Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Il n'y a pas loin de la haine à l'amour, dit-on...mais là?
Trop beau pour être vrai mais la langue de lycéens québéquois
est délicieuse pour un français de France...j'ai voulu partager mon plaisir...comme d'habitude !
"À l'époque où j'étais en secondaire 4, je menais une petite vie normale: j'avais ma gang, mes meilleurs amis, j'étais impliqué dans mon école, j'étais populaire, assez populaire auprès des filles (même si elles étaient peu populaires pour moi) mais j'avais également mes ennemis dont un s'appelant Jean-François mais tout le monde l'appelait J-F. Oh! Que je le détestais... Je n'éprouvais vraiment aucune pitié en son égard. Pourtant, il était apprécié de tout le monde, même de mes amis, mais moi comme on dit, sa face ne me revenait pas... Pis en plus il faisait tout le temps exprès pour me taper sur les nerfs en me taquinant toujours.
Lui il ignorait ma haine pour lui jusqu'au jour où à un cours d'éducation physique, nous jouions au basket: il avait le ballon et moi prenant mon élan, je lui rentrai dedans de toutes mes forces... Cela me fit jeter hors du cours mais je me sentais tellement fier de moi. Je fus obligé d'attendre la fin du cour dans le vestiaire mais cela ne me dérangeait pas. La fin du cour venue, tous les gars se changèrent et prirent leur douche. Moi qui avais déjà tout fait ça, je restai sur un banc en attendant que la cloche sonne. Quand elle fût sonnée, alors que je m'apprêtais à sortir, le professeur m'empoigna par l'épaule et il dit: «Suis moi!» C'est ce que je fis, vue que j'avais déjà assez fait de trouble comme ça. Il m'emmena dans son bureau et en entrant, je vis J-F avec son air frais-chié qui était là. C'est alors que le prof dit:
— Fais-lui des excuses.
— Jamais!
— Parfait alors tu va rester ici jusqu'à ce que tu lui aies fait des excuses.
— Tu as besoin de ne pas avoir faim car ça ne me dérange pas de rester ici jusqu'à demain matin et si tu sors de ce bureau, à ton retour je ne serai plus là.
J-F et le prof sont bouche bée après cette affirmation. Il m'envoya alors au bureau du directeur. Je n'eus que 2 jours de retenue. Je les fis et après, pendant les 2 semaines qui suivirent, je ne revis aucune fois J-F, ce qui fit mon bonheur.
Peu de temps après, à un cours de français, la prof nous annonça que nous allions faire un travail d'équipe qui allait exiger de la recherche à la maison et dont une recherche serait exigée sur le sujet voulu. Mon meilleur ami se vira en me regardant et il me fit un clin d'oeil me disant qu'on allait se placer ensemble. C'est alors qu'elle sortie un petite boite et dit: «Le hasard va décider des équipes.» Bon... Je me suis dit c'est pas si grave si je ne suis pas placé avec Alex pour ce travail. La prof commença à donner les équipes... «Magalie avec... Patricia, Philippe avec... Noémie, Alex avec... Zacharie, Ryan avec... Jean-François.» QUOI!!! Je m'exclamai: «KOSSÉ QUI FAIt LÀ LUI!!!» La prof me dit qu'il avait changé de groupe... Je vois ben ça! Bon d'accord, mon pire ennemi est dans ma classe mais y'a fallu que je sois placé en équipe avec! Je levai ma main et dis:
— Madame je voudrais...
— Pas de discussion Ryan, je ne change pas les équipes!
Câlisse que je me dis tout bas... Je n'ai pas le choix... C'est alors qu'il approcha son bureau du mien. Bon là je lui dit:
— Ok là c'est pas que je t'aime beaucoup comme tu l'as remarqué mais je suis obligé parce que je ne veux pas couler mon français faque après ce travail, je vais faire mon possible pour oublià ton visage à 2 faces de merde, m'as-tu bien compris?
— Oui, répondit-il en baissant les yeux.
À ce visage de chien battu, mon coeur ne devint pas plus tendre... On se mit à travailler en équipe même si c'était à contrecoeur de mon côté. Tous mes amis restèrent stupéfaits de me voir travailler sans plus d'objections mais comme le directeur a dit:«Un autre accrochage de ce genre et je t'expulse de l'école.» Alors je me la fermais.
