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émeutes en prison

image ça nous fait réfléchir. Tant mieux. 

Pour la seconde fois en deux jours dans cette prison, une vingtaine de détenus ont provoqué des incidents à l'issue de la promenade.

Pour la seconde fois en deux jours dans cette prison, une vingtaine de détenus ont provoqué des incidents à l'issue de la promenade.

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Nouveau coup de chaud à la prison de Châteaudun (Eure-et-Loir). Une trentaine de détenus de ce centre de détention ont refusé de réintégrer leur cellule ce mercredi après-midi à l’issue de leur promenade, provoquant des incidents. Les agitateurs, qui ont tenté à plusieurs reprises de sauter un grillage -et l’ont partiellement endommagé- pour atteindre le chemin de ronde ont pu être circonscrits à l’intérieur d’une cour de promenade.

 

Ils ont été repoussés à l’aide de flashballs, balles en caoutchouc, gaz lacrymogènes et grenades de désencerclement par les équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris), qui étaient présentes du fait de précédents incidents la veille. Des renforts venus de Paris et de Dijon (Côte-d'Or) ont néanmoins été nécessaires pour ramener le calme dans cette prison qui accueille environ 590 détenus.

«Les incidents ont duré de 15h30 à 18h40 environ, mais sans les renforts, la situation aurait été beaucoup plus compliquée, témoigne un surveillant pénitentiaire. Il a fallu faire évacuer les intervenants extérieurs présents dans la zone. On ne sait pas quel est le motif de ce mouvement, et si d’ailleurs il y en a un...»

Une vingtaine de détenus devaient être transférés dans la soirée dans d’autres établissements afin d’éviter tout nouveau mouvement.

Mardi déjà, une mutinerie a été maîtrisée en milieu de journée à Châteaudun, après qu’une vingtaine de détenus a tenté d’incendier un poste sécurisé commandant le système informatique du centre de détention. Elle faisait elle-même suite à de violents incidents à la maison d’arrêt de Blois (Loir-et-Cher), lundi, qui a été partiellement saccagée par une soixantaine de détenus après lamort qu'ils jugeaient suspecte - d’un des leurs le matin même.

 

LeParisien.fr

 

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Jeu 22 aoû 2013 Aucun commentaire