Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
PASCAL CONTINUE... Je suis né de parents québécois marginaux. Je suis leur avant-dernier fils.
J'avais cinq frères aînés au-dessus de moi, qui étaient tous les rois de la famille, et aucune sœur. Le plus vieux, c'est Richard 30 ans àce moment-là, suivi par Jean , 24 ans, les deux
jumeaux Ricky et Éric, 20 ans et finalement François, 17 ans. Seuls les deux premiers ont vraiment un bon souvenir de nos parents avant qu'ils ne deviennent libertins vagabonds genre
hippies. Ils ont été témoins lorsque la liberté sexuelle a pris place dans la famille. Les autres enfants ont été élevés normalement dans tout ça. Par la suite, mes parents ont eu un autre
garçon, Bruno , 12 ans et ce fût le dernier de la lignée.
Ma toute première fois... Vous allez être surpris d'apprendre que cette fois là, la seulefois où j'ai été le
bottom! Mais, je me dis qu'il est bien d'avoir été bottom une fois dans sa vie pour savoir comment bien en dominer un ! Par contre, je ne le serai plus jamais. Mon cul va rester fermé même aux
queues les plus belles et les plus appétissantes!
Mon plus grand frère Richard, maintenant âgé de 30 ans avait annoncé son mariage depuis un moment, avec la femme
de sa vie, et tous mes frères plus vieux voulaient fêter son enterrement de vie de garçon, tous ensemble, sauf Bruno qui allait être chez un ami. Ce fût avec horreur que j'ai appris que comme
c'était le jour de mon anniversaire, personne ne semblait se rappeler de moi ! Je comptais pas, quoi ! Je n'ai rien dit, jusqu'à ce moment, parce que Richard était mon frère préféré. Il était mon
idole : grand, fort, musclé, très masculin.
Donc, le jour de mes 14 ans, me voilà avec aucun cadeau, et tout pour Richard. Mes frères étaient tous à la
maison pour l'occasion, où j'étais le dernier à rester quotidiennement avec François et Bruno. Les parents, eux, étaient partis pour la fin de semaine. Je suis resté dans ma chambre une bonne
partie de la soirée pendant qu'eux, en bas, se saoûlaient comme des vrais gars en se racontant des histoires cochonnes. Tanné de les entendre crier et parler fort, je suis descendu, en pyjama
comme un bon garçon, leur demander de parler moins fort. Ils n'ont pas voulu m'écouter. J'ai donc crié à mon tour que c'était aussi ma fête et que c'était pas juste que je n'ai pas eu de cadeau.
Ils ont ri de ma gueule et ont continué leurs niaiseries.
Mais sans que je le sache, une stripteaseuse devait venir leur rendre visite pendant que je dormais, ce qui a
causé leur déception car ça n'a finalement pas eu lieu. Selon ce qu'ils m'on dit après, mes frères étaient très excités et ont eu un besoin intense de se vider les couilles. Il paraît aussi
qu'ils ont tout de suite pensé à moi, vu que je n'avais pas de poils, comme une femme. C'est pourquoi, pendant mon sommeil, j'ai senti quelque chose de dur et chaud entrer entre mes lèvres, les
écartant presque au maximum. Je me suis réveillé avec deux mains autour de la tête et une grosse queue me remplissant la bouche, celle de mon frère Richard. Il faisait sombre dans la chambre,
mais j'ai vu son ombre parfaitement. Derrière lui, il y avait mes autres frères, attendant leur tour.
Assez fatigué, je n'arrivais pas à lutter contre cette attaque qui m'excitait plutôt bien, finalement. Il y
avait quelque chose qui me faisait bander à l'idée de sucer le pénis de mon idole de toujours. Richard me disait: "Ouvre bien la bouche. En voilà un, un cadeau, p'tit frère! Suce bien!" tout en
me baisant la gueule. Un des gars a ouvert la lumière, qui m'aveuglait, pour que tout le monde puisse voir. Ils étaient tous là, les jeans ouverts avec leur queue en érection entre leurs mains,
leur t-shirt remonté pour se caresser le ventre en se masturbant. Je me suis alors rendu compte à quel point ils étaient de vrais hommes, certains bien musclés, certains bien poilus. Richard,
lui, était les deux à la fois.