J-F m'invita alors à aller travailler chez lui ce soir même; ma première réponse fut: «Va chier!» Mais comme je n'avais ni Internet, ni bouquin sur le sujet choisi qui était l'histoire de la musique, je fus obligé d'aller chez eux. Alors je serpentais les rues de Montréal pour enfin arriver à sa maison qui était ni extraordinaire ni délabrée. Une maison normale, comme la nôtre. Je sonnai et une femme âgée me répondit. Elle fut très accueillante. J'entendis un cri: «C'est correct grand-mère, c'est pour moi!» Elle me dit de monter le voir dans sa chambre. Je montai et je cognai (c'était peut-être mon ennemi mais je n'étais pas chez moi...) Il me dit d'entrer. Il me salua. Je lui répondis d'un signe de tête. Sans plus attendre. j'enlevais ma veste et je sortais mes livres de notes. Lui, déçu de ne pouvoir me faire la conversation, s'assit, sortit ses livres et ses crayons, ouvrit son ordinateur et nous commençâmes. Après 2 heures de travail acharné, je m'étirais en me frottant les yeux. Il me demanda:
— As-tu faim?
— Non.
— As-tu soif?
— Non.
— Bon moi j'ai soif. Attends-moi 2 minutes, je reviens...
Pendant son absence, je me permis de jeter un coup d'oeil sur son ordinateur; je voulais voir si il y avait des jeux alors j'allais dans le programme de son menu démarrer mais par erreur, j'allais dans documents. C'est alors que je vis les noms de fichier: Gay001.jpg, Gay005.jpg, Fuckboy09.jpg, etc...
Alors voilà ma chance de le détruire. Alors me venut un sourire en coin. «Tu es content?» que j'entendis sur le rebord de mon oreille; je sursautai. Je lâchai un énorme cri de peur et je me virais, les yeux ronds comme des 2 dollars (NDLR: Au Canada, les 2 dollars sont des pièces de monnaie d'environ 3cm de diamètre). Mon coeur battait à tout rompre. Il me dit: «Ah ben tu as perdu ton sourire d'hypocrite tout à coup?» Je ne répondis pas. Il me dit: «Allez! Vas-y! Tu peux complètement me détruire si tu veux. D'abord ça l'air de te faire plaisir de me faire du mal! Maintenant que tu en as la chance, vas-y!» Je crois que je j'étais mauve tellement j'avais honte. C'est sûr que je suis gay également mais lui il n'en sait rien et c'est comme tout le monde (sauf pour Alex).
Alors je n'ai aucune idée c'est quoi qui m'a poussé à faire ça, ce n'était pas dans mes habitudes, mais je pris mes choses et je m'en allais le plus vite possible. Rendu sur le trottoir, je regardais par la fenêtre de sa chambre et il était là, me regardant d'un air qui mélangeait la haine et la pitié. Je baissai les yeux et pris mon chemin, la tête basse. C'est seulement en chemin que je me rendis compte que je faisais du mal à quelqu'un qui ne m'avait rien fait et qui aimait les garçons comme moi. Parfois quand on hait quelqu'un, on oublie ces détails. C'est alors que je fus pris de remords.
Le lendemain, au cours de français, on pouvait s'avancer dans notre travail. Alors J-F vint s'asseoir à côté de moi mais je crois que je n'ai jamais trouvé un cours de français aussi long de ma vie. Il ne dit pas un mot et il ne me regarda pas une fois. Il ne travailla pas non plus, il ne faisait rien du tout. Moi, j'essayais de travailler mais quand tu as l'esprit ailleurs, c'est pas chose facile. Je le détestais mais je n'aimais pas quil ait des raisons de m'en vouloir. J'ignore pourquoi. Le soir venu, je lui écris une longue lettre d'excuses pour toutes les fois que j'ai pu le faire souffrir, autant physiquement que psychologiquement; aussi pour son secret, j'allais le garder pour moi.
Mais je n'étais pas du style à la faufiler dans sa case pendant son absence alors ce même soir, j'allais lui porter la lettre en personne chez lui. Je cognai à sa porte, les mains tremblantes. Ce fut lui qui m'ouvrit. En voyant que c'était moi, il referma la porte mais avant qu'elle soit complètement fermée, je la retins. Il me dit:
— Kossé tu veux toé?
