Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

à retrouver dans INVENTAIRE DES POSSIBLES (17)  

 

 

 

envoûté par un dieu de l'amour

 

 Je m'appelle Denis, j'ai quarante ans, je suis recruteur dans une grande entreprise. Marié, père de famille et bi (seul les hommes de 16 à 20 ans m’excitent) et voici une aventure qui m'est arrivée il y a trois ans. 

 

Un jeune homme black de 18 ans m'avait été chaudement recommandé par son oncle. Il était vraiment beau, style athlétique, avec des lunettes, mais un sourire très agréable. Il avait un petit niveau culturel, vu le dossier que j'avais sous les yeux.  

 

J'avais préparé mon bureau en reculant au maximum la chaise, de manière à pouvoir voir son entrejambe et plus, qui sait... Il est entré dans mon bureau vêtu d'un gilet blanc, un short de nylon noir genre cycliste. Il s'est assis en face de moi mais a rapproché la chaise. Dommage... mais j’ai quand même eu le temps d’apercevoir un peu la bosse de son short.

Suite à cet entretien, je ne voulais pas donner suite à sa candidature, le niveau étant bien celui apparaissant sur son dossier. Il venait de terminer ses études et espérait un emploi au plus vite. Je lui avais donné mon téléphone professionnel afin qu'il m'appelle deux jours plus tard de façon à ce qu'il sache quelle était ma position.

Quelle ne fut pas ma surprise, quand le lendemain vers 11h, j'entendis au téléphone, une voix me dire:

— Coucou, c'est Camil.

C'était lui. Mais je lui avais pourtant dit deux jours, bon sang. J'étais quelque peu troublé de sa familiarité et du souvenir de sa personne, il me dit que quelle que soit ma décision, il aimerait bien me revoir seul à seul. Cela me questionnait...mon désir était en éveil.  Il me fixa rendez-vous le lendemain soir à neuf heures. Après tout, pourquoi pas?

Je le retrouvai donc, il me proposa de laisser ma voiture et de m'emmener dans la sienne. Il se dirigea vers la forêt et arrêta son moteur dans un endroit tranquille et il retira son manteau. Nous étions au mois d'octobre et ma foi, il ne faisait pas trop froid. Il me proposa de laisser sa voiture et d'aller se promener en forêt, chose que j'acceptai. Nous fîmes quelques pas dans ce bois quand, d'un seul coup, le jeune homme fit un malaise. Il s'évanouit au pied d'un arbre et je ne savais pas quoi faire. Je me penchai vers lui et lui tapotais doucement la joue. Il commença à reprendre ses esprits.

 

         

  Il s'agrippa à moi afin de se relever et le fit doucement. Ses mains glissèrent sur mes fesses, puis dans mon entrejambe. Cela eut pour effet de me provoquer une belle érection. Il effleura mon sexe avec ses mains et, le sentant dur, entreprit de le caresser à travers mon pantalon. Il devenait de plus en plus entreprenant, et ses mains se mirent à fouiller à l'intérieur de mon caleçon. Il abaissa le tout, se mit à me branler tout en étant à genoux, l'air coquin. Le bout da sa langue me titillait le gland et les testicules, passant délicieusement de l'un à l'autre. D'un seul coup, il me goba le sexe, le léchant sans vergogne. Je ne pus retenir mon éjaculation, mon sperme se répandit dans sa gorge et il s'en délecta.

Très excité, je me mis à faire courir mes mains sur son corps. Mes mains descendirent vers son sexe gonflé à bloc et, divine surprise, il ne portait pas de slip. Cela eut pour effet de me faire rebander aussi sec. Je le dévêtis doucement afin de contempler ce corps qui s'offrait à moi et ma langue et ma bouche se mirent à remplacer progressivement mes mains.

Je lui gobais les mamelons à tour de rôle, puis me mit à redescendre vers sa queue. Je commençais à téter doucement son gland, puis fit rentrer dans ma bouche sa verge d’au moins 22cm. Je le suçais profondément en jouant avec ses couilles, il s'affala et nous nous retrouvâmes à terre. Profitant de la situation et de ses gémissements, je lui introduis de nouveau ma verge dans sa bouche et nous nous retrouvâmes en soixante-neuf.

Ma langue oscillait entre sa queue et son anus, ce qui eut pour effet de lui déclencher un orgasme. Je ne voulais pas me vider une seconde fois dans sa bouche, j'en ressortis donc et présentai mon sexe à l'entrée de son cul et lui caressais l'anus avec ma queue toute raide et toute humide. Je m'enfonçais délicatement dans ce trou, je sentis son anus s'écarter au fur et à mesure que le pénétrais, puis se resserrer d'un seul coup. Ma queue fût littéralement aspiré, je limais mon petit black comme une bête. Je ne bougeais plus, ce fût lui qui imprimait les va-et-vient.

— Oui, encore, vas-y plus fort, enfonce toi bien en moi, mon chéri, hummmm, continue et masse-moi les seins en même temps. Oui, comme cela, je viens!

— Tu aimes ça, te faire baiser comme une chienne, on dirait???

— Oh ouiiiiiiii, bourre-moi plus profondément.

Le salaud savait s'y prendre pour m'exciter et au bout d'un moment, il éjacula par terre et n’y tenant plus, je libérai aussi ma semence et je me vidais en lui d'un seul coup. Je le retournai et l'embrassai sauvagement.

— Tu m'as vraiment excité, salaud, j’ai joui plus avec toi qu’avec ma femme!

— Elle doit être satisfaite ta femme car tu es un sacré baiseur.

— Et toi, un sacré suceur, juste d’y penser, je rebande presque.

Le lendemain, je le fis venir à mon bureau et après l'avoir invité à s'asseoir, je lui dis:

— Écoute, pour l’emploi auquel tu as postulé, ce ne sera pas possible. J’ai tous mes employés et j’ai accepté de te rencontrer uniquement par amitié pour ton oncle. Seulement, si tu tiens vraiment à travailler ici, il y a quelques après-midi durant la semaine où je suis seul au bureau. Si tu acceptais d’être gentil avec moi comme tu l’as été hier dans le bois, tu serais grassement payé. Qu’en penses-tu?

Pour toute réponse, il se leva de sa chaise, vint près de moi et s’accroupissant, il sortit ma queue et commença à me sucer...

 

 

  besoin d'un collaborateur sérieux.... 

        l'entrée en perfection du DRH ...

Sam 29 jun 2013 Aucun commentaire