sucer! J’en bave de partout! Je me branle en faisant des mouvements de bassin sur le drap d’une douceur incroyable!
— Oh laisse moi sucer ta queue, elle est trop bonne! Han! Slurppp!
Je l’avais gobé, je ne pouvais plus rien dire! Son sperme, son précum, son odeur, son essence de mâle m’avaient transformé en vraie salope lubrique... Il m’attrape alors des ses deux grandes mains râpeuses et aussi gigantesques que des battoirs par les joues. D’une main il me pose la tête sur ses tétons protubérants, ça m’étonne d’ailleurs beaucoup, mais il sont si bons à sucer! Je mordille et apparemment c’est son point faible, à genoux l’un devant l’autre sur le lit. Je me branle en lui bouffant ses délicieux petit bonbons! C’est son point faible, il rugit comme un fauve et quand j’augmente la pression, il pousse un cri dément et jouit... Moi je le regarde, étonné par sa jouissance inattendue!
— Et mon cul alors? Je vais me chercher un concombre parce que chuis trop chaud maintenant! Et d’ailleurs tu m’as chauffé... tu me refroidis!
— Qui a dit que j’pouvais plus te bourrer l’cul? C’était prévu ça, qu’est-ce que tu crois? Faut pas exagérer l’effet que tu me fais!
—...(néant)...
Oh putain j’ai honte... mais d’un sur le cul, je suis sur le ventre et c’est sans aucune délicatesse qu'il me tartine la rondelle avec sa jute qu’il avait récupérée. Il m’enfonce un index puis l’autre à tour de rôle, me volant des cris aigus, à son plus grand plaisir. Mais c’est pas assez, il les remplace par ses majeurs puis c’est les deux, l’un après l’autre, qu'il me travaille la craque! J’en bave de lubricité! Quel baiseur! 20/20! Hop ça y est! Il en a marre, il va me prendre maintenant, pour peu et c’est moi qui m’empalais dessus, quitte à me déchirer la rondelle! Mais dans un ultime geste:
— Tu la veux toujours? T’as pas peur? C’est 24 x 7, tu vas supporter?
— Ta gueule! Baise moi merde!
Mais où ai-je appris à parler comme ca? D’où me vient ce langage cru?
Il l’a positionné devant mon trou palpitant, qui lui aspire le gland ohhhhh! Tiens je commence à regretter, le gland a du mal à passer, c’est que sa queue est une putain de gigantesque queue en forme de batte de base-ball! Plus, je me dis que le gland passé ça ira mieux, plus j’ai mal!
— Regarde, un rat!
— Où ca?
Et tandis que j’essayais de me relever le cul en premier vu que j’étais couché sur le ventre, lui s’est avancé de sorte que je me suis moi-même empalé sur sa tige et lui, a violé les derniers passages en poussant. J’étais rempli, emmanché à fond, oh là! J’avais oublié comment c’est bon d’avoir une pine bien dure dans le cul! Mais la sensation est violente! Maintenant il n’a plus qu’une poupée désarticulée au bout de la bite! Comment puis-je prendre tout ça? Allongé sur moi, il glisse un bras sous mon ventre et sans déculer, il me met à genoux et commence ses va-et-vient, longs, doux mais profonds. Même si je le voulais, je ne pourrais pas retenir mes cris, mon anneau déchiré par ce terrible engin m’envoie des ondes dans toute la queue! Et il commence à me pilonner de plus en plus vite quand il voit que ma craque s’habitue à son pieu! Il y va fort, je crie,
— Non! Pas si fort, arrête! C’est trop gros! Han! Han! Han! Han! Han!
— Tu la prends tout entière, oh c’est bon mon p'tit chat, bouge ton cul, vas-y! Oooooooooh oui!
Et BAF une claque sur le cul!
— Ahhh non, arrête s’il te plaît, tu me fais mal!
— Écoute toi comment tu cries, tu hurles, tu gémis... tu aimes ca! Elle te fais du bien ma queue, t’as pas arrêté de m’exciter toute la soirée alors prends ça! Tiens! Tiens!
— Ah han! Han! Han!
— Laisse toi aller...
