Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

RECITS FICTIONS (48)

 

 

Brad, mon cousin qui est dans l'armée à Fort Ord est venu passer le weekend. Son beau petit copain n'était pas avec lui cette fois-ci. Dommage, j'aurais bien aimé une autre petite session chaude avec ce conducteur de tank!       on a copieusement astiqué nos fusils ce jour-là lol

En plus de l'excitation de baiser avec quelqu'un de la famille, ce que j'aime particulièrement chez Brad, ce sont

ses jambes. C'est un gars d'environ 6 pieds et il doit peser aux alentours de 165 livres, bien découplé. Il a de

longues jambes fines qui lui donnent fière allure dans les bons vieux jeans à jambe droite qui mettent si bien

en évidence son magnifique cul et un "lunch" à faire rêver. Le fait d'être à Fort Ord et de s'y entraîner ne lui a

pas fait de tort à l'abdomen non plus. Brad était nageur au secondaire et au collège mais je n'avais jamais

remarqué de muscles abdominaux si developpés quand je l'ai rencontré il y a quelques mois. Mais là, ils étaient

là, et c'était assez impressionnant!

En tout cas, lui et moi, nous avons fait la tournée des bars pendant la fin de semaine et nous avons eu une bonne discussion. Il semblait qu'il allait bientôt être assigné à Hawai.  . En plantant mes mains au milieu de son dos tout en le serrant affectueusement contre moi, je lui ai dit qu'il faudrait qu'il prenne bien soin de son cul, et du moins, ce soir, moi

j'en avais bien l'intention. Je n'en pouvais plus d'attendre d'être de retour à la maison. Le fait qu'il allait être

transféré si loin jouait beaucoup dans mon empressement!

De retour à l'appart, nous nous sommes pris quelques bières tout en fumant un joint et j'ai mis l'un des vidéos

que j'avais copié la semaine précédente. Ça nous allumait pas mal, l'un comme l'autre. Brad a alors tiré une

longue bouffée sur le joint, et retenant son souffle, il s'est approché de moi, pressant ses lèvres contre les

miennes avant d'expirer la fumée en m'embrassant.  Cette sensation, devenir high avec la fumée de son

compagnon, est difficile à battre, et ça m'excitait au plus haut point. J'ai expiré, tiré sur le joint avant de lui

faire la même chose. En nous embrassant, nous parcourions le corps de l'autre avec nos mains sans arrêt,

ma main était rendue sur son paquet et lui, il défaisait les boutons de ma chemise un à un.

Quand on passe dix minutes à se faire des french-kiss comme ça, le temps passe tellement vite et c'est

tellement agréable! Mais cette fois-ci, c'est plutôt vingt à vingt-cinq minutes qu'on a passé ainsi, s'embrassant

l'un l'autre, et parfois, avec la fumée de notre joint.

Vous devez deviner qu'au moment de nous rendre à mon lit, nous étions tous les deux flambant nus. Une fois

sous les couvertures, nous avons ralenti quelque peu afin de mieux prendre notre temps de nous découvrir

avec nos mains, avec notre bouche. Même si j'étais pas mal stone à cause de ce que nous avions fumé, je

ressentais toujours le plaisir qui m'enivrait encore plus, mais j'en perdais parfois des bouts. Il me semblait

qu'on s'embrassait à pleine bouche  et que la seconde d'après, il me suçait la queue avec vigueur. L'instant

d'après, c'était moi qui m'enfonçais sa tige dans la gorge pendant qu'il me massait les couilles avec délicatesse

tout en continuant de me sucer. Ça a continué ainsi je ne sais combien de temps, Dieu seul le sait!

Habituellement, avec un aussi bon suceur de queue, j'aurais eu à l'arrêter sous peu pour ne pas jouir tout

de suite, mais ce soir, il me semblait que j'aurais pu me faire manger la queue pendant des heures, en demeurant

 bandé bien dur. Je me souviens bien de la suite cependant: il prit de l'huile à massage et en enduisit ma queue,

la glissant entre ses doigts agiles. Je ne me souviens pas d'avoir autant gémi.

J'étais allongé de tout mon long sur le lit et Brad s'est positionné par-dessus moi.  Tenant fermement ma queue

dans sa main, il s'est peu à peu assis sur moi, faisant pénétrer ma queue raide dans son beau petit cul tout chaud. 

J'ai arqué les reins quelque peu pour m'enfoncer encore plus en lui. Ma bite était raide comme une tige d'acier et

je ne pensais à rien d'autre que de me payer le cul de ce beau mâle en rut aussi profondément que possible. Je

savais que ce soir, ça serait spécial, nous ne formerions qu'un et j'étais bien déterminé à ce que nos corps se

fondent l'un dans l'autre dans une extase merveilleuse.  Ce soir, j'allais crémer le cul de mon cousin et il allait me prier de le faire. J'étais bien décidé à me retenir jusqu'à ce qu'il me supplie d'y aller à fond .

Nos mains se sont imbriquées et son corps impatient commença à galoper sur ma queue, de haut en bas, désireux

 d'avoir le controle pour lui.  Nous grognions et gémissions en choeur, je voyais ses yeux remplis de désir et de

flammes ardentes, en demandant encore plus, plus vite, plus fort...

Je suis certain que nous avons dû réveiller la fille qui habite en dessous. Le lit ne cessait de craquer mais je m'en crissais royalement. Après tout, au nombre de fois que c'est elle qui me faisait le coup!

Me voici donc allongé, admirant son corps de la tête à l'abdomen, et bougeant autant qu'il m'en était possible dans la position où j'étais. Brad y allait aussi avec des longs mouvements rapides, me chevauchant comme une monture dans un rodéo, me demandant de planter mon dard encore plusp creux en lui. Ce ne fût pas aussi long que je pensais, ce après quoi j'attendais depuis tantôt : il me suppliait maintenant d'exploser en lui car il était sur le point de tout me décharger sur le corps. J'ai accéléré le rythme.

Comme j'étais sur le point de jouir, j'ai arqué le dos, lâché un énorme râle et ma dèche allait lui remplir les entrailles. C'en était assez pour lui, en hurlant, il me déversa son sperme dans le visage, sur les pecs et mon ventre. Ma queue continuait toujours ses mouvements d'aller-retours dans son cul, et j'avais perdu tout contrôle de moi-même. C'est comme si ma queue avais pris la situation en main et avait décidé de se vider complètement en lui, jusqu'à ce qu'il n'y reste plus une goutte. Ce n'est que l'épuisement qui me permit d'enfin de déculer, et Brad et moi sommes tombés dans les bras l'un de l'autre, complètements vidés.

J'ai passé de long moments à n'écouter que nos coeurs battre, au tout début, leur cadence était rapide mais ils reprenaient peu à peu leur rythme habituel. Nous nous sommes embrassés avec passion et quelques instants plus tard, nous dormions tous les deux enlacés.  les ricains ? nous n'aurions pas de meilleurs amis!

 Auteur: inconnu

 

 

 coucher de soleil à Fort Ord California

 

 

 

 

 

Mer 31 jui 2013 Aucun commentaire