Toujours à demi couché sous les couvertures, je suçais le pénis de mon frère aîné qui se tenait là, debout à
côté du lit, sa queue à la hauteur de mon visage. Il me regardait faire en m'encourageant et en remerciant nos frères de lui avoir donné l'idée géniale de se servir de moi . Après seulement
quelques autres secondes, j'ai senti le pénis grossir dans ma bouche, et quelque chose couler dans ma gorge, ce qui m'étouffa en premier lieu. Richard jouissait en sacrant : "Ah osti que c'est
bon! Aah!" et il me forçait à garder sa queue dans ma bouche tout le long de l'éjaculation : "Avale! Bois tout!" Parce que je m'étouffais, le sperme me sortait par la bouche, et carrément par le
nez. Des contractions dans ma gorge laissaient présumer que j'allais être malade et je commençais à paniquer.
Richard délaissa donc son emprise sur ma tête et je me levai debout pour aller à la salle de bains, mais Jean
m'a attrapé par la nuque et m'a forcé à me mettre à ses pieds, en me mettant avec autant de force sa queue dans ma bouche à son tour. C'était le plus fort de tous et il entendait me le faire
sentir ! Il me tenait le visage, même si ses mains glissaient dans le sperme étalé. "On en n'a pas fini avec toi, frérot! Prends la toute!" Puis, il regarda Richard : "Hey! Toi non plus t'as pas
fini! Vas lui prendre le cul comme une chienne! C'est ta dernière chance d'en profiter avant de te caser pour de bon!" Et le futur marié, qui n'avait jamais pensé à cette idée, vit sa queue se
regonfler de nouveau. Pendant que j'avais un gland qui voulait s'introduire dans ma gorge malgré ma phobie d'être malade, Richard vint s'accroupir derrière moi pour me lécher l'anus
imberbe.
Tout en étant très excité, je ne me doutais pas de ce qui allait arriver plus tard, donc je le laissais faire.
J'aimais sentir sa langue lécher ce qu'ils appelaient ma chatte. Puis, quand j'ai senti sa queue vouloir s'introduire, j'ai tout compris. J'ai eu peur de la douleur et je me suis mis à me
débattre. Mais Jean qui luttait, lui, pour garder sa queue dans ma bouche, était le plus dominant de tous, il donnait les ordres : "Pascal, ça sert à rien! Hey, les gars, on va le mettre sur le
dos, sur son lit, ça sera plus facile de le tenir!"
Tous ensemble donc, ils m'ont soulevé malgré mes soubresauts et m'ont immobilisé sur le lit. Sur le dos, la
tête penchée dans le vide, une queue est venue envahir ma bouche. Puis, j'ai senti pendant un bon cinq minutes la queue de Richard me perforer le trou. Du gland jusqu'à la base, donc aux
testicules. Il était maintenant entièrement en moi et j'avais trop mal! Si je n'avais pas eu une queue presque jusque dans la gorge, j'aurais crié très fort. Ça ne l'a pas empêché de commencer à
m'enculer, tout en crachant de temps en temps pour bien lubrifier.
Entre temps, Jean a joui dans ma bouche. J'ai avalé une partie du sperme tandis que l'autre me coulait tout le
long du visage jusque dans les cheveux. Il a continué de tenir ma tête en m'écartant la bouche pour laisser entrer la queue de François. Celui-là est venu très rapidement aussi. Cette fois, j'ai
tout avalé parce que mes frères prenaient toutes les gouttes tombées dans leur mains et me forçaient à les lécher. Puis, parce que les jumeaux Ricky et Éric font tout ensemble, ils ont fourré
leur deux queues dans ma bouche en même temps, m'écartant les lèvres au maximum.
C'est à ce moment que Richard s'est mis à jouir en moi, après m'avoir dépucelé pendant un bon moment pendant
lequel la douleur du départ s'est tranquillement transformée en plaisir, mais pas au complet. Jean a donc pris sa place. Dans un grognement d'homme des cavernes, il l'a toute mise en moi d'un
coup, sans préparation, sans évidemment tenir compte du fait qu'elle était un peu plus grosse que celle de Richard. Il s'est mis à me baiser sans ménagement, en me tenant par la gorge et en
criant les plus grandes obscénités possibles. Mon lit bougeait, grinçait, tapait contre le mur comme jamais.