Je me faisais baiser par la plus grosse queue que j’aie jamais vue et lui il me dit "laisse toi aller". Mon trou est chauffé à blanc, son noeud me frotte toutes les parois de mon conduit et elle est tellement grosse, chaque coup de piston fait un bruit de succion qui m’excite et lui aussi! Tout en me baisant sauvagement, moi à quatre pattes et lui derrière, debout sur le lit, juste accroupi à la hauteur de mon cul, il me gruge les seins tout sensibles, il mouille ses doigts de salive et me les pince violemment. Puis tout à coup, il me retourne sur le dos, me met les jambes sur ses épaules, le cul très élevé par rapport au lit et me la refourre:
— Je veux voir ta gueule quand je vais te remplir le cul! Oh je viens! Ohhhh tiens! Tiens!
Et au même moment, je me suis pogné la queue et j’ai joui en même temps que lui! Je me sentais rempli par ce mâle en manque visiblement. Il ne se retire pas et se couche sur moi, sa queue n’a pas débandé, je suis sûr qu’il pourrait me baiser encore... Moi je cuve mon orgasme et il redevient doux et m’embrasse tendrement. Je le serre et nous nous reposons un peu ! Sa queue, toujours pas sortie, d’un coup se raidit. Il est en train de bander, sa queue dans mon cul. Il fait mine de la sortir et me la refourre à fond! Moi je crie, je ne m’y attendais vraiment pas! Il me fait un sourire et il sort. Alors là les gars, fallait voir mon trou ce jour là. ÇA c’était un trou défoncé, il baillait tout seul en essayant en vain de se refermer. J’y ai porté ma main, j’étais vraiment inquiet. Il se couche sur le côté:
— Tu me plais beaucoup tu sais...
— Sans blague? (j’avais légèrement remarqué!)
— Tout à l’heure, quand je t’ai dit de ne pas exagérer ton pouvoir sur moi! Que tu ne me faisais pas d’effet, c’était faux! C’est la première fois que je rencontre un mec comme toi!
— Oh le salaud, t’as menti et tu me fais des compliments maintenant?!
— je t’aime…
— DÉJÀ!
Je sais, je n’ai aucun sens de la répartie, mais moi aussi je ressentais un tout petit petit petit petit truc!
— Tout l’après-midi, je t’ai regardé, je t’ai écouté...
—...(néant)... (j’avais absolument rien remarqué!)
— Booba, je t’aime...
Et il m’embrasse.
On se douche et on mange et on s’endort dans les bras l’un de l’autre...
Le lendemain quand je rentre, j’ai un peu de mal à expliquer pourquoi je marche comme un canard et pourquoi je ne peux plus m’asseoir, ça y est, j’étais handicapé du cul! Je pense que mon frère a compris que j’étais aux hommes, il a peut être un peu de mal a l’accepter mais il doit s’en douter. D’ailleurs, un de ses amis m’a carrément posé la question! J’le hais ce mec depuis cette question:
— Et t’as une copine? Comment elle s’appelle?
— Euh non je n’en ai pas...
— Tu préfères peut-être les garçons?
— Dis pas de connerie!
Que je me sentais mal, mais je n’ai rien dit.
On a baisé pendant toutes les vacances de façon passionnée ou sauvage, il m’aimait vraiment et moi je ressentais (je ressens toujours d’ailleurs) autre chose que de l’amour, c’était fort aussi mais pas de l’amour, ou alors une autre forme d’amour. PUTAIN! Pour une fois que j’en trouve un qui me respecte, qui en a dans la tête, qui est intéressant, qui m’aime et qui baise divinement bien! Ah la nature humaine est vraiment très bizarre parfois...
Mes vacances tirent vers leur fin et mon anniversaire approche! Bien sûr il faut absolument que je passe la veille avec mon keum et il vient me chercher et nous partons. Nous allons passer la nuit dans l’appartement d’un de ses amis parti en voyage en Chine (rien que ca!). La nuit arrive et bien évidemment, on baise...
Le lendemain au réveil, il a une gaule d’enfer. Mais Stéphane que t’arrive-t-il? T’as pris du viagra? À chaque fois que je voyais cette grosse barre de fer noueuse qui pointait sur son bas-ventre, cherchant une grotte, un fourreau où déverser son jus, ça me faisait un petit peu peur et je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin.