— Je te demande même pas de m'écouter, juste de lire ça.
Il prit la lettre et il ferma la porte. Je fis demi-tour et je repris le chemin de la maison. Quand je fus rendu à mi-chemin, j'entendis: «Ryan!!! Attends!!!» Je me virai et vis J-F courant derrière moi. Il s'arrêta près de moi et il se pencha en s'appuyant sur ses genoux pour reprendre son souffle. Il me regarda, la larme à l'oeil et il me demanda:
— Tu es sérieux quand tu dis que tu ne vas rien dire?
— Évidemment! Vu que je te l'ai écrit.
Il me fit un sourire qui pourrait attendrir l'homme le plus dur du monde et il me dit: «Merci» et il sauta dans mes bras... Comment pus-je résister... Je répondis à son accolade comme l'aurait fait un ami. Nous finîmes notre travail et nous eûmes la quatrième plus haute note de notre classe. Mais en même temps, on était devenus amis et à mes yeux, il était même devenu un de mes meilleurs.
Nous rions beaucoup ensemble. Je le détestais car il se laisse paraître un peu «baveux» mais il est tendre, gentil, affectueux dans le fond. Il a un bon sens de l'humour. Mais il n'a pas toujours eu la vie rose. Quand son père sut que sa mère était enceinte, il s'était sauvé et il n'ont plus jamais eu de nouvelles de lui; et sa mère, pour gagner un peu d'argent, était streap-teaseuse et quelques fois elle devait faire le trottoir pour arrondir les fins de mois. Mais un jour elle attrapa le sida à cause de ce métier malsain, elle en mourut quand J-F avait 5 ans. Depuis ce temps, c'est sa grand-mère qui en prend soin. Mais l'important c'est qu'il est heureux ainsi. Même si ses parents ne sont plus là, sa grand-mère s'en occupe très bien et le traite comme son propre fils. Voilà pour son histoire.
Un jour comme on le faisait souvent, il vint coucher chez moi. Il ne savait toujours pas pour mon orientation sexuelle; je ne voulais pas lui dire de peur qu'il tombe amoureux de moi et que cela gâche notre amitié. Bon il était chez nous et comme on le faisait d'habitude, on discutait, jouait au PlayStation et on déconna.
Vers 1h, on alla se coucher (dans le même lit comme d'habitude) mais cette soirée là, il me sembla plus particulièrement sexy. Il s'allongea à côté de moi se mit sur le côté avec sa main pour s'appuyer la tête. J'en fis de même et nous discutions pendant 15 minutes. Un moment donné, j'ouvris la télé et ce fut un fameux film XXX du Super-Écran. Je partis à rire et je dis à J-F: «Tu dois être content?»
C'était en effet une scène de lesbienne. Il me donna un coup en me disant: «Ta gueule là!» Mais tout de suite après, ce fut une scène hétéro dont le gars étais assez mignon merci! C'est alors que je sentis une bosse grandir dans mon boxer. Je pliais mes jambes pour la cacher. Je remarquai un bosse du côté de J-F mais lui ne sembla pas gêné du tout. Même que je le vis se caresser. Je lui dit:
— Si tu veux te branler, il n'y a pas de gêne sauf que la source de notre érection n'est pas la même, à part de ça, on est fait pareil.
Il baissa les couvertures de son côté et j'en fis de même. Pour la première fois, je vis la queue en érection d'un autre gars. Moi je ne n'avais que des yeux que pour le corps de J-F. Son ventre musclé, ses jolis pectoraux, ses bras musclés et aussi le plaisir de voir sa main glisser sur sa queue. Il décacha son gland c'est là que je le regardai et je vis que le film ne l'intéressait pas du tout. Il avait les yeux fermés et se laissait porter par ses fantasmes.
C'est là que je ne pus m'empêcher, à la vue de son gland juteux, d'y glisser ma main. Il ne fit aucun sursaut, même qu'il enleva sa main et il garda ses yeux fermés. Je me masturbais et je masturbais un autre gars en même temps. C'était merveilleux. Je l'entendais haleter mais ce qui m'excitait le plus, c'était la vue de son ventre musclé tout en sueur. J'accélérais le rythme de mon côté comme du sien. On se lamentait tous les deux. Soudain je me sentais venir. Je poussais une lamentation et j'accélérais le rythme à une vitesse infernale mais sans le vouloir, je le faisais également du côté de J-F. Je déchais sur mon ventre.