Encouragés par Jean, les jumeaux ont joui presque en même temps dans ma bouche. Puis, mon baiseur a tenu à se
vider en moi en me regardant droit dans les yeux, en me traitant de pute, et en mettant ses mains sur ma bouche pour m'empêcher de trop crier. Tout en se retirant, il a un peu forcé François pour
qu'il prenne la place, ce qui s'est fait vite. Pendant tout ce temps, Jean est venu frotter sa queue encore bandée contre mon visage. C'est alors que j'ai remarqué qu'elle était toute tachée de
son sperme, mais rose. J'ai évidemment saigné pendant l'acte, puisque mon trou n'avait pas été assez préparé, mais même s'il le savait, ça non plus ça ne l'a pas arrêté.
Un peu maladroitement, François m'a baisé seulement pendant quelques secondes, avant de déverser son sperme en
moi. Jean, toujours le patron de cette expérience, a incité les jumeaux à tester la tolérance de mon corps : "Toi, Ricky, va sur le lit. Sur le dos." Il s'est exécuté. Puis, Jean m'a fait
m'asseoir sur le sexe de celui-ci. Mon cul l'a bien engouffré sans problème, bien ouvert et lubrifié par le sperme de mes propres frères. Puis : "Éric, va derrière Pascal, pis entre ta queue
dedans toi aussi." Éric resta surpris : "Les deux en même temps?!" Et sans attendre la réponse, il est allé essayer de me baiser lui aussi. Ayant peur d'avoir deux queues dans mon petit cul, j'ai
voulu me débattre, mais Jean a demandé à Ricky de me garder fortement contre son corps, pendant qu'Éric faisait ce qu'on lui avait demandé.
Après quelques minutes d'essais, me voilà doublement baisé! Ils commencèrent ensemble un va-et-vient qui, au
début, comme plus tôt, m'a fait mal à en mourir. Mais ils persistèrent et le mal devint différent. Presque un plaisir. Lorsque Richard revint quelques instants plus tard, après avoir lavé son
sexe, il trouva la scène très excitante. "Ayoye, mon p'tit frère! T'en prends, là-dedans!" Je n'ai pas pu répondre, et je n'ai que gémi.
Excité, le plus grand et futur marié est venu me baiser la bouche une fois de plus. Il a joui en même temps que
les jumeaux. Tous s'étaient entre-excités jusqu'à l'éjaculation. Puis, lorsqu'Éric et Ricky se sont retirés de moi, Jean est venu me remettre sur le dos. De ses mains, il a écarté mes cuisses
pour montrer à tous ma chatte : "Regardez ça les gars! Il est tout ouvert! On dirait un vagin de femme! Merde, ça m'excite encore!"
Pour en finir, là, Jean m'a remis sa queue dans le cul pour une dernière minute de va-et-vient avant de jouir
pour une énième fois. Je me sentais usé, utilisé, soumis et violé... Et ça m'a profondément excité ! Comment ont-ils pu me laisser seul, là dans ma chambre et aller se laver ? Seul Richard est
venu me revoir après. Je finissais de me branler dans les draps de mon lit tachés de sperme, et la chambre sentait le sexe mâle à plein nez.
Il m'a aidé à tout ranger, à laver les draps de mon lit, puis à prendre ma douche où, dans un ultime vague
d'amour, je me suis remis à genoux, volontairement, pour le sucer une dernière fois. Il n'a pas résisté et j'ai tout avalé. Comme une vraie pute.
Mais je n'en suis pas une. J'ai su que mon destin n'était pas de servir, mais d'être servi. Comme eux. Et que
j'allais me venger en faisant subir à des garçons comme moi les plus grandes et délicieuses tortures sexuelles comme on venait de me faire vivre. Ma première victime? Je devais y
réfléchir...
À suivre...
UN ANNIV' DE RËVE !
Mar 29 oct 2013
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