On descend et nous prenons le petit déj’ devant la télé. Il y a des supers clips vidéos et confortablement installés sur son torse très musclé, on les regarde.
— T’as encore la gaule toi, qu’est ce que tu as à bander comme ça?
— C’est d’ta faute!
— Wouais wouais! Booba il a bon dos!
Sur ça, nous continuons de regarder la télé. Je me décide à me lever pour débarrasser les bols, la confiture et tout et lui vient m’aider. Quand je retourne vers le salon pour aller récupérer ce qui reste, il me plaque sur le mur, me serre entre ce mur et son corps et frotte sa queue! C’est parti, j’vais encore me faire troncher comme la première fois! Il m’attrape les cuisses et les enroule autour de sa taille tout en m’embrassant sauvagement! Encore une démonstration de sa force herculéenne! Il m’emmène sur le sofa et nous nous écroulons. Ça chauffe dans les boxers, il y a deux queues qui ne demandent qu’une chose: être libérées de leur prison de toile, l’une pour aller me brouter le cul et les lèvres, l’autre pour la caresse de ma main!
— On continuera à débarrasser tout à l’heure!
Ma main dans son boxer et la sienne dans le mien, nous regardons la télé quand:
— Eh Stéphane! Il est 9h, tu dois aller bosser et il faut me ramener avant! Ah ben non, t’auras pas le temps! J’vais rentrer seul.
— Tu rigoles? Pas question que tu partes sans l’avoir eu dans ton cul ce matin!
— Mais...
Un baiser langoureux vient me clouer le bec!
— Mais attends...
Il vient de me sucer l’oreille, il a gagné, il peut me sauter comme une chienne, je suis d’accord et je n’ai plus de force pour résister. Il me saisit les pieds et les allonge dans le sens de la longueur du sofa et m’écarte les jambes pour s’installer entre elles! Tout en frottant sa queue sur la mienne, il me lèche les tétons, les mordant doucement puis léchant pour atténuer la chaleur, tout en faisant un bruit exagéré qu’il pourrait très bien éviter de faire; mais c’est tellement excitant! Puis il se dresse, me regarde dans les yeux, que va-t-il faire? Il attrape un paire de ciseaux, entaille mon boxer juste sous les couilles puis déchire! Tout en étant vêtu de mon boxer, j’ai ma fente totalement accessible! Ça m’excite au plus haut point! Quelle initiative! Une noix de gel et il est déjà en position de tire et il me pénètre lentement, tout en m’embrassant le cou en me disant des mots gentils:
— Je t’aime tant! Tu vas me manquer... T’es chaud, ton cul aussi va me manquer... Je t’aime, je t’aime!
Et il m’a fait l’amour doucement. Comme sa queue est plus épaisse vers le gland, quand il sort, mon trou est dilaté un max, c’est ça la sensation qu’il me procure. Puis il me soulève la jambe droite et se la met sur l’épaule, dans cette position il peut aller à fond dans mon cul. Je sens sa queue battre, durcir par moments, qu’elle est raide! Ohhh! Je suis complètement offert et écartelé, je n’ai d’autre choix que de prendre cette putain de grosse bite de noir, c’est bon, c’est doux. Il me relève et me met à quatre pattes face au dossier et me chevauche cette fois-ci plus hard. Il me bourre comme si j’étais une chienne:
— Ne crie pas mon chat, les voisins...
— Putain! Oh han! Mais tu... Han!...me défonces... Han! han!...si bien...
— Oh j’aime quand tu parles comme ça!
Sentant la fin venir, il fait des mouvements de petite amplitude avec le collet de son gros gland, la partie la plus épaisse de sa queue et d'un seul coup l'enfonce et il m’envoie toute la sauce au fond du cul. J’ai les larmes aux yeux et le cul défoncé mais habitué au traitement que Stéphane lui inflige. Il s’écroule, me tire entre ses jambes:
— Mon amour, tu n’as pas joui, je veux que tu jouisses en moi...
— Mais tu l’as jamais fait!
— Mais je t’aime, c’est pour cela que je veux que ce soit toi qui me le fasse!