Quand je fus revenu de ma jouissance, je regardais J-F mais avec toute l'excitation, je me rendis compte que je n'avais pas diminué le rythme de son côté. Je le regardais et il poussait une grande lamentation, les yeux grands ouverts, et il se replia sur lui. Je sentis une énorme coulisse de sperme s'échapper entre mes doigts et se déposer sur son ventre. Mais comme le premier jet est toujours plus fort que les autres, tous les 6 autres glissèrent sur mes doigts. Il ne dit pas un mot, prit un kleenex et s'essuya. Moi j'allais à la toilette me laver les mains. Je revins à la chambre et il dormait comme un bébé. Je ne le réveillais pas. Je fermais la télé et me couchai moi aussi.
Le lendemain à mon réveil, l'autre côté du lit était vide mais ses vêtements étaient encore là. Je sortis de ma chambre et j'allais à la cuisine me prendre un verre de jus d'orange et je vis sur le frigo affiché: «Partis chez ton oncle à Québec jusqu'à demain soir. Fais attention à toi!» Bon! Je voyais là une opportunité en or pour perdre ma virginité. À ce moment, je vis J-F arriver dans la cuisine, serviette à la taille. Il me dit:
— Pourrais-tu me prêter une paire de boxer?
— Bien sûr, premier tiroir de ma commode...
Il y entra je me suis dit «Criss de con, au lieu d'y aller avec!»
Il en ressortit avec mon boxer Calvin Klein et je lui offris:
— Que veux-tu pour déjeuner?
— Juste une pomme ça va être correct...
— Ok! Tiens.
— Merci.
— Hey, ce soir je suis encore seul, veux-tu encore coucher ici?
— Comment refuser? me dit-il en me faisant un clin d'oeil.
Je rougis. Il finit sa pomme, s'habilla et retourna chez lui chercher ses affaires. Mais juste avant de partir, j'allais le reconduire à la porte et quand la porte fut entr'ouverte, il se retourna et dit: «Ah oui, merci pour hier!» et il me donna un petit bec sec sur la bouche. Il se retourna aussitôt et ferma la porte.
Il revint seulement sur l'heure du souper. J'avais commandé une pizza et lui avait apporté un film. Ensuite on mangea tout en discutant et avec quelques allusions à ce qui s'était passé la veille. Ensuite on écouta le film qui ne fut pas fameux. Après il était seulement 22h et nous décidions d'aller nous baigner.
J-F commença à faire quelques longueurs. Moi je ramassais les jouets laissés par ma petite soeur. Je levai les yeux dans l'eau je voyais son beau corps musclé s'étendre et se débattre d'un mouvement de nage parfait. Je sentais ma queue bouger à travers mon maillot. Je me dis: «Pas tout de suite!» Je ressortis de l'eau et je fis la planche en attendant que J-F ait fini. Je fermai les yeux et me laissai flotter. Soudain je sentis un ballon s'écraser sur mon visage. Je sursautai et je vis que J-F se tordait de rire à l'autre bout de la piscine. Je partis à ses trousses et on se chamailla comme ça pour le plaisir pendant 10 minutes.
Un moment donné, J-F était embarqué sur mon dos et je sentais sa queue qui se gonflait contre mon dos. Je ne bougeais plus par stupeur. Je sentais mon engin devenir également de plus en plus gros. Je me décollai de lui et je plongeais dans l'eau pour faire une longueur en dessous de l'eau. Pourquoi? Parce que je le laisse peut-être pas paraître mais je suis timide face au sexe. Je ne sais pas pourquoi. Quand ma longueur fût finie, je sortis de la piscine sans dire un mot. Lui, il me suivit tout en laissant paraître son érection fièrement.
Après m'être essuyé, je me dirigeai vers la douche. Rendu là j'enlevai mon short et je me glissai sous la douche. Je me mis alors à relaxer sous le jet puissant et chaud de la douche. Jamais une douche n'avait été aussi sensuelle pour moi. Pour la première fois je sentais les gouttes d'eau glisser une à une sur mon corps. Je sentais le chemin se rendre sur le bout de mes orteils mais mon préféré fût celui qui finissait par le bout de mon gland dur dû à l'érection.
