Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

RECIT : QUAND LE MAL EST FAIT...inceste (fiction)

 

Lui                                             Moi...

  J’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

 

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisis au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À presque 18 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi.

  

 

 

 

C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du lycée, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son lycée où, à 17 ans, il est en seconde. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

 

 

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, la plupart des jeunes sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

 

 

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Mer 21 aoû 2013 Aucun commentaire