Et sans préavis, il s’est mis du gel au cul, m’a pris la queue et s’est empalé dessus! Ho c’est chaud! Son cul est super serré, c’est vraiment le pied, je ne vais pas pouvoir tenir la sauce longtemps!
— Oh Booba! Vas-y, vas-y, baise moi!
Trois bons coups à fond dans son cul et il n’aura suffi que de ça pour que je lui jute dans le cul, jusqu'à ce qu’il lui en dégouline.
Nous nous lavons et partons, moi à l’appart de mon frère, lui à son boulot, mais tous deux les couilles légères.
C'était le jour du départ et surtout mon anniversaire! J’étais tellement triste de laisser mon Stéphane, mais en même temps heureux de quitter mon frère, cet emmerdeur de première ! Il avait organisé une petite fête avec SES amis: champagne, gâteaux et tout et puis quelqu'un sonne à la porte. Je vais ouvrir et hop: Stéphane! Heureux, surpris et un peu gêné qu’il soit là, j’essaie de cacher en vain mon émoi. La fête continue, Stan avec ses copains et moi avec Steph.
Il m’offre son cadeau: un super bracelet en argent. Chuis tout retourné car à son anniversaire à lui, je ne lui avais rien offert à part mon cul, mais ça c’est à cause de ce radin de Stan ! Je lui dis merci. J’aurais bien voulu l’embrasser mais il y avait du monde...
Il est 1h du matin, je pars dans 5 heures. Enfin il faut que je raccompagne Steph à sa voiture. On appelle l’ascenseur, on y entre et bizarrement, au lieu d’appuyer le rez-de-chaussée, il m’indique le dernier étage; je comprends pas mais j’appuie tout de même. À peine la porte refermée, il me plaque et m’embrasse:
— Tu vas énormément me manquer, je crois que je t’aime trop. J’ai un autre cadeau pour toi
— Ho non, c’est trop! C’est quoi?
— Tu verras au dernier étage!
Arrivés au dernier étage, il appuie le bouton "rez-de-chaussée" et défait son pantalon, juste pour laisser sa matraque déjà bandée sortir:
— Fais moi jouir avant d’arriver en bas.
Relevant le défi, je m’accroupis et gobe le sexe dur. Il gémit, je tète lentement l’énorme gland que je connais bien maintenant, je lèche de haut en bas la longue hampe noire, je m’excite et sors ma queue et me branle! Elle est pleine de foutre, juteuse à souhait et je vais tout avoir que pour moi. Je suce rapidement pour les soulager, lui et ses couilles qui n’en peuvent plus. Je les masse à travers le tissu de son pantalon fin, sa queue hoquète, il va lâcher la sauce et FUIIIIIIT! J’en ai la bouche pleine.
Il m’attrape par les oreilles et se secoue dans ma bouche pour que j’avale tout. J’en laisse pas tomber une goutte mais les jets sont trop abondants et trop rapides. Il m’en coule sur les commissures des lèvres. Quand enfin il se calme, nous sommes au huitième étage. Je me relève, il me met dans un coin et m’embrasse, goûtant son propre sperme. Il m’entraîne rapidement dans un coin quand l’ascenseur s’arrête au septième étage. Le jeune mec qui entre ne voit que son dos et suppose bien entendu que l’autre personne est une femme. Moi j’ai toujours la queue dehors et stéph me branle et j’ai joui, sans trop crier car il me baisait la bouche. Le garçon est descendu au deuxième.
Je l’ai raccompagné a sa voiture, un ultime baiser et je m’en vais.
De retour en Guadeloupe! Enfin! Terre natale. Stéphane, il me manque! Cruel dilemme, à peine arrivé je l’appelle et il me dit curieusement qu’il a envie de me faire l’amour.
Deux mois après, je lui ai dit: "l’amour à distance je n’y arrive pas!" Il m’a dit qu’il comprenait et nous nous sommes quittés comme ça!
N’empêche, l’idée qu’il puisse faire l’amour avec quelqu'un d’autre me rend fou! On s’écrit parfois via le net mais mes autres cyber-copains avaient raison: rien ne sera plus jamais comme avant!