L'excitation fit que mes mains glissèrent sur ma queue sans m'en rendre compte. Quand j'en pris conscience, je fermai les yeux et je retournai à mon excitation. Je glissais lentement ma main sur ma verge dure et droite de 16 cm. Plus rien n'existait autour de moi, ce fût la première fois qu'une simple masturbation fût aussi excitante.
Soudain je sentis des mains se déposer sur mes fesses. Je sentis un corps se coller sur mon dos. Je sentis des lèvres se poser sur mon cou. Je sursautai sur le coup mais après je me laissais faire. Ce fût bien entendu J-F qui étais repassé à l'attaque pour avoir ce qu'il veut mais cette fois-ci, ça allait marcher. Je déposais mes mains sur ses fesses, me virai la tête et je l'embrassai de plein fouet. Nos deux langues s'entremêlèrent. Après un long «french kiss» d'au moins deux minutes, je retirais ma tête, j'empoignai sa belle queue de 16.5 cm, je la glissai entre mes fesses, je me serrai les fesses et je me mis à faire un mouvement de va-et-vient de haut en bas. Lui avec ses belles mains viriles, il me caressa de la gauche et me masturba de la droite.
Il m'embrassa partout dans le cou et je sentais son souffle devenir plus intense contre ma nuque. Ensuite je m'éloignai un peu de lui, je pris une débarbouillette et du savon et je le lavais au complet mais en réalité, c'était plus des caresses. Il me fit la même chose. Un coup lavé, je le plaquai contre le mur et je le frenchais comme jamais. Mes mains se baladaient sur son torse musclé. Je sortis ma langue de sa bouche et je commençai à descendre avec ma bouche en embrassant partout sur son corps. Je descendais partout: dans son cou, ses épaules, son torse... Je m'attardais un peu sur ses seins en les mordillant un peu en les suçant. Il aimait ça, il me caressait et sa respiration était forte.
Je continuai à descendre sur son ventre je l'embrassai, le caressai et lui léchai. Je continuais à descendre. J'arrêtai d'embrasser et je me mis à genoux devant lui. Sa belle queue est là, bien droite et dure, n'attendant que je l'entre dans le fond de ma gorge. Je la pris avec mon pouce et mon index, à la base, et j'y approchais ma bouche entr'ouverte. Comme je m'apprêtais à l'entrer dans ma bouche, un jet glacial se fit sentir. Il n'y avait plus d'eau chaude.
Je fermai l'eau et nous nous essuyâmes mutuellement avec quelques petits bécots un peu partout. Ensuite quand nous fûmes séchés, je pris J-F par la main et je l'entraînais dans ma chambre. Rendu là, je le poussais sur le lit et je me jetais par-dessus lui et je l'embrassai. Mes mains caressaient son torse doux et musclé. Nos 2 membres se frottaient un sur l'autre d'un tendre et doux mouvement à rendre fou le plus sage. Nos langues s'entremêlèrent doucement.
Après ceci, je pris son membre et je le glissai entre mes deux cuisses et je le serrai avec celles-ci. Je commençais à monter et à descendre dessus. Nous, on continuait à s'embrasser passionnément. Il laissa aller quelques soupirs et quelques lamentations. Après quelques minutes comme ça, il me tourna brusquement sur le dos et il me dit doucement à l'oreille: «C'est à ton tour!» C'est à ce moment qu'il commença à m'embrasser partout dans le cou et il descendit tranquillement sur mes épaules, sur mon torse, mon ventre, jusqu'à ce qu'il arrive à ma queue qui était sur le point d'éclater tellement elle était bandée.
Il s'en prit à mes couilles avant. Il pouvait les rentrer les deux dans sa bouche. C'était tellement bon! Jamais je n'aurais cru... Je lâchais de longs soupirs souvent accompagnés de lamentations. Je pouvais sentir sa langue qui les soulevait et sentir ses lèvres se refermer dessus. Il monta avec sa langue jusqu'au dessus de mon gland. Je ne pus m'empêcher de lâcher une forte lamentation. Je tenais les draps de toutes mes forces tellement je pouvais aimer. Mon corps était raide de partout. J'étais crispé.
Il commença à jouer avec mon gland avec le bout de sa langue, ce qui me fit lâcher des éclats de rire à cause des chatouillements. Ce qui n'empêcha pas mon engin de donner d'énormes spasmes. Il mettait un grande succion. C'est comme s'il essayait de rentrer ma queue le plus profond possible dans sa gorge. Je n'en pouvais plus! Je lâchais un cris laissant dire «ÇA JOUIIIIIIIIIIITTTTTT!!!» Il retira sa tête et je lui éclaboussais dans le visage. Il en avait plein.
Il remonta et je le nettoyai avec ma langue. Quand j'eus fini le nettoyage, je le frenchais avec la quantité de sperme qui m'était restée dans la bouche. Je le couchai sur le dos et lui dis: «Laisse-toi faire.» Il me sourit et mit ses deux mains derrière sa tête.
Je descendis sur son corps en embrassant chacun de ses membres. Cela le chatouillait et à chaque petit rire qu'il laissait aller, je sentais sa queue donner des coups sur mon ventre. Mes mains le caressaient tendrement au fur et à mesure que je descendais. Rendu à destination, je pris sa queue et j'entrais son gland dans ma bouche. Il gémissait fort, il aimait ça. Plus ça allait, plus je donnais une forte succion, plus elle rentrait creux dans ma bouche. Je pouvais sentir son précum couler sur ma langue. Quand je remarquai que sa sève était rendue haute dans sa queue, je retirais sa queue de ma bouche. Il me regarda avec ses yeux de chien battu et il dit:
— Pitié! Continue! C'est trop bon!
— Fais-moi confiance! lui dis-je.
Je remontai sur son visage et je l'embrassai de pleine fougue. Nos langues se sont rencontrées encore. J'ai embarqué avec la position cavalière sur sa queue et je me mis à me frotter le cul sur sa queue de haut en bas! Il se lamentait toujours plus fort! Quand je me sentis enfin prêt, je me levai un peu, pris sa queue avec mes mains et je la dirigeai sur l'entrée de mon anus. Sa queue était toute enduite de précum!
Je commençais à descendre sur sa queue tranquillement et lui, il me donna un grand coup de rein. Ça faisait très mal! Je lui donnai un grande claque et lui dit: «T'est malade! Laisse moé le temps de m'habituer!» Il devenait tout rouge. Comment rester fâché après cela? Je lui fis un grand sourire, lui faisant remarquer mon pardon. Je me penchai et lui donnai un baiser.
Je repris ma tâche, je commençai un doux va-et-vient de haut en bas. C'était pas désagréable malgré la douleur! Mais plus ça avançait, plus j'étais excité, plus j'en voulais, plus ça allait vite! Je sortis mon petit amour et je me mis sur le dos, les jambes en l'air, et lui dit: «Viens me prendre de toutes tes forces, j'en peux plus!»
Il me sauta pratiquement dessus et me l'enfonça d'un coup et commença tout de suite à me défoncer les fesses! Plus rien n'importait, on était fusionnés et je voulais le rester pour toujours! Pendant ma jouissance, je ne pus m'empêcher de crier un «JE T'AIME!» Il arrêta son va-et-vient et me regarda, l'air abasourdi. Je lui dis: «Oui, je t'aime, tu ne peux même pas t'imaginer à quel point! Je t'aime plus que personne ne peut t'aimer...» J'avais les yeux pleins d'eau et lui aussi. Il me dit: «C'est bien plus que réciproque!» et il recommença à me grimper de toutes ses forces. Je hurlais de plaisir, les larmes coulaient sur mes joues mais c'était des larmes de joie. Il commençait à hurler et crier «JOUIIIIIIISSSS!!!!» Et je sentis son liquide chaud couler en moi.
Il tomba à côté de moi, on se mit dans les bras l'un de l'autre et on pleurait. C'était sans le moindre doute le plus merveilleux moment de ma vie!
J'ai maintenant 20 ans et je suis toujours avec J-F. Jamais je n'aurais cru qu'un jour je puisse enfin être en amour et tout cela avec mon pire ennemi... Ohhh c'est vrai! Mon meilleur ennemi! "